La toxicité de l'oxygène, causée par un apport excessif ou inadéquat en oxygène, peut causer de graves lésions aux poumons et à d'autres organes. Des concentrations élevées d'oxygène administrées sur une longue période peuvent intensifier la formation de radicaux libres et occasionner des dommages aux poumons.
L'oxygène, est un comburant indispensable à l'organisme. Les organes et les muscles l'utilisent pour fonctionner avant de rejeter du gaz carbonique. Une insuffisance respiratoire chronique se manifeste par un manque d'oxygène dans le sang qui explique la fatigue, l'essoufflement au moindre effort.
L'air contient 21% d'oxygène, l'enrichissement de quelques % de l'atmosphère en oxygène augmente considérablement le risque incendie. Si ce taux dépasse la valeur de 23%, on considère alors que l'atmosphère est enrichie en oxygène.
L'oxygène peut avoir des effets nocifs à des concentrations élevées pouvant entrainer des lésions pulmonaires (collapsus des alvéoles, inflammation pulmonaire), ce qui entravera l'apport d'oxygène au sang.
L'oxygène pris durant le sommeil : • pourrait améliorer la qualité du sommeil chez certaines personnes, • pourrait éviter les complications liées à la baisse d'oxygène. 1.
La toxicité de l'oxygène, causée par un apport excessif ou inadéquat en oxygène, peut causer de graves lésions aux poumons et à d'autres organes. Des concentrations élevées d'oxygène administrées sur une longue période peuvent intensifier la formation de radicaux libres et occasionner des dommages aux poumons.
Entre 94% et 99% : elle est considérée comme normale. Inférieure à 90% : on parle de désaturation, c'est un cas d'urgence.
La prescription d'oxygène représente la troisième étape. Le débit à prescrire doit permettre d'obtenir au minimum une PaO2 > 8,0 kPa (60 mmHg) au repos (8,7 kPa selon la Société suisse de pneumologie). Ce débit devrait être titré à l'effort (test de marche) et pendant le sommeil (oxymétrie nocturne).
Le stimulus hypoxique serait donc prépondérant chez ces patients. L'apport d'oxygène, en corrigeant cette hypoxie, pourrait alors entraîner une dépression de la commande ven- tilatoire, et ainsi une hypoventilation alvéolaire.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
Il y a insuffisance respiratoire chronique quand cette saturation reste inférieure à 92 %. Elle est confirmée par la baisse de la pression d'oxygène dissous dans le sang artériel qui, inférieure à 60 mmHg (contre normalement plus de 80 mmHg), impose une assistance respiratoire », explique le pneumologue.
Il est conseillé aux personnes ayant la peau foncée de parler avec leur prestataire de soins de santé si elles ont des questions ou sont inquiètes à propos de leur oxymètre ou de leur niveau d'oxygène. 90 % ou moins Ce niveau d'oxygène est très inquiétant et peut signaler la présence d'un grave problème de santé.
Taux normal SPO2 : entre 95 et 100%. Taux critique : <90%.
Cette quantité réduite d'oxygène dans le sang se nomme l'hypoxémie ou la cyanose. Les personnes qui respirent de l'air normal ont une saturation de 96 à 98 %; une saturation inférieure à 95 %occasionne une hypoxémie, qui est source de préoccupation.
La valeur normale est située entre 90 % et 100 %. L'oxymètre va en outre permettre de mesurer la fréquence cardiaque, par la mesure de la variation des différents flux de sang au niveau des extrémités.
- L'oxygène, ça vous fait planer. Si une catastrophe survient on prend de grandes inspirations paniquées et on devient rapidement euphorique, docile, on accepte son destin.
L'administration d'oxygène sera à faible débit (0,5 à 2 l/min, ou une FiO2 de 24 à 31 % au masque).
Décompensation d'une IRC
L'insuffisance respiratoire chronique est la conséquence de maladies ou d'opérations pulmonaires qui ont « amputé » une partie importante des surfaces d'échange respiratoires: obstruction bronchique par cancer, infections, maladies respiratoires, tabac...
Comme on a pu le voir, la BPCO peut perturber le sommeil. Pour dormir, vous pouvez tester la position semi-assise ou des coussins ergonomiques adaptés. Comme l'oreiller ergonomique pour patient ventilé. Les difficultés respiratoires sont souvent une source d'anxiété.
Prévention - précautions. Tout contact de l'O2 avec un corps gras doit être prohibé : vaseline, crèmes grasses sur le visage : risque de s'enflammer. Attention toutefois à l'oxygénothérapie continue à des débits élevés : > 4L minute par lunettes qui peut avoir un effet desséchant important sur les muqueuses nasales.
L'autonomie est de 33 minutes. On peut retenir qu'une bouteille de 1 m3 (bouteilles de 5 L à 200 bars) dure une heure au minimum. Les bouteilles sont en principe munies d'un tableau permettant de lire directement l'autonomie en fonction de la pression et du débit ce qui évite le calcul.
Trois maladies pulmonaires sont principalement à l'origine de cette obstruction, qui provoque un manque d'oxygénation du sang : la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO ou bronchite chronique), l'asthme et l'emphysème.
En mesurant la moyenne du taux de saturation en oxygène pendant le sommeil, ils ont calculé qu'une baisse de 1% de ce dernier entraînait une perte moyenne du volume de certaines régions du cerveau de 0,63%. Cela peut sembler peu.
Plusieurs maladies occasionnent des désaturations nocturnes en oxygène, telles que la BPCO, l'insuffisance cardiaque décompensée et le syndrome d'apnées-hypopnées du sommeil (SAHS).