Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Bien que la cause exacte de l'alcoolisme soit inconnue, des études ont montré qu'il est de plus en plus prouvé que la prédisposition à cette maladie peut être héréditaire et que les risques d'en être atteint augmentent de façon importante chez les familles dont des membres (notamment les parents et les frères et sœurs) ...
Les conséquences d'une consommation excessive d'alcool, soit un verre ou plus par jour, font perdre en moyenne près d'un an d'espérance de vie, a démontré l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans un rapport publié ce mercredi 19 mai.
En conclusion, il est désormais admis que le patrimoine génétique joue pour moitié dans le risque de dépendance à l'alcool.
Les plus âgés sont les plus gros consommateurs
Les consommateurs quotidiens sont plus nombreux chez les personnes plus âgées (26 % des 65–75 ans déclarent boire de l'alcool chaque jour, contre 2,3 % des 18–24 ans).
Les maladies liées à l'alcool. L'alcool peut provoquer des maladies digestives, neurologiques ou cardiovasculaires, des cancers et des troubles cognitifs. Une envie incontrôlable de consommer de l'alcool caractérise la dépendance.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit une consommation d'alcool modérée comme étant jusqu'à un verre par jour pour les femmes et jusqu'à deux verres par jour pour les hommes.
Obsession pour la consommation d'alcool qui peut se traduire par un abandon ou une réduction des autres sources de plaisir et d'intérêt au profit de l'alcool, ainsi qu'une augmentation du temps passé à se procurer des boissons alcoolisées, à les consommer et à récupérer de leurs effets négatifs.
Les troubles cardiovasculaires
La consommation régulière d'alcool élève la pression artérielle et augmente le risque d'hypertension.
Le risque d'alcoolisme augmente si un ou les deux parents consomment de l'alcool ou d'autres drogues. De même, des mauvais traitements et des abus sexuels augmentent le risque de dépendance à l'alcool.
Les symptômes
Lorsque la maladie touche les deux membres inférieurs (forme fréquente), le sujet éprouve des difficultés motrices. Il n'arrive pas bien à se mobiliser, la jambe est de plus en plus flasque et les éleveurs d'orteils perdent de leur force et fonction.
Pour aider cette personne, proposer lui d'autres manières de prendre soin d'elle. Il peut s'agir d'un moment de détente (massage, yoga), de plaisir gustatif (un plat qu'il/elle affectionne), d'une balade dans la nature : tout ce qui peut lui faire du bien sans avoir recours à l'alcool.
Des signes inquiétants ? Si, lorsque vous buvez, vous ne pouvez plus vous arrêter, cela signifie que vous n'êtes plus maître de votre consommation. Ressentir que votre envie de boire est grandissante ou que les occasions se multiplient sont autant de signes qui peuvent vous alerter.
Classification. Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
Gingembre. Depuis longtemps la tisane de gingembre accompagne notre bien-être quotidien. Elle est très efficace contre la prise de poids et ses attributs apportent de l'énergie à l'organisme. Dans le processus du sevrage alcool, le gingembre est utilisé pour son caractère antioxydant.
Carences affectives ou désordre affectif. La dépendance affective peut dépendre d'un manque d'amour, mais aussi d'avoir reçu un «trop plein» d'amour, d'attention, de surprotection, ce qui peut engendrer un sentiment d'envahissement, d'étouffement, et qui peut amener une prise d'alcool excessive.
Cette déshydratation s'explique par un dérèglement hormonal causé par l'ivresse. Les molécules d'alcool perturbent en effet la production de vasopressine par le cerveau, une hormone qui régule l'activité des reins.
Une consommation excessive d'alcool entraînerait un vieillissement prématuré
Voilà donc les questions à vous poser pour savoir si, même si vous n'êtes pas forcément dépendant, votre consommation est excessive. Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).
1. Vodka Soda. Voici une boisson savoureuse qui a été créée à l'origine à des fins médicales, et qui offre en fait quelques avantages pour la santé. La vodka-soda est bonne pour le cœur car elle augmente la circulation sanguine.
Une récente étude, publiée dans la revue Nature Communication, a révélé que boire quatre unités d'alcool par jour –soit deux bières ou deux verres de vin– provoquent d'importants dommages structurels au cerveau et une perte de volume cérébral.
réduire la quantité totale d'alcool bue à chaque occasion. boire lentement, en mangeant et en alternant avec de l'eau. éviter les lieux et les activités à risque. s'assurer d'être entouré de personnes de confiance et de pouvoir rentrer chez soi en toute sécurité
Au niveau du foie, la première conséquence de la consommation chronique d'alcool est la stéatose qui correspond à l'accumulation de graisses à l'intérieur des cellules du foie. L'accumulation de graisses dans le foie est réversible en réduisant la consommation d'alcool ou en arrêtant de boire.