Dans le diabète de type 1, on retrouve notamment le problème des insomnies (difficultés d'endormissement et de maintien de sommeil, réveil précoce) : celles-ci sont généralement liées à des hypoglycémies nocturnes lorsque la dose d'insuline administrée au patient est trop élevée.
L'insuline est une hormone qui intervient dans l'absorption du glucose, principale source d'énergie pour les cellules. Les cellules sont privées de leur énergie et cela explique l'un des symptômes principal du diabète : la fatigue.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Le traitement par insuline est associé à deux effets secondaires importants et fréquents : l'hypoglycémie et la prise de poids. La prise de poids est en contradiction avec l'effet central de l'insuline qui résulte en une diminution de la prise alimentaire, comme la leptine.
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes.
Les effets toxiques de l'insuline sont liés au fait que l'administration de cette hormone entraîne une hypoglycémie profonde et prolongée, conduisant à un coma hypoglycémique provoquant des dommages neurologiques irréversibles pouvant être mortels, si la victime ne reçoit pas des soins intensifs.
Un des effets de la prise d'insuline est le risque accru de prendre du poids. Le sucre présent dans le sang qui n'est pas utilisé lorsque l'insuline le transporte vers les cellules est stocké sous forme de graisses.
L'insuline lente du soir agit pendant la soirée et surtout la nuit jusqu'au réveil. Pour trouver la dose d'insuline lente du soir, regardez la glycémie du réveil. Si elle est trop élevée plusieurs jours de suite, c'est que vous n'avez pas assez d'insuline lente le soir.
L'insuline est une hormone jouant plusieurs rôles essentiels dans l'organisme. Elle régule la glycémie, favorise le stockage des graisses et aide même à décomposer les graisses et les protéines.
Certaines maladies, en particulier neurologiques ou endocriniennes, ainsi que certains médicaments, peuvent entraîner cette somnolence. Des maladies chroniques comme l'asthme, l'insuffisance cardiaque, les maladies rhumatismales ou d'autres maladies douloureuses chroniques qui fractionnent le sommeil ont le même effet.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
Le diabète et l'apéritif
Pour ménager votre diabète pendant l'apéritif (surtout si la soirée ne fait que commencer…), vous pouvez par exemple opter pour des légumes crus accompagnés d'une sauce légère au yaourt ou encore pour des en-cas sans glucides (noix et amandes, dés de fromage, olives…)
La soupe minceur est un aliment pour diabétique seulement si son index glycémique est bas. Prudence donc, car pour un diabète de type 2, le régime alimentaire doit être strict afin de limiter les risques de complications.
Et pourquoi pas « à l'eau de coco (celles dont les marques sont sans arôme ni additifs et dont la teneur en sucre est très faible) ». Un verre d'eau indispensable !
C'est l'utilisation excessive de ses réserves qui est à l'origine de la fatigue ressentie. Lorsqu'on combine diabète et fatigue chronique, une meilleure équilibration glycémique est une solution qui permettra souvent d'en venir à bout.
On commence à parler de diabète à partir de 1,26 g/l. Pour affirmer le diagnostic, ce taux doit donc être supérieur ou égal à 1,26 gramme par litre à jeun, lors de deux prises de sang faites à quelques semaines d'intervalle.
A titre indicatif, à jeun, l'insulinémie est normalement inférieure à 25 mIU/L (µUI/mL). Elle est comprise entre 30 et 230 mIU/L 30 minutes après l'administration de glucose. En cas d'insulinome, par exemple, cette sécrétion sera anormalement élevée, en continu, ce qui entrainera des hypoglycémies à répétition.
Comment savoir quand l'insulinothérapie est nécessaire ? La Haute Autorité de Santé a des recommandations assez claires : si un patient prend déjà deux ou trois médicaments et que son hémoglobine glyquée (HbA1c) dépasse la valeur cible de plus de 1%, il faut passer à l'insuline.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Une revue systématique de 9 essais a abouti à la conclusion que, chez les personnes souffrant de diabète de type 2, cette substance diminue la sensibilité à l'insuline et augmente la glycémie.
Le rein fait partie des cibles privilégiées des complications liées au diabète. En effet, l''élévation du taux de sucre dans le sang, ou « hyperglycémie », altère le fonctionnement des petits vaisseaux sanguins et le fonctionnement du rein.
Généralement, on place la seringue à la base du pli, très obliquement, on pique en enfonçant l'aiguille, complètement, on relâche le pli avant d'injecter et on injecte l'insuline. Dans certains cas, on peut faire l'injection au sommet du pli, on garde alors le pli jusqu'à la fin de l'injection.
L'injection d'un analogue de l'insuline d'action rapide (Humalog®, Novorapid®, Apidra®) est faite avant chaque repas ou collation apportant des glucides. L'injection d'un analogue lent (Lantus®, Toujeo®, Abasaglar® ou Tresiba®) est faite le soir en cas d'une injection (plus rarement le matin ou le midi).