une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres. des troubles de la vue, comme une vision double ou l'incapacité de voir, surtout d'un œil.
L'AVC silencieux, ou l'absence de symptômes. Sourire asymétrique, faiblesse d'un côté du visage ou du corps, difficultés à s'exprimer… En règle générale, les signes de l'AVC sont relativement faciles à reconnaître. Mais il arrive que cette pathologie ne provoque aucun symptôme : on parle alors d'AVC silencieux.
Il peut arriver que l'obstruction d'une artère cérébrale ne soit que temporaire et qu'elle se résorbe naturellement, sans laisser de séquelles. On appelle ce phénomène un accident ischémique transitoire ou AIT, ou mini-AVC.
Un mini-AVC est une forme moins grave d'AVC. Il se produit lorsque la circulation sanguine vers une partie du cerveau est interrompue. Il est généralement causé par un caillot sanguin qui bloque une artère qui alimente le cerveau en sang.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.
Le stress chronique affecte le système cardiovasculaire, endommageant ainsi les artères au cas où on le laisse passer sans traitement. Le dommage vasculaire peut mener éventuellement à un AVC, qui constitue une urgence médicale provenant d'une artère dans le cerveau qui soit se rompe, soit se bouche.
Dans 25 à 30% des cas, la rééducation va leur permettre de récupérer un bon niveau de langage en 6 à 18 mois. Mais 20 à 25% des aphasiques décèdent et 50% conservent des troubles importants. C'est dans les six premiers mois que la récupération spontanée est la meilleure, après elle décroit.
Le médicament antiplaquettaire le plus connu et le plus utilisé est l'acide acétylsalicylique (AAS), communément appelé aspirine. Votre médecin vous dira si vous pouvez prendre de l'AAS et combien vous devrez en prendre afin de réduire vos risques d'AVC.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
La rééducation est une étape fondamentale du traitement de l'AVC. Elle doit commencer le plus rapidement possible, dès que l'état de santé le permet. Généralement entamée à l'hôpital, elle se poursuit à domicile ou en centre spécialisé, selon les cas. La rééducation a trois objectifs principaux.
Des médicaments antiagrégants plaquettaires sont prescrits après un AVC ischémique. Ils empêchent les plaquettes du sang de s'agglutiner et donc les caillots de se former. Il peut s'agir de l'aspirine donnée à des doses précises, ou d'autres médicaments comme le clopidogrel ou le ticlopidine.
Il faut que la population sache reconnaître au moins les trois signes les plus fréquents de l'accident vasculaire cérébral : une déformation de la bouche, une faiblesse d'un côté du corps (bras ou jambe), des troubles de la parole.
Contrairement à l'AVC, l'accident ischémique transitoire ou AIT résulte d'une obstruction artérielle très transitoire, qui n'entraîne pas de lésion du cerveau. Ses symptômes sont les mêmes que l'AVC, mais ils durent de quelques secondes à quelques minutes (moins d'une heure) avant le retour à la normale sans séquelles.
Les avantages d'un plein sommeil à la suite d'un AVC
Tandis que le cerveau se sert habituellement de 20 % de notre énergie totale, ce pourcentage grandit pendant la récupération après un AVC : impliquant que le cerveau a moins d'énergie pour vous garder alerte et éveillé.
Le risque de récidive après un AVC reste élevé, près de 13% à 5 ans. Après un infarctus cérébral ou un accident ischémique transitoire d'origine athéroscléreuse, il est recommandé de prescrire un traitement par statine à forte dose pour diminuer le taux de LDL cholestérol dans le sang (mauvais cholestérol).
"Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC", indiquent les auteurs. "Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans".
Chez le neurologue
Si vous avez eu un accident vasculaire cérébral (AVC), vous êtes suivi par un neurologue ou un spécialiste des maladies neurovasculaires. Avec votre médecin traitant et votre cardiologue , il mettra en œuvre un programme thérapeutique pour éviter les récidives d'AVC ( accident vasculaire cérébral ).
Une façon de le faire est d'effectuer les exercices cognitifs qui se concentrent sur la conscience spatiale. Tout comme le cerveau peut se recâbler pour améliorer la coordination des jambes, on peut améliorer pareillement les fonctions cognitives. Tout s'appuie sur la pratique répétitive.
Trois raisons sont généralement avancées pour expliquer l'élévation du risque de mort subite le matin, entre 6h et 9h. L'augmentation physiologique à cette période la journée de la tension artérielle, celle de la fréquence cardiaque et la libération dans le sang d'hormones comme le cortisol.
Dans le cas d'une occlusion de la veine centrale de la rétine, l'AVC de l'œil se caractérise par une baisse de l'acuité visuelle rapide, un œil calme et non douloureux, et une sensation de brouillard.
Les différents types d'AVC
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.