Un mauvais sommeil pèse sur l'équilibre glycémique, accroît le risque de développer un diabète chez des personnes prédisposées et peut aggraver un diabète existant.
Voici quelques causes de l'hypoglycémie nocturne: Une dose d'insuline trop élevée au coucher. Un problème relié à votre technique d'injection de l'insuline. Une consommation de glucides plus faible qu'à l'habitude au souper ou durant la soirée.
Ainsi, la fatigue constitue un témoin clé qui permet à une personne diabétique de suspecter une perturbation de la glycémie, et doit l'amener à contrôler le taux de sucre dans le sang.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Taux normaux
La glycémie normale 2 h après le début d'un repas doit être inférieure à 1,40 g/L (7,8 mmol/L) et ce chiffre s'élève de 0,10 g/L par décennie après l'âge de 50 ans.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
Premièrement, le stress peut affecter l'équilibre du diabète par l'effet hyperglycémiant des hormones de stress. Lors d'une situation de stress, le corps réagit en sécrétant des hormones de stress, soit les catécholamines (adrénaline, noradrénaline), le cortisol, le glucagon et l'hormone de croissance.
En effet, le stress provoque la libération de certaines hormones, dont le cortisol, qui occasionnent une hausse de la glycémie. Ce phénomène est généralement bien contrôlé.
En situation de stress, la glycémie augmente, car le corps se prépare à subir des pressions mentales et physiques. La libération d'adrénaline entraîne une hausse de la glycémie, ce qui, couplé à l'augmentation de la tension artérielle, assure que l'oxygène et le glucose sont transportés à toutes les parties du corps².
A jeun, une glycémie dite "normale" doit être comprise entre 0.70 et 1 gramme de glucose par litre de sang. Jusqu'à deux heures après le repas, la glycémie peut s'élever jusqu'à 1.4 g/L.
Les principales causes de l'hyperglycémie sont : une alimentation plus riche en glucides qu'à l'habitude. une diminution de l'activité physique. une insuffisance d'insuline et/ou de médicaments antidiabétiques (erreur de dosage ou oubli d'une dose)
La caféine peut avoir un impact sur la glycémie.
Certaines personnes rapportent, en effet, avoir observé une augmentation de leur glycémie suite à la consommation de caféine. Cet effet pourrait s'expliquer par la libération d'adrénaline, provoquée par la caféine, qui peut faire augmenter le taux de sucre dans le sang.
Préférez un pain complet, de campagne, aux céréales, un pain bis ou encore des biscottes au blé complet… à la baguette de pain blanche qui augmente rapidement la glycémie, conseille la FFD (Source 2).
Les fruits sucrés comme la mangue, la banane et les cerises doivent être évités. Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Vous avez envie d'une pizza ? Evitez les plus riches : 4 fromages, calzone… et préférez celles qui sont garnies de légumes. Au fast-food, optez pour la portion de frites la plus modeste et complétez votre repas par une salade. Modérez votre consommation de charcuterie, beurre, sauces, fromage…
Les diabétiques peuvent en abuser : le citron leur sera d'une aide précieuse. Il est d'abord très riche en vitamine C. Par ailleurs, il a une action antifatigue grâce aux flavonoïdes (substances antioxydantes). Il permet aussi de réduire l'indice glycémique.
La banane, avec un apport de glucides sous forme de fructose et de glucose, peut donc parfaitement s'inscrire dans un régime alimentaire adapté au diabète. La banane se révèle un allié de taille pour notre bien-être et notre santé.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Exprimée en pourcentage, l'hémoglobine glyquée est fonction de l'équilibre glycémique des deux à trois mois précédents. Généralement, un diabète est considéré comme équilibré si le taux d'HbA1c est inférieur ou égal à 7%. Au-delà, le risque de développer des complications à long terme augmente.
Rien de tel pour faire baisser naturellement la glycémie que de faire du sport régulièrement. "Dès les premiers efforts physiques, l'organisme va puiser et consommer des glucides, le carburant des muscles", explique le Dr Pierre Azam. Vingt minutes d'activité physique régulière suffisent, dans un premier temps.