Le grand froid peut provoquer un bronchospasme, et entraîner une décompensation respiratoire aiguë chez ces patients, comme chez l'asthmatique.
En cas d'asthme, l'air froid et sec peut déclencher chez certaines personnes un bronchospasme (spasme respiratoire), et donc une aggravation de l'asthme.
Les infections liées à l'influenza (grippe), aux rhumes et au virus respiratoire syncytial (VRS) peuvent déclencher une crise d'asthme. Les infections des sinus, les allergies, l'inhalation de certains produits chimiques et le reflux acide peuvent également déclencher des crises.
Des facteurs déclenchants
Par ailleurs, plusieurs facteurs peuvent déclencher une crise d'asthme chez une personne asthmatique : l'air froid, les émotions fortes, certains médicaments anti-inflammatoires ou bêtabloquants (y compris ceux utilisés dans les collyres), ou encore l'exercice physique.
L'air froid irrite les muqueuses des voies respiratoires, ce qui tend à inhiber les mécanismes de lutte contre les infections.
Aggravation de maladies préexistantes
Le froid peut aggraver l'état de santé des personnes qui ont certaines maladies respiratoires, comme l'asthme, la bronchite chronique ou l'emphysème. L'état de santé des personnes atteintes de maladies cardiovasculaires peut aussi empirer à cause du froid.
Le froid n'est pas directement responsable, même s'il favorise toux et maux de gorge !
De nombreux asthmatiques profitent également beaucoup du climat méditerranéen, ou d'un climat vivifiant comme sur les côtes de la mer du Nord et de la Baltique, ou encore au bord de l'Atlantique. L'air salin y réduit les mucosités visqueuses présentes dans les poumons et améliore la respiration.
On l'utilise dans le langage courant pour désigner l'ensemble de réaction rappelant l'asthme qui peuvent se produire lors d'une crise d'angoisse ou une crise de spasmophilie. La gêne respiratoire ressentie est donc le symptômes d'un « faux asthme ». Son origine est souvent psychosomatique (anxiété).
Il est possible de limiter les crises d'asthme et de les alléger. Pour cela, suivez quelques recommandations : Faites un sport d'endurance comme par exemple la natation, c'est idéal s'il ne fait pas trop froid. Pratiquez des exercices respiratoires visant notamment à renforcer le diaphragme.
Aliments riches en matières grasses
Un apport élevé en matière grasse, la consommation de gras saturés et un faible apport en fibres ont tous été associés à une inflammation des voies respiratoires et à une aggravation de la fonction pulmonaire chez les patients asthmatiques.
Est-il dangereux de prendre de la Ventoline sans être asthmatique ? Si une personne ne souffrant pas de troubles respiratoires prend de la Ventoline, le médicament peut provoquer des effets secondaires indésirables tels qu'une accélération du rythme cardiaque, des tremblements et de la nervosité.
Share this article: Les études ont prouvé le lien entre l'air froid et une augmentation des symptômes de l'asthme. Cependant, un temps chaud et humide - en particulier lorsque l'humidité dépasse 50% - est également lié à l'augmentation des symptômes de l'asthme.
Mais précisément durant la saison propice aux refroidissements, notre système immunitaire peut être affaibli par des courants d'air, des vêtements mouillés ou des pieds froids. Les virus peuvent alors facilement provoquer une toux de refroidissement.
Les crises d'asthme sont plus fréquentes la nuit et au petit matin. Peuvent persister au réveil : des quintes de toux, une respiration sifflante et, éventuellement, une sensation d'oppression au lever. La durée et l'intensité de la crise d'asthme sont variables.
Ce qu'on qualifie d'asthme silencieux, ou atypique, est une forme de la maladie qui ne se manifeste pas par des crises violentes d'essoufflement. L'asthme n'est pas strictement égal à la crise. Il s'agit de l'hypersensibilité des bronches qui s'exprime par des symptômes variés.
Peut-on devenir asthmatique du jour au lendemain ? Il est rare de devenir asthmatique du jour au lendemain. L'asthme se développe généralement progressivement à la suite d'une prédisposition génétique et d'expositions répétées à des facteurs déclenchants tels que les allergènes ou la pollution.
Il se manifeste par des crises, caractérisées par des épisodes de gêne respiratoire (essoufflement), de respiration sifflante, de toux sèche ou de sensation d'oppression dans la poitrine. Les crises d'asthme peuvent durer de plusieurs minutes à quelques heures. Entre deux crises, la respiration redevient normale.
Les seuls endroits préservés où l'on pourrait envisager de vivre en cas d'asthme sévère serait à la montagne en altitude, où il y a moins d'acariens et souvent moins de circulation, ou encore au bord de la mer en prenant soin de rester loin des régions vinicoles.
Les voyages en avion de ligne ne présentent ordinairement aucun risque avec un asthme bien contrôlé.
Les épisodes de canicule peuvent potentiellement aggraver des pathologies respiratoires existantes, comme l'asthme, la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), mais également les maladies infiltratives (aussi appelées interstitielles) telles que les fibroses pulmonaires, ou encore la mucoviscidose.
Pour venir à bout de la toux sèche, ou toux irritative, pensez aussi à la réflexologie : massez à l'aide du pouce la zone bombée à l'origine des orteils sous le pied pour stimuler le point réflexe correspondant à la zone des poumons.
Une respiration qui siffle, accompagnée d'une toux et d'une fièvre qui dure plus de 48 h sont les principaux signes d'une pneumonie. Cette infection respiratoire n'attaque plus seulement les bronches, mais affaiblit également les tissus pulmonaires, d'où la nécessité d'une prise en charge médicale rapide.
Respirez en respiration naturelle mais par le nez et par le ventre, ce qui évite l'entrée d'air froid dans les poumons et d'expirer de l'air chaud. Au bout de 5 respirations, faîtes une apnée pleine et compressez vos poumons avec les muscles du dos et de la poitrine.