Le cancer de l'enfant est associé à un ensemble de symptômes annonciateurs (fièvre, céphalées sévères et persistantes, douleurs osseuses et perte de poids) que les familles et les prestataires de soins de santé primaires formés peuvent repérer [6]. Le dépistage n'est généralement pas utile pour les cancers de l'enfant.
Ces symptômes peuvent être une pâleur, de la fatigue, de la fièvre, une perte de l'appétit, des douleurs osseuses ou articulaires, des hématomes, des douleurs abdominales, des maux de tête, un déficit visuel, des troubles de la marche, des chutes, un torticolis, des vomissements répétés…
C'est 1 enfant sur 440 qui développe un cancer avant l'âge de 15 ans en France et le nombre de cancers des enfants augmente de 1 à 2% par an en Europe, depuis 30 ans. Aujourd'hui les cancers pédiatriques représentent toujours la première cause de mortalité par maladie chez les moins de 15 ans.
Les causes réelles du cancer des enfants sont encore très mal connues. En effet, contrairement aux adultes, les enfants sont souvent « vierges » de la consommation de facteurs favorisant le développement de cancer chez l'adulte (alcool, tabac, mauvaise hygiène de vie…).
Le signe astrologique du Cancer, de symbole ♋︎, est lié aux personnes nées entre le 21 juin et le 22 juillet en astrologie tropicale.
Le mésothéliome pleural (cancer de l'amiante) est le plus souvent mortel.
Le tabac : « ennemi numéro 1 »
La Ligue contre le cancer, qui sera présente durant les quatre jours du Congrès mondial contre le cancer à Paris, estime que le tabac est « l'ennemi numéro 1 car responsable de la première cause de mortalité prématurée, mais aussi la première cause de cancers évitables ».
Les cancers les plus fréquents sont : la maladie de Hodgkin (22 % des cas), les tumeurs du système nerveux central, leucémies aiguës surtout lymphoblastiques (12 %), cancers de la thyroïde (9 %), tumeurs osseuses (8 %), lymphome non hodgkiniens (7 %).
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Une saine alimentation. L'alimentation est primordiale comme outil de prévention. Par exemple, le fait de manger des fruits et légumes en abondance pourrait contribuer à réduire le risque à vie de souffrir de certains types de cancer (et d'autres maladies).
ne pas faire suffisamment d'activité physique; boire de l'alcool; être en contact avec des substances chimiques nocives à la maison ou au travail; être atteint de certains types d'infections.
Le pleuropneumoblastome (PPB) est une tumeur maligne rare et agressive de l´enfant, représentant 1% des tumeurs pulmonaires. Il peut être extra pulmonaire de siège pleural ou médiastinal. Il survient aussi bien chez les garçons que chez les filles avant l'âge de 4 ans.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.
taches rouge foncé de la grosseur d'une tête d'épingle apparaissant sous la peau à cause d'un saignement (pétéchies) infections fréquentes. douleur osseuse ou articulaire susceptible de faire boiter. ganglions lymphatiques plus gros que la normale.
Signes de maladies graves
Consultez en urgence si, malgré un traitement contre la fièvre, vous observez les signes suivants: votre enfant a un teint bleu-gris ou les lèvres bleues. il est très fatigué, angoissé et se sent très mal. il est mou comme une poupée de chiffon ou refuse de bouger.
Le principe est de dire « avec des mots gentils » la vérité en y allant progressivement. « Si c'est un cancer du sein, par exemple, on peut expliquer que maman a une boule au sein, qu'on ne sait pas très bien ce que c'est et qu'on va l'analyser.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Le cancer du poumon, le cancer de l'ovaire, le cancer colorectal, les cancers du col utérin ainsi que le cancer du sein, peuvent tous passer inaperçus par les patients jusqu'à ce qu'ils soient très avancés, au stade 3 ou 4. Ces tumeurs sont souvent définies comme les cancers de «stade tardif».
Des tests sanguins permettent la détection précoce d'une cinquantaine de cancers, et pas seulement des cancers du sang.
Les analyses sanguines ainsi que les radiographies ou les tomodensitométries peuvent servir à identifier le problème. Toutefois, c'est plus souvent à la suite d'une intervention chirurgicale et de l'examen de la tumeur au microscope que le cancer est diagnostiqué.
Le cancer de l'enfant est associé à un ensemble de symptômes annonciateurs (fièvre, céphalées sévères et persistantes, douleurs osseuses et perte de poids) que les familles et les prestataires de soins de santé primaires formés peuvent repérer [6]. Le dépistage n'est généralement pas utile pour les cancers de l'enfant.
Le cancer de la prostate, le plus fréquent chez les hommes, présente un bon taux de survie, avec 76% et même 80% dans le groupe des patients âgés de 45 à 74 ans. Le cancer le plus courant chez les femmes, le cancer du sein, est encore mieux soigné, avec un taux de survie moyen de 83%.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Les cellules du corps humain brûlent des sucres pour se développer et se multiplier, mais le fait de manger des aliments sucrés ne fait pas croître les cellules cancéreuses plus rapidement. C'est le sucre (glucose) qui fournit l'énergie nécessaire à chacune des cellules de l'organisme.