Est-ce qu'il faut aimer son travail pour le pratiquer ?
Interrogée par: Simone Sanchez | Dernière mise à
jour: 16. Oktober 2022 Notation: 4.2 sur 5
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Dans les faits oui, aimer son travail participe à notre épanouissement quotidien. Se lever le matin avec l'envie d'aller travailler favorise notre bien-être. Au contraire, se lever le matin la boule au ventre, peut avoir à long terme, des répercussions sur notre santé mentale.
Il protège votre cœur, renforce votre système immunitaire, vous rend plus résistant au stress, prévient les maladies et prolonge votre vie. À l'opposé, le mécontentement peut causer du stress, affaiblir votre système immunitaire et il possède une gamme d'effets psychologiques comme la dépression prolongée et l'anxiété.
Ne pas aimer son travail peut mener à une bonne accumulation de frustrations. Pour éviter d'exploser, n'hésite pas à te confier à un proche et à discuter de ce qui te déplaît de ton emploi et de ce à quoi tu aspires. Tenir un journal quotidien peut aussi être une bonne façon d'évacuer ses frustrations.
C'est ce que j'aime, en plus du travail de création, des échanges avec les gens, et malgré l'insécurité que ce travail engendre. » On le voit : on peut aimer son travail quand celui-ci s'avère stimulant, sur le plan créatif, social ou intellectuel. Le travail peut être un vecteur de découverte, et de nouveauté.
Le choix d'une reconversion professionnelle peut-être motivé par un besoin de changement d'environnement de travail. Il peut aussi relever d'une quête d'épanouissement ou d'une concrétisation de rêve. Malheureusement, certains n'ont pas cette vision d'opportunités, mais s'enlisent dans des conditions inconfortables.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Preuve de savoir-faire, d'expérience, d'habileté ou à minima d'application, la qualité d'exécution d'une tâche est la condition sine qua non d'une journée de travail dont on ressort content de soi et donc de la fierté, du sentiment d'accomplissement de soi.
Mais aimer ça peut être aussi une façon de lutter contre la peur de la solitude, le manque de confiance en soi ou tout simplement pour éprouver un sentiment d'auto satisfaction.
Comment s'appelle les gens qui ont peur du changement ?
Cette peur phobique du changement s'appelle la métathésiophobie. Les métathésiophobes considèrent en fait qu'ils n'ont pas le contrôle de leur vie en vue des bouleversements constants. Et cette phobie leur empêche de changer quoi que ce soit dans leur vie.
Une enquête CSA réalisée en 2020 juste avant le premier confinement établissait à 2 683 euros nets/mois le revenu moyen permettant de vivre convenablement, avant imposition. Les Français évaluent à 490 euros la somme qui leur manque chaque mois pour vivre convenablement.
Pourquoi les jeunes d'aujourd'hui ne veulent plus travailler ?
Des résonances transgénérationnelles. Une fois le caractère stéréotypant de l'affirmation déconstruite, il reste en effet que certains jeunes n'expriment aucun souhait d'entrer dans la vie professionnelle, se désintéressent de leur avenir quand ils ne rejettent pas le monde du travail dans son ensemble.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Les motivations conscientes ou inconscientes d'un collègue qui ne vous "aime" pas peuvent être multiples : manque de confiance en soi, jalousie, rivalité, envie, peur,… Dans tous les cas, ses projections lui appartiennent.