Il y a un seul cas où "malgré que" peut être directement suivi d'un verbe au subjonctif : dans l'expression vieillie "malgré que j'en aie", "malgré qu'il en ait", qui signifie "malgré moi", "malgré lui".
Malgré que vous nous ayez déçus, nous vous donnons une deuxième chance. Il te faut travailler, malgré que tu en aies. J'accepte ce poste, malgré que le salaire soit inférieur à ce que j'espérais. Cet élève ne s'amende pas, malgré qu'on l'ait mis en garde.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Aussi / non plus. Exprimant l'identité, au sens de « pareillement, également, de même ». Aussi s'emploie dans des phrases affirmatives : si vous partez, moi aussi je partirai ; si vous partez, je partirai aussi. Non plus s'emploie dans des phrases négatives : vous ne partez pas, moi non plus.
Quel(s) avec ou sans « s » à la fin est un déterminant interrogatif ou exclamatif masculin, il s'accorde donc en genre et en nombre avec le nom qu'il accompagne. Exemple : On écrit : « Quel examen passes tu aujourd'hui ? ». On constate qu'il s'agit d'une phrase interrogative.
Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s'agit d'une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l'illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé.
3. Malgré Malgré exprime aussi la concession mais il doit être suivi d'un substantif (ou groupe nominal) : Malgré le froid, il va se baigner !
Malgré que exprime l'idée de concession. D'autres connecteurs de concession peuvent donc dire la même chose : bien que , quoique (en un seul mot), éventuellement encore que .
adv. Marque une opposition; cependant, pourtant, toutefois, malgré tout.
Une phrase commence toujours par une majuscule et finit toujours par un point (que ce soit un point simple, un point d'exclamation ou un point d'interrogation). La phrase est composée d'un ensemble de mots placés dans un ordre logique afin d'avoir un sens et permettant d'exprimer une action ou un état.
« Malgré », qui signifie en « dépit de » est invariable et ne prend jamais de « s ». Malgré les échecs, il ne désespère pas.
Définition ancienne de MALGRÉ adverbe & preposition.
On le dit figurément des choses inanimées. Il est parti malgré la pluye & la gresle, malgré les mauvais presages.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
– Du coup : « La réunion a été annulée, on fait quoi du coup ? » Eh bien, on commence par remplacer cette expression un tantinet agaçante par ces nombreux équivalents : donc, de ce fait, en conséquence, par conséquent, voire subséquemment !
Si on est en désaccord avec cette affirmation, on peut dire “je ne suis absolument pas d'accord avec toi” ou “je ne suis pas du tout d'accord avec toi“. Pour nuancer davantage le propos sans être aussi catégorique, on peut répondre “je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi” ou bien “je n'en suis pas sûr/certain“.
Comment exprimer l'opposition ? -> en utilisant un infinitif ou un nom précédé de "au lieu de", "bien loin de", "malgré", "en dépit de", "par contre"... C'est la proposition infinitive ou le groupe nominal qui exprime l'opposition. exemples : Au lieu de pleurer, tu ferais mieux de travailler.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, etc.).
Des gens disent parfois avoir appris à l'école qu'il ne faut jamais commencer une phrase avec des conjonctions de coordination comme mais, ou, et, donc, or, ni, car. Ces mots ont pour fonction d'unir des mots ou des groupes de mots de même fonction.
La conjonction « si », est une conjonction de subordination ou « subjonction ». On la qualifie aussi de « subordonnant », car elle est utilisée pour relier une phrase subordonnée à une phrase principale, dont elle dépend : elle marque la dépendance entre les phrases qu'elle relie.
Quelle(s) est un adjectif interrogatif ou exclamatif, au féminin QUEL ADJECTIF. Quelles sont les nouvelles ? Quelle belle barbe ! Qu'elle(s), c'est que + elle(s).