Depuis les années 1980, plusieurs études ont prouvé qu'une minorité de bardots femelles est capable de se reproduire, certainement grâce à la grande proximité génétique entre le cheval et l'âne.
Les mulets sont toujours stériles. Très rarement les mules peuvent être fécondées par un âne ou un étalon.
Issu du croisement d'un âne et d'une jument, le mulet est stérile, comme de nombreux hybrides interespèces. Ses cellules possèdent un nombre impair de chromosomes (63), caractère rédhibitoire pour les appariements chromosomiques qui préludent au développement de l'embryon (1).
Le croisement de l'espèce chevaline avec l'âne (Equus asinus) produit des animaux sauf exception stériles : le mulet et la mule sont le fruit de l'union d'une jument avec un âne, tandis que le bardot naît de celle d'un cheval et d'une ânesse.
La reproduction est possible toute l'année, avec des variations saisonnières près de l'équateur. En France la saison sexuelle s'étend de mars à septembre. Les cycles sexuels normaux durent 3 semaines, les chaleurs 3-4 (2-10) jours et la gestation 12,5 mois environ.
Le mulet ou la mule sont le résultat de l'accouplement d'un âne et d'une jument. Ces deux équidés ayant un génome proche, la reproduction est possible, mais l'hybride est la majeure partie du temps stérile.
Les mules ou mulets, issus de croisement entre âne et jument, ou les bardots, issus de croisement entre cheval et ânesse, sont des hybrides stériles. Mais à Saint-Mathurin, commune de Vendée, un jeune couple a eu une belle surprise.
Hormis par la taille, le bardot est un peu plus proche du cheval que de l'âne, notamment en raison de ses caractéristiques physiques et de sa préférence pour le hennissement. Le bardot est statistiquement stérile, en raison du nombre impair de ses chromosomes, hérités de ses deux parents.
Les ânes peuvent également être accouplés à des chevaux : Le bardot (dont la femelle est la bardine) est issu du croisement d'un étalon (cheval mâle) et d'une ânesse (âne femelle). Le mulet (dont la femelle est la mule) est issu du croisement d'un baudet (âne mâle) et d'une jument (cheval femelle).
La plupart des animaux qui procréent par parthénogenèse sont de petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui peuvent alterner entre la reproduction sexuée et asexuée.
On les appelle mulets (ou mules), et ils sont quasiment incapables de se reproduire (seulement 60 naissances naturelles enregistrées par les Britanniques). D'où le risque de disparition de l'espèce. C'est pour cela que l'on considère que l'âne et la jument font partie de deux espèces différentes.
On peut reconnaître si l'âne est content, en colère, attentif, craintif suivant la manière dont sont positionnées les oreilles.
Si la pâture est riche, on peut raisonnablement estimer que 5.000 m2 (un demi-hectare) sont suffisants pour un âne. Cette surface assure une alimentation correcte pendant une grande partie de l'année ; il suffit d'ajouter une complémentation en hiver, avec du foin par exemple, lorsque l'herbe ne pousse plus.
Son alimentation est principalement composée, à la belle saison, d'herbes de son pâturage : il se régale de chardons, de ronces, d'aubépines et de branches de frêne, d'orme ou de charme. L'hiver, son alimentation est essentiellement le foin. Il en mange en moyenne 5 kilos par jour.
Le mot « mule » peut être utilisé pour tout hybride, et est un croisement entre deux espèces d'équidés : le cheval ou le poney (Equus caballus) et l'âne domestique (Equus asinus).
La robe est généralement de couleur noire ou bai brun, et le poids n'excède pas 600 kg, pour une taille maximale de 1,60 m. La mule est excellente pour le travail, elle peut porter des charges de 200 kg.
C'est le cas entre autre de la mule (hybride femelle) et du mulet (hybride mâle). En effet, cet animal est issu du croisement entre un âne mâle (Equus asinus), et une jument (Equus caballus), tout deux étant du genre Equus qui relève de la famille des équidés.
Reproduction des hybrides
Ils ne sont en effet fertiles que si leurs parents ont le même type et le même nombre de chromosomes – ce qui est le cas de la chienne et du loup, qui donnent la crocotte (fertile) mais pas de la jument et de l'âne (qui donnent une mule ou un mulet, stériles).
1. Hybride mâle, stérile, produit par l'accouplement d'un âne et d'une jument. (La femelle est la mule.) ; race de cet hybride, comprenant des individus mâles comme femelles, telle que le mulet breton.
Les mules sont plus grandes et plus fortes que les ânes, mais elles ont des oreilles un peu plus petites. Elles ne braient pas comme un âne, et ne hennissent pas vraiment non plus comme un cheval. Chaque mule émet des sons originaux. Selon les races de ses parents, il existe différentes races de mule.
Il est généralement admis que des animaux ou des plantes d'espèces différentes ne se reproduisent pas ensemble, ou s'ils le font, que leur descendance hybride est stérile. C'est le cas pour le cheval et l'âne qui donnent des baudets ou des mules (selon qui est la mère) stériles.
Il existe des cas d'hybridation non viables entre espèces, des cas où la fécondation mélangera des matériaux génétiques non compatibles. Complement internaute : La fécondation se fait grâce à l'apparition d'une petite cavité (ou trompe) au sein du noyau des spermatozoïdes.
1. Hybride stérile issu de l'accouplement d'un cheval et d'une ânesse, d'allure plus chevaline que le mulet. 2. Petit mulet qui, en tête de la troupe, porte les provisions du muletier.
Pour épouvanter des brigands, ils montent les uns sur les autres, l'âne en bas et le coq en haut. L'âne se trouvant à l'opposé du coq. «Sauter du coq à l'âne» signifiant alors «passer sans transition d'un extrême à l'autre».