La pression de l'air dans la cabine est inférieure à celle régnant au niveau de la mer. Lorsque la pression de la cabine diminue en vol, le gaz commence à se dilater. Par conséquent, vous pouvez ressentir de la pression dans votre estomac ou votre système digestif. Les gaz et les ballonnements sont courants.
Une étude sur les gaz intestinaux produits dans les avions, faite par cinq gastroentérologues, est parue dans le très apprécié Medical New Zealand Journal. Cette recherche constate qu'il ne faut se gêner en vol. Premièrement, la baisse de la pression dans un avion en vol entraîne une production de gaz digestifs.
Les gaz intestinaux
Il est préférable d'éviter les aliments producteurs de gaz (légumes secs, lait, choux, etc.) avant le départ, ainsi que les boissons gazeuses (y compris le champagne…), les chewing-gums et les bonbons qui favorisent l'ingestion d'air (aérophagie).
La baisse de la pression aérienne dans l'avion entraîne une production accrue de gaz digestifs, à l'origine des flatulences. Selon les médecins, il ne faut pas tenter de les retenir car cela peut être mauvais pour la santé.
Les patients atteints de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin souffrent souvent de poussées inflammatoires après un voyage. Cette réaction n'est pas due au stress provoqué par le voyage, mais au manque d'oxygène dans l'avion ou pendant des séjours en montagne.
À la sortie de l'avion, faites une promenade afin de réactiver les muscles de vos mollets. Placez un oreiller sous vos jambes pendant que vous dormez. Ainsi, vos jambes se trouvent un peu plus haut que le reste du corps. Essayez de limiter votre consommation de sel quelques temps après le voyage.
La cabine est pressurisée pour simuler une élévation de 1800 à 2400 mètres au-dessus de la Terre et votre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur. Comme le savent tous les skieurs, cela mène à des étourdissements, de la somnolence et une perte au niveau de l'acuité cérébrale.
Le fait de voyager trop fréquemment augmenterait également le risque de thrombose veineuse profonde , un trouble de la circulation provoqué par la formation d'un caillot sanguin dans une veine profonde d'un membre, principale cause d'embolie pulmonaire.
Si les pilotes entament l'atterrissage et qu'il y a une rafale de vent qui dépasse cette valeur limite, alors l'appareil fait une remise de gaz, c'est simple, classique et obligatoire.
Pour avoir la meilleure vue, il faudra choisir une place à côté d'un hublot, mais pas au niveau des ailes ou juste derrière le niveau de celles-ci. Si vous voulez dormir, les places à côté des hublots permettent de s'appuyer sur la paroi de l'avion et de ne pas être dérangé.
Selon les recommandations de l'Organisme mondial de la santé (OMS), les voyages aériens sont contre-indiqués en présence d'une maladie infectieuse, à la suite d'une intervention gastro-intestinale, en cas de grossesse simple après la 36e semaine et en cas de grossesse multiple après la 32e semaine, en présence d'une ...
Pollution de l'air : En plus des émissions de CO2, les avions émettent également d'autres polluants atmosphériques tels que les oxydes d'azote, les particules fines et le monoxyde de carbone, qui contribuent à la pollution de l'air et ont des effets néfastes sur la santé humaine et l'environnement.
Touch and Go fait partie intégrante de la formation des pilotes et sert de base à la maîtrise de compétences de vol complexes. Il permet aux pilotes stagiaires de se familiariser avec les subtilités du comportement d'un avion lors de l'atterrissage et du décollage.
Un posé-décollé est l'atterrissage d'un avion suivi immédiatement d'un décollage, sans faire un arrêt complet. On l'appelle plus souvent par le terme anglais : un touch-and-go ou, en abrégé, « un toucher ».
Le plus souvent, le cycle menstruel peut survenir plus tôt que prévu. Lorsque vous êtes en avion, cela peut déclencher ou bien stopper vos règles.
Pression et douleur dans les oreilles en avion : quelles sont les causes ? Pendant le décollage et l'atterrissage de l'avion, la pression atmosphérique entre l'air extérieur et celle à l'intérieur de l'oreille peut varier brusquement, et certaines personnes ont du mal à rééquilibrer ces niveaux à temps.
L'air lors de vos voyages peut conduire à une déshydratation qui peut développer chez vous d'autres symptômes comme la fatigue et le mal de tête. Parfois même cela entraîne des vertiges.
Le gonflement des jambes et des chevilles à bord d'un vol long-courrier est un phénomène bien connu des voyageurs. Il résulte de la pression atmosphérique dans l'avion et de la position assise prolongée, mauvaise pour la circulation sanguine.
Dans le cas contraire, voler à de hautes altitudes peut entraîner des conséquences graves. D'ailleurs, une pression systolique au-delà de 200 mmHg est une contre-indication pour le voyage aérien pour la personne hypertendue.
À bord des aéronefs, il s'agit souvent d'un manque d'humidité dans la cabine ou d'une consommation d'eau insuffisante. Les symptômes varient selon l'âge. Il est important de boire suffisamment de liquides pour lutter contre la déshydratation pendant le vol.
Si marcher permet d'atténuer le problème de rétention d'eau et d'activer notre circulation sanguine, les contentions et compressions permettent d'éviter le gonflement des membres. C'est assurément un produit indispensable à emporter avec nous dans l'avion.
Boire suffisamment d'eau
En buvant suffisamment d'eau, vous aurez un sentiment de satiété accru qui évite de manger trop / hors des repas, ce qui aide à ne pas surcharger le système digestif. Mais c'est surtout une bonne solution pour ramollir les aliments consommés, qui seront ainsi plus facilement digérables.