La maladie de Parkinson fait-elle mal ? La douleur constitue une plainte fréquente dans la maladie de Parkinson (MP) quel que soit le stade de la maladie, parfois avant même que celle-ci ne soit diagnostiquée. En effet, la douleur représente le symptôme initial chez 15% des malades.
La maladie de Parkinson résulte de la dégénérescence de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.
La fatigue est un symptôme extrêmement fréquent chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle présente beaucoup de similitudes avec l'apathie, comme un manque d'énergie, d'intérêt et de motivation.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs...
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
Stade 5 : le stade avancé de la maladie de Parkinson
Le stade final de la maladie de Parkinson se caractérise par une incapacité à se déplacer sans aide. La personne est alitée ou ne peut se déplacer qu'en fauteuil roulant. Le patient ne peut pas se lever d'une chaise ou sortir du lit sans aide.
De nombreux facteurs liés au Parkinson contribuent à la perte de poids. Les mouvements involontaires (soit les tremblements) brûlent énormément d'énergie. Les symptômes de dépression sont présents dans la maladie de Parkinson et peuvent entraîner une diminution de l'appétit et une perte de poids.
Dans la plupart des cas, la maladie de Parkinson ne réduit pas l'espérance de vie. Cependant, à mesure que l'on vieillit et que la maladie progresse, les risques augmentent. Ainsi, un mauvais équilibre peut entraîner des chutes; et les problèmes de déglutition, si on les néglige, peuvent dégénérer en pneumonie.
Une personne atteinte de démence peut faire preuve de comportements agressifs, comme pousser, frapper ou crier. Les comportements agressifs peuvent rendre la communication extrêmement difficile pour un soignant, mais il existe des stratégies pour faire face à ces situations.
Il peut s'agir de problèmes de sommeil, d'hypersalivation, d'une somnolence excessive dans la journée, de fatigue, de douleurs, de constipation (qui touche 60 % des malades), de mictions urgentes, de dépression, d'hallucinations, de troubles cognitifs…
Plus de 50% des personnes ayant la maladie de Parkinson souffrent d'insomnie chronique. Il s'agit surtout de longues périodes de réveil la nuit (en moyenne, le tiers de la nuit) et de réveils trop matinaux.
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
EN CAS DE DOUTE, IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Des réactions d'hypersensibilité peuvent survenir chez les personnes sensibles. Le traitement par MODOPAR peut provoquer une somnolence et des épisodes d'endormissement soudain.
Résultat : les scientifiques se sont aperçus que le trouble lié à la consommation d'alcool chez les hommes et les femmes était associé à un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer et de Parkinson.
La fatigabilité et la difficulté de concentration
Les signes les plus souvent constatés sont discrets ; il s'agit de fatigabilité et de difficulté à se concentrer ou d'une baisse de rendement dans la réalisation des tâches quotidiennes.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
Première étude sur la maladie de Parkinson couvrant l'ensemble du territoire français (Outre-mer inclus). Fin 2015, 160 000 patients parkinsoniens traités, avec environ 25 000 nouveaux cas par an ; 17% des nouveaux cas étaient âgés de moins de 65 ans. Les hommes sont atteints 1,5 fois plus que les femmes.
Les causes exactes de la maladie de Parkinson sont certes inconnues, mais plusieurs facteurs favorisent la dégénérescence des neurones. Il est en effet généralement admis qu'une interaction entre des prédispositions génétiques et des facteurs environnementaux entraîne la maladie de Parkinson.
Tous les aliments difficiles à digérer, principalement ceux qui ont une teneur élevée en gras, comme la friture, les sauces crémeuses, les croustilles et les fromages, retardent l'absorption des médicaments et peut donc générer des fluctuations de vos symptômes.
Globalement, la pratique assidue d'exercices physiques modérés ou intenses est associée à une réduction de 34% du risque de développer plus tard la maladie de Parkinson. Faire de l'exercice physique de façon régulière aurait donc une action préventive.
Des chercheurs affirment qu'une alimentation riche en antioxydants, notamment en vitamines C et E, permettrait de réduire le risque de maladie de Parkinson grâce à leurs effets bénéfiques contre les dommages causés par cette pathologie sur le système nerveux.
La démence de la maladie de Parkinson est une perte progressive de la fonction cognitive caractérisée par le développement de corps de Lewy chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
Pour l'insomnie, le traitement de prédilection est la mélatonine, cette hormone du sommeil qui est réduite chez les malades parkinsoniens. "Si cela ne fonctionne pas, il est possible d'administrer un antidépresseur mélatoninergique, comme le Valdoxan®, suggère notre expert.
Un nouveau développement prometteur : une pompe délivrant de la dopamine directement dans le cerveau. La start-up InBrain Pharma, fondée par deux experts de la prise en charge de la maladie de Parkinson, David Devos et Caroline Moreau, a développé un nouveau traitement délivré par un nouveau dispositif baptisé DIVE.
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