Homo homini lupus est est une locution latine signifiant « l'homme est un loup pour l'homme », autrement dit « l'homme est le pire ennemi de son semblable ».
« L'homme est un loup pour l'homme. » Chaque homme représenterait potentiellement un danger mortel pour les autres. Cet état permanent de menace découle du fait que tous les hommes sont égaux et que chacun peut désirer ce que l'autre a.
On attribue à Hobbes la formule « l'homme est un loup pour l'homme » (Homo homini lupus est – c'est plus chic en latin) qu'il reprend à Plaute. L'état de nature, caractérisé par la « guerre perpétuelle de tous contre tous », peut être dépassé par les individus s'ils s'engagent mutuellement par contrat.
Hobbes s'attache à la nature humaine et décrit l'homme comme un être doué de parole, cette dernière étant norme et règle du vrai et du faux. – Là où il n'est pas de parole, il n'y a ni vérité ni fausseté, nous dit Hobbes dans le Léviathan.
Phrase inventée par Plaute (en latin : « homo homini lupus ») dans sa pièce Asinaria en 212 avant J. -C.
Montesquieu : « On dit que l'homme est un animal sociable.
La thèse de Hobbes
La thèse défendue par Hobbes est que l'antagonisme des désirs trouve sa solution dans le recours à un arbitre qui sera juge de ce qui est désirable et de ce qui ne l'est pas.
Rousseau dira: "L'homme est bon par nature, c'est la société qui le corrompt. Ce qui fait que l'homme ne peut pas être naturellement bon au sens où il viserait une conformité de ses actions avec un bien universel, c'est le fait qu'en suivant son seul sentiment, il ne peut pas éviter.
Rousseau : L'homme naît bon, c'est la société qui le corrompt.
Ce philosophe s'appelle Thomas Hobbes, il est surtout connu pour avoir écrit un ouvrage philosophie politique magistrale : Léviathan, paru en 1651.
Hobbes souligne en effet qu'il n'y a aucune convention entre les sujets et le souverain, mais seulement des contrats entre les individus qui tous abandonnent leur pouvoir à un tiers à condition que les autres le fassent, instituant ainsi un souverain qui les protège tous mais qui n'a rien signé.
Selon ce dernier, Aristote a supposé à tord qu'un instinct de sociabilité était présent chez l'homme. Hobbes pense que « l'homme est un loup pour l'homme ». De plus, l'homme ne s'associerait que par égoïsme, et ce ne serait qu'un artifice.
Si l'homme est la mesure de toute chose, c'est parce qu'il injecte du sens dans le monde. Si la conscience disparaît, c'est la signification du monde qui disparaît également. L'homme est donc bien la mesure de toute chose, car sans homme, les choses sont détruites.
L'état de nature est l'absence de règles : les hommes possèdent des besoins naturels (comme se nourrir, dormir, se défendre contre autrui, etc.) et une liberté naturelle (caractérisée par une absence de contraintes externes).
Ce qui rend l'homme mauvais est surement la passion égoïste ainsi que les pulsions de mort évoquées par Freud.
Pour le philosophe anglais du 17e siècle Thomas Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme et naît mauvais.
Rousseau avait tort : les hommes sont naturellement violents. Mais contrairement aux apparences, ils sont aussi de plus en plus civilisés ! Rousseau avait tort, l'homme est naturellement méchant. C'est ainsi que s'ouvre un article récent de Nature (1) portant sur l'étude des comportements violents chez l'homme.
17Hobbes a défini la liberté comme l'absence d'empêchements à l'action que l'on veut effectuer, ou comme la réalisation de ce que l'on veut faire, la volonté étant le résultat d'une délibération. Celle-ci est conçue selon un modèle quasi mécanique de rapports de force.
Ouvrage de Thomas Hobbes (1651). Le Léviathan est la « chose publique ou État (Commonwealth), en latin civitas ». C'est la fiction par laquelle Hobbes décrit le système social. L'homme est un loup pour l'homme, et comme son intérêt est la survie, chaque homme passe une sorte de pacte avec les autres hommes.
Spinoza définit la crainte (metus) comme « une tristesse inconstante née de l'idée d'une chose future ou passée de l'issue de laquelle nous doutons en quelque mesure ». Il caractérise la peur (timor) comme « un désir d'éviter un mal plus grand, que nous craignons, par un moindre »2.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
“Rien n'est trop difficile pour la jeunesse.” “Le bonheur c'est le plaisir sans remords. ” “Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre. ”