Les expéditions ottomanes au Maroc sont, dans le cadre du conflit maroco-ottoman, une série d'expéditions militaires de l'Empire ottoman au Maroc sous les dynasties wattasside puis saadienne à la fin du XVI e siècle.
Considérés comme les maîtres du monde musulman durant plusieurs siècles, les Ottomans n'ont jamais vraiment pu asseoir leur domination sur le Maroc.
Car les ottomans dans leur âge impérialiste ont décidé de se concentrer plutôt sur les frontières nord. Et puisque le Maroc était un pays musulman ils ont décidé de ne pas envahir le Maroc. Pour éviter une guerre certaine, au contraire de l'Algérie le Maroc était plûtot un pays complet.
La colonisation française
Pendant que Lyautey occupe Oujda (1907), puis le massif des Beni Snassen (décembre 1907-janvier 1908) dans le Maroc oriental, une division française occupe la région de Casablanca (1907).
Au cours de l'occupation turque, qui dura de 1515 à 1830, l'Algérie bénéficia d'une grande autonomie, sous l'autorité d'un pouvoir militaire exercé par le dey et contrôlé par la milice des janissaires turcs. Les Ottomans construisirent des fortifications tout le long du littoral et y installèrent des garnisons.
Développement de l'immigration turque en France
Elle se développe dans les années 1970 par la voie du regroupement familial et des demandes d'asile, liées au contexte de crise en Turquie autour des affrontements entre militants de gauche et militants nationalistes.
Ainsi, la Grande-Bretagne, la France, l'Italie et la Grèce vont s'emparer d'une grande partie de la Turquie actuelle ainsi que des territoires du Moyen-Orient dominés jusque-là par les Ottomans comme la Syrie, l'Irak, le Liban, l'Arabie et la Palestine.
Le sultan Mohammed ben Youssef demande à plusieurs reprises l'indépendance du Maroc, notamment dans son discours de Tanger, le 10 avril 1947, et dans son mémorandum du 11 octobre 1950 ; il entre en conflit avec les résidents généraux représentant la France.
Les Marocains sont principalement de souche berbère, arabe ou berbère arabisée, bien qu'ils soient d'origine berbère pour la grande majorité. Au niveau mondial, la diaspora marocaine est présente dans divers pays du monde, mais surtout en Europe de l'Ouest, en Amérique du Nord et dans les autres de la région MENA.
Les motivations des insurgés sont paradoxalement plus religieuses que nationales. Hussein reproche à l'Empire ottoman de s'être trahi lui-même et d'avoir exploité la foi islamique à des fins opportunistes.
Une Histoire agitée. Les Romains, qui ont soumis à leur loi tous les rivages de la Méditerranée, n'ont pas épargné le Maroc, que l'on appelait à l'époque Maurétanie tingitane (autrement dit le pays des Maures de la région de Tanger).
La " marocanisation " progressive du secteur public et du secteur privé, la nationalisation de certaines activités, la précarité des contrats de travail, restent des facteurs permanents de l'exode.
1517 : Les Ottomans conquièrent l'Empire mamelouk, récupérant Syrie, Palestine et Égypte. 1518 : Alger et sa région deviennent une province ottomane. 1574 : L'Empire ottoman enlève Tunis aux Espagnols.
La volonté de conquête coloniale des pays européens ne cesse de s'accroître à partir des années 1800. Le Maroc fait désormais l'objet de nombreuses convoitises pour sa position stratégique et les richesses de son sol.
1845. Signature du traité de Lalla Maghnia, qui fixe les frontières maroco-algériennes. L'Algérie étant sous administration française, le royaume est dans la contrainte de céder une partie de son territoire oriental.
Habité dès la préhistoire, le Maroc et son territoire ont connu des peuplements berbères, phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins et arabes.
États soutenant la position marocaine. Albanie. Allemagne. Antigua-et-Barbuda.
Les Espagnols en profitent au début du XVIe siècle pour prendre pied dans les ports : Mers el-Kébir, Oran, Bougie, Le Penon (en face d'Alger). Menacé, le roi d'Alger appelle à son secours des corsaires, les frères Barberousse. En 1516, ces musulmans d'origine albanaise s'installent à Alger.
Avec l'accord de la France, puissance mandataire de la Syrie, la Turquie a récupéré le 23 juin 1939 le sandjak d'Alexandrette, peuplé majoritairement de Turcs. Ce territoire de près de 4 700 km2 est peuplé d'environ 200 000 habitants. Alexandrette prend alors le nom d'Iskenderun.
A la fin du XVIIe siècle, les responsables turcs d'Alger voulurent gagner une plus grande autonomie, mais en 1661, ils renoncèrent car ils avaient besoin de la protection de l'Empire contre les menaces marocaines.
Ils sont aujourd'hui principalement le fruit d'un métissage entre deux populations primaires, les Turcs Oghouzes de phénotype asiatique et d'ascendance principalement est-asiatique, et les habitants locaux (principalement des Grecs d'Anatolie) de phénotype caucasien et d'ascendance ouest-eurasienne.
En Turquie il est de coutume de se retrouver autour d'un verre, tout niveau social confondu, du bourgeois au plus modeste. Prendre du plaisir, faire la fête, c'est boire !
C'est bien connu, les turcs sont des bons vivants, ils aiment être entourés, ils aiment le partage et la fraternité. Ils deviennent tellement proches de leur entourage qu'ils commencent à vivre au travers du regarde des autres.