Les oiseaux, quant à eux, possèdent des récepteurs à la douleur et la ressentent comme les mammifères. Dans une étude publiée en 2000, les poules dont la patte était blessée choisissaient la nourriture dans laquelle avaient été injectés des antidouleurs.
En revanche, les insectes en sont dépourvus (un criquet continue à manger pendant qu'il se fait dévorer par exemple). On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur.
Epouvantails ou CD scintillants sont censés faire peur aux oiseaux, mais ceux-ci, pas si bêtes, se rendent rapidement compte qu'il ne s'agit que de leurres, et finalement la gourmandise l'emporte sur la crainte. Il existe pourtant un truc qui semble efficace : la couleur bleue.
Le pigeon, une si mauvaise réputation. A hanter nos squares et caniveaux, avec sa tête qui accompagne sa démarche d'un mouvement saccadé d'avant en arrière, le pigeon est le mal aimé de notre nature en ville. Moche, il serait vecteur de maladies, prolifique et pas très intelligent. En somme, une nuisance invasive.
Les pigeons sont capables de faire la distinction entre les concepts abstraits du temps et de l'espace, à l'instar des humains et des grands singes, selon des expériences qui révèlent que ces oiseaux sont plus intelligents qu'on ne l'imaginait.
Les pigeons communiquent majoritairement par roucoulement, courts grognements et battements d'ailes. Ils sont également capables d'identifier les communications des autres espèces : ils distinguent très bien le cri d'alarme du merle de son chant. Le premier déclenchant un envol, mais pas le second.
COLOMBOPHILE (adj.) [ko-lon-bo-fi-l'] Qui aime, élève des pigeons, surtout des pigeons voyageurs.
Le reste du temps, les pigeons se regroupent donc dans des «dortoirs». Ils le font souvent «dans des arbres, sur certaines places parisiennes par exemple, ou dans des abris où ils peuvent aussi se reproduire : sous des toits, sous des ponts, dans des constructions abandonnées, etc.»
Il est plutôt rare qu'un individu d'une espèce soit capable de différencier différents individus d'une autre es- pèce que la sienne. Nous, humains, n'arrivons pas à le faire avec les oiseaux.
Les pigeons adorent les balcons, car ils les voient comme de grands perchoirs confortables leur permettant de surveiller le monde qui les entoure en toute sécurité. Néanmoins, leur présence peut être très pénible, notamment en raison de leurs fientes qui souillent votre extérieur et votre mobilier.
Une étude menée en 2007 par l'Université de Montréal a permis de montrer que « le pigeon parvient à faire le même type de traitement de l'information que l'être humain avec un cerveau infiniment plus petit » et que « les pigeons recourent aux mêmes indices visuels que les humains ».
Avec d'importantes infirmités aux pattes, les pigeons entretiennent leur mauvaise réputation et l'idée reçue selon laquelle ils seraient malades. Pourtant, une nouvelle étude française révèle que ces mutilations sont mécaniques et provoquées par l'activité humaine.
«Tous les oiseaux ont une forte préférence pour les couleurs de fruits les plus répandues, noir et rouge», ont conclu les chercheurs. A contrario, tous les oiseaux ont boudé les fruits de couleur verte. Les chercheurs ont cependant relevé des nuances dans les résultats.
Le moulin à vent
Ils jouent un rôle d'épouvantail en tournant grâce à la force du vent. Les pigeons, comme d'autres oiseaux indésirables, les craignent et ne s'en approchent pas. Ils ont aussi la particularité d'égayer votre balcon ou vos fenêtres et vous indiquent, en un coup d'œil, si le vent souffle à l'extérieur.
Répulsif pigeon – eau de javel
C'est un autre odeur qui repousse les pigeons. C'est une astuce qu'on peut mettre en pratique surtout quand il s'agit des balcons. Évitez de l'appliquer dans le jardin pour ne pas nuire aux plantes. En plus l'eau de javel peut être dangereux pour les hommes aussi.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
C'est la conclusion d'une étude nord-irlandaise. Conséquence : les crabes souffriraient avant d'être ébouillantés. Le crabe n'est pas le gros dur que l'on croit. Sous sa carapace, ce petit être marin ressent la douleur, d'après une étude de chercheurs de la Queen's University de Belfast.
Huîtres, palourdes et coques
Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions. Il est donc très peu probable que ces coquillages ressentent de la douleur ou du moins, une douleur comparable à la nôtre ou à celle des vertébrés.
Remue sa queue : de haut en bas, voici encore un signe qui montre que votre présence le rassure et que votre volatile est content de vous avoir près de lui. Il bouge la tête d'avant en arrière : encore un signe positif.
Cette interdiction a pour but d'éviter les risques d'insalubrité ou de gêne pour le voisinage. Cette interdiction a également pour but de prévenir la transmission de maladies entre animaux sauvages et animaux domestiques ou de compagnie ou entre animaux sauvages et humains.
Beaucoup d'oiseaux peuvent voir différemment. Les pigeons, par exemple, peuvent littéralement voir des millions de couleurs différentes et font partie des meilleurs animaux sur terre par leur faculté de détection de la couleur.