Sensations de malaise, tête qui tourne, bouffées de chaleur, "trous noirs", nausées, amnésie ou encore trouble du comportement sont rapportés par les victimes. Mais toutes ne ressentent pas forcément la piqûre : certaines constatent une trace de piqûre à postériori des effets, d'autres non. Les effets sont variables.
L'aiguille perce les 3 couches de ta peau : l'épiderme (insensible), le derme, puis l'hypoderme. En s'enfonçant la pointe de l'aiguille touche quelques terminaisons nerveuses, ce qui produit la première petite sensation de douleur.
Les personnes recevant une injection de drogue évoquent également des maux de tête, de la fièvre, des bouffées de chaleur, des maux de ventre ou des nausées. "Les effets se font ressentir 15 à 30 minutes après absorption et durent environ une heure", indique le site Drogues Info service.
Vérifier le calibre de l'aiguille, si elle est creuse, la présence de sang visible sur l'aiguille ou dans la seringue, la probabilité que le sang ait séché ou qu'il ait été exposé à la chaleur ou au gel depuis l'utilisation. Les aiguilles de gros calibre qui contiennent visiblement du sang posent le plus de risque.
Une piqûre de seringue se présente comme un petit orifice, généralement entouré par un hématome. En d'autres termes, un tout petit trou cerné de rouge ou de bleu. "Mais la difficulté réside dans le fait que la réaction dépend de chacun. Certains ne vont absolument pas bleuir, par exemple", précise Amine Ayari.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
Vous pouvez utiliser un anesthésique local pour diminuer la douleur causée par la piqûre de l'aiguille. Les anesthésiques locaux ont pour effet d'engourdir la peau. Toutefois, ils ne soulagent pas l'inconfort ni la sensation de brûlure ou de froid causée par l'injection du liquide dans la peau.
Elle se pratique dans une région où les muscles sont épais, en dehors du trajet des gros vaisseaux et des nerfs importants, le plus souvent dans la fesse. Pour éviter le nerf sciatique, la piqûre doit être faite dans le quadrant supéroexterne de la fesse.
Une vaccination peut être légèrement douloureuse au moment de la pénétration de l'aiguille et de l'injection du produit. Toutefois, cela ne dure que quelques secondes. Il n'est pas utile de prendre un anti-douleur (comme du paracétamol) avant de se présenter chez le vaccinateur.
Après avoir effectué votre injection, vous pouvez ressentir une douleur à l'endroit de la piqûre. Cette sensation douloureuse est généralement due à une injection trop rapide ou un produit trop froid.
Causes : pourquoi avoir peur des piqûres ? La phobie des aiguilles relève à la fois de l'inné et de l'acquis. Les experts s'accordent en effet à dire qu'elle peut avoir des origines génétiques ou expérimentales. De nombreuses personnes effrayées par les aiguilles ont des parents qui souffrent eux-mêmes de bélénophobie.
Les amphétamines sont couramment appelées speed, pills, peanut, pilule, pilou, amphé, amphet, etc. On les retrouve aussi en capsule ou simplement en poudre.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Les veines du bras sont généralement utilisées pour les injections intraveineuses, mais si ces zones comportent trop de tissu cicatriciel ou sont endommagées, les drogues peuvent être injectées dans des veines d'autres parties du corps, y compris celles des cuisses, du cou, des aisselles ou des pieds.
Comment savoir si vous avez été drogués ? Si vous buvez, sachez quelles sont vos limites. Les symptômes de ces drogues varient, mais les victimes font souvent état d'une vision floue et de pertes de mémoire. Les effets peuvent commencer dans les minutes qui suivent la consommation de la boisson.
L'excitation, l'hyperactivité et l'agitation qu'elle provoque peuvent être à l'origine d'une insomnie et d'un épuisement physique. La dilatation des pupilles, la bouche sèche, un langage précipité, une mauvaise coordination des mouvements, et des sautes d'humeur permettent souvent de repérer les consommateurs.
Le Buddha Blues, nom commercial d'un cannabinoïde de synthèse, se consomme avec une cigarette électronique. Ce produit stupéfiant peut provoquer de graves effets, de l'hallucination à la paralysie.
Une récente étude américaine apporte (peut-être) une solution à ce problème : selon des chercheurs de la University of Californa (États-Unis), sourire ou grimacer pendant une injection permettrait de réduire la sensation douloureuse et le stress de cette dernière.
Le milieu de la cuisse. Injectez le médicament dans le milieu de la cuisse où la couche de graisse est plus épaisse. C'est ce qu'on appelle le muscle antérolatéral de la cuisse. Utilisez la face externe du haut de la cuisse.
Injections aux lèvres et douleur
Certaines femmes affirment que pendant les injections, elles ont senti un petit inconfort, tandis que d'autres rapportent une douleur très vive. La douleur peut ensuite survenir après que la crème ne fasse plus effet et peut durer plusieurs heures.
Numéro 1 de la douleur : la guêpe guerrière
Synoeca septentrionalis ou guêpe guerrière est présente en Amérique du sud. Et cette fois pour décrire sa piqûre il s'agit carrément de « torture. Vous êtes enchaîné dans l'écoulement d'un volcan actif ».