La consommation de deux portions de poisson gras par semaine fournit l'équivalent de 300 à 500 mg d'acides gras oméga-3 chaque jour. Cette quantité est celle recommandée par l'Organisation mondiale de la Santé.
Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer. Mais les produits de la mer n'ont pas que du bon. Ils sont aussi chargés en divers polluants, dont le mercure. En consommer trop est associé à un risque accru de maladie de Charcot.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les nutritionnistes sont tous d'accord pour reconnaître les multiples bénéfices conférés par la consommation de poissons gras, tels que le saumon. Excellente source de protéines complètes, il contient en grande quantité du phosphore et du sélénium, ainsi que de nombreuses vitamines (B1, B3, B5, B12, D).
La consommation de deux portions de poisson gras par semaine fournit l'équivalent de 300 à 500 mg d'acides gras oméga-3 chaque jour. Cette quantité est celle recommandée par l'Organisation mondiale de la Santé.
Ceux-ci comprennent le thon frais/congelé, le requin, l'espadon, le marlin, l'hoplostète orange et l'escolier (des renseignements supplémentaires sur la santé sur l'escolier sont présentés dans la feuille d'information de Santé Canada sur l'escolier et la feuille d'information de l'ACIA.
Bonne pour le cœur : La sardine est remplie d'oméga 3 et de vitamine B12. Elle prévient le risque de maladies cardio-vasculaires. Renforce les os avec sa vitamine D, son phosphore et son calcium. Elle contribue à lutter contre l'ostéoporose qu'elle soit fraîche ou en conserve.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les poissons gras peuvent contribuer à améliorer le sommeil car ils sont une bonne source de vitamine D et d'acides gras oméga-3, deux nutriments qui aident à réguler la sérotonine. La sérotonine est en grande partie responsable de l'établissement d'un cycle fixe de sommeil et d'éveil.
La vitamine D, un nutriment que l'on trouve naturellement dans le poisson, est essentielle au bon développement et au bon fonctionnement du cerveau. Elle aide également votre corps à absorber le calcium que vous absorbez, favorisant le bon fonctionnement des nerfs du cerveau.
Les poissons crus, ou marinés peuvent contenir des bactéries que seule la cuisson peut détruire. Pour éviter tout risque de toxi-infections, les femmes enceintes jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli doivent éviter d'en consommer.
Le poisson est aussi riche en protéines que la viande. 100 g de poisson apportent autant de protéines que 100 g de viande, c'est-à-dire entre 18 et 20 g.
Pourquoi consommer du poisson est-il important pour la santé ? Le poisson est une source privilégiée en acides gras oméga-3 dont certains sont indispensables au développement et fonctionnement du système nerveux et contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires.
Ils sont également riches en micronutriments essentiels à la santé, mais ils présentent des caractéristiques distinctes. Le poisson délivre de la vitamine D, de l'iode - nécessaire au fonctionnement de la thyroïde -, ainsi que du zinc, un antioxydant très protecteur, qui n'existent pas dans la viande.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
La suite du classement: Albert Ménès, Sardines sans peau, 5,30 euros la boîte de 69g; José Gourmet, Sardines à l'huile d'olive vierge extra, 3,20 euros la boîte de 125g; La Perle des Dieux, Sardines à l'huile d'olive, 3 euros la boîte de 115g; La Compagnie bretonne du poisson, Sardines à l'huile d'olive, 3,60 euros la ...
Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
La boite de thon de Cora a obtenu la plus mauvaise note global de l'étude avec 9/10. Le magazine lui reproche son taux élevé de sel et un taux de mercure important 0,66 mg/kg. (la limite légale est de 1 mg/kg).
La volaille est la viande à privilégier au quotidien selon le PNNS*. Comme de nombreuses viandes de volaille, le poulet possède de qualités pour le corps… et la santé ! Son premier atout : le poulet est riche en protéines (26g/100g) : un plus pour augmenter la masse musculaire (et donc, la performance des sportifs !).
Des scientifiques chinois ont constaté que consommer un œuf par jour pouvait contribuer à réduire le risque de troubles cardiovasculaires. Sur les œufs on entend tout et son contraire : il ne faut pas en abuser, ils font grimper le cholestérol, ils sont bons pour la santé…
On peut manger plus de six œufs par semaine sans risques. FAUX. On conseille en général aux adultes en bonne santé de consommer 5 à 6 œufs par semaine, pas plus, les œufs étant une source alimentaire importante de cholestérol (186 mg par œuf).