Par contre, ces baleines s'habituent à la présence humaine et perdent leur méfiance; sans être agressives, elles peuvent alors avoir des comportements dangereux, pour elles comme pour les humains.
Il existe de nombreuses espèces de mammifères marins dans les océans, mais de tous, le béluga a sûrement la tête la plus sympathique. Son éternel sourire, qu'il affiche partout où il passe, n'y est sans doute pas pour rien !
Les principaux prédateurs de l'espèce sont l'épaulard, l'ours polaire et l'humain. De par ses activités, l'humain constitue la principale menace pour la population de béluga du Saint-Laurent.
Les bélugas sont de taille forte, ont un cou non soudé et une petite tête qui est disproportionnée avec le reste de son corps. Ils ont la peau épaisse, des nageoires en forme de large pagaie et des dents bien acérées. Contrairement aux autres baleines, les bélugas n'ont pas de nageoire dorsale.
Ceux-ci vivent principalement dans les zones glacées de l'Arctique, et les deux tiers de la population mondiale (environ 136 000 individus) passent l'été dans les eaux canadiennes.
Dans la première année de vie, les bélugas sont des veaux. On appelle «bleuvet» les jeunes d'un à deux ans, en référence à leur coloration gris bleuté. Les juvéniles plus âgés sont appelés «gris», jusqu'à ce que leur peau devienne complètement blanche vers 12 à 16 ans.
L'alimentation des bélugas dépend de la saison et de la région. Elle peut comprendre des capelans, des morues polaires, des harengs, des saumons, des éperlans, des eulakanes, des lamproies, des crevettes, des calmars et des vers marins.
L'ours polaire est un prédateur pour les espèces arctiques comme le béluga et le narval. Pour les bélugas, l'ours profite du moment où ils viennent respirer à la surface par un trou dans la glace pour les assommer d'un coup de patte et les hisser sur la banquise.
Une espèce de poisson de la famille des esturgeons est également appelée béluga. Ce poisson en danger d'extinction est célèbre pour son caviar.
Le sevrage se fait vers 2 ans. Les orques ne connaissent aucun prédateur mais sont les prédateurs de tous : baleines, dauphins, éléphants de mer, phoques, requins, thons, harengs, saumons…
Des attaques de front, des coups de queues ou des claquements violents de la mâchoire sont des comportements observés en situation potentiellement dangereuses pour eux.
Le bélouga ou béluga (Delphinapterus leucas) est aussi appelé baleine blanche, dauphin blanc ou marsouin blanc en raison de la couleur de sa peau. Son nom vient du mot russe belukha qui signifie “blanc”. Avec le narval, le cétacé forme la famille des Monodontidés.
Dans un monde totalement protégé, Turritopsis Nutricula pourrait donc se régénérer indéfiniment et être l'animal qui vit le plus longtemps. Mais les mers ne sont pas sans danger pour autant. Car si elle peut inverser son processus de vieillissement, elle n'en reste pas moins mortelle, face aux prédateurs.
Béluga: On peut observer le béluga dans l'estuaire du golfe du Saint-Laurent et dans le fjord du Saguenay. Bien que le voir n'est pas rare, ne vous détrompez pas, sa population est en déclin.
De son nom scientifique Delphinapterus leucas, le béluga est aussi surnommé "baleine blanche" et "dauphin blanc". Il appartient au sous-ordre des odontocètes (cétacés à dents), qui comprend également le cachalot, l'orque, le dauphin, le marsouin, le narval et le globicéphale.
Le béluga possède un système très performant d'écholocation comparable à un radar, pour naviguer et trouver ses proies.
Lorsqu'ils se mettent en chasse de larges proies telles que les baleines, les orques encerclent l'animal, lui laissant peu d'échappatoire. Les orques communiquent de diverses manières sous l'eau, notamment par le biais d'ultra-sons.
« Vu que le changement climatique perturbe les températures de l'eau et les directions des courants, le béluga s'est perdu », détaille Élodie Lafitte. C'est de cette manière qu'il serait rentré dans l'estuaire parce « qu'il n'aurait plus trouvé les courants ou les zones d'eau actuelles dans lesquelles il nage. »
L'une des hypothèses met en cause l'évolution des pôles magnétiques terrestres. L'océanographe François Sarano interrogé par Ouest-France explique que cette évolution amène certains animaux comme le béluga " à ne pas prendre le bon chemin au départ" car ils "utilisent leur perception magnétique pour s'orienter".
Le béluga, une espèce protégée, se trouve "actuellement entre le barrage de Poses et celui de Saint-Pierre-la-Garenne", à environ 70 km au nord-ouest de Paris. Il est demandé à la population de ne pas tenter de l'approcher ou d'entrer en contact avec lui.
Le béluga (Delphinapterus leucas), aussi appelé baleine blanche ou dauphin blanc, est un grand mammifère marin blanc de la famille des Monodontidés. On le trouve dans les océans et mers au nord du globe. Piscivore, il se nourrit essentiellement de poissons.
Béluga dans la Seine : le cétacé est mort lors de son transport vers Ouistreham. Le béluga, qui avait été découvert il y a plus d'une semaine dans la Seine, a dû être euthanasié lors de son transfert d'une écluse de l'Eure au port de Ouistreham (Calvados), a annoncé la préfecture du département normand.