– L'homme appartient à la nature car tout est interdépendant. L'humanité est partie de l'animalité. Il faut faire attention au patrimoine de l'humanité qu'est la nature, à la fois pour la survie de l'humanité et plus généralement pour la survie de la Terre.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
"La nature a voulu que l'homme tire entièrement de lui-même tout ce qui dépasse l'agencement mécanique de son existence animale et qu'il ne participe à aucun autre bonheur ou à aucune autre perfection que ceux qu'il s'est créés lui-même, libre de l'instinct, par sa propre raison.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
La culture est l'ensemble des processus par lesquels l'homme transforme la nature. C'est l'ensemble des techniques, institutions, et traditions d'un groupe humain. La nature est tout ce qui existe, c'est-à-dire, tout ce qui entoure l'homme et qui n'est pas de son œuvre.
L'homme surgit au sein de la nature, il ne se différencie pas de l'animal car comme lui, il a des besoins, des sensations, des sentiments, des émotions, donc il est affecté. Il a des instincts ( instinct de survie, alimentaire, de défense, agressivité...) qui lui permettent d'agir et de réagir.
Tout d'abord, nous pouvons logiquement dire que l'Homme est un être naturel, car celui-ci descend évidemment de l'évolution des espèces, donc de la nature. Ainsi, l'Homme appartient au règne du vivant et est soumis aux lois de celui-ci. Par nature l'être humain a donc des besoins.….
Du point de vue de la méthode scientifique, rien ne distingue les hommes et les femmes des autres animaux. Dès lors, l'humain est un animal comme les autres.
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
La nature est l'ensemble des réalités matérielles existant indépendamment de l'humain, c'est-à-dire ce que nous pouvons observer tout autour de nous mais qui n'est pas le résultat d'une production des hommes.
L'Homme peut avoir une influence positive sur la nature. C'est le cas avec les jardins. Il s'agit d'une domestication de la nature qui vise à l'embellir. Depuis l'Antiquité, les jardins sont une source d'inspiration poétique positive.
L'homme s'autonomise et se substitue à la nature créatrice qu'il transforme. On peut donc affirmer que la technique est à l'origine de la culture humaine. L'homme occupe une place particulière dans le sens où pour reprendre les mots d'Aristote, il est non seulement un animal raisonnable « mais un animal politique ».
L'homme est, sans aucun doute, une partie de la nature: il est donc compris en elle. Mais il est tout aussi certain que l'homme comprend la nature, laquelle est par conséquent une idée ou une représentation humaine.
1 ) L'homme est un animal politique. C'est sa nature et sa différence avec les autres animaux. Il l'est par nature, c'est-à-dire que cette différence, l'homme la doit à la nature en tant qu'elle a produit cette nature de l'homme.
Rousseau va totalement remettre en cause cette vision hobbesienne de la condition naturelle de l'homme. Selon lui, « les philosophes qui ont examiné les fondements de la société ont tous senti la nécessité de remonter jusqu'à l'état de nature, mais aucun d'eux n'y est parvenu »7.
Un être humain est un être vivant membre de l'espèce humaine. Il se différencie des autres espèces par son mode de déplacement bipède, son langage articulé, ses mains préhensiles et son intelligence développée.
C'est Aristote qui, dans La Politique, le premier a qualifié l'homme de “Zoon Politikon”. Voici l'explication de cette citation.
L'état de nature est antérieur à la société.
Rousseau décrit dans son Discours sur l'origine de l'inégalité un état sans État, où la vie, si elle peut être brève, est toujours heureuse. L'humanité étant dispersée, l'individu y évolue de manière indépendante, un peu à la manière d'un animal.
L'humain se détache et se place au-dessus de la Nature
Simplement parce que nous avons réussi à modeler notre environnement et la Nature en partie selon nos souhaits, cela signifierait que nous avons tous les droits dessus, que nous valons mieux ?
Ccl 1 : L'Homme est bien un être de nature parce qu'il tient de son hérédité biologique mais l'Homme est surtout un être de culture puisqu'il transforme sa propre nature, puisqu'il n'est rien s'il ne reçoit pas d'éducation qui lui permet de devenir véritablement un Homme.
La création de stations d'épuration
Conscient des dégâts causés par le rejet de ses déchets dans la nature, l'homme construit des stations d'épuration qui permettent de traiter les eaux usées après leur utilisation.
La notion d'humanité a donné la notion de solidarité étendue à toute l'espèce, souvent résumée par le mot « humanitaire ». L'humanité est donc l'ensemble des êtres humains, quelles que soient leurs différences, qu'elles soient culturelles, ethniques, religieuses, philosophiques, sexuelles, géographiques ou autres.
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).