Mettre du sel dans l'eau des pâtes permettrait de faire bouillir l'eau plus rapidement. Désolée, mais c'est plutôt le contraire, car l'eau chargée en sel contient logiquement plus de matière que l'eau non salée. Par conséquent, elle mettra plus de temps à bouillir, car elle aura besoin de plus d'énergie.
Alors pourquoi saler l'eau de cuisson? Simplement pour donner du goût. Le sel limite aussi le gonflement de l'amidon (appelé «gélatinisation») à la surface des pâtes, les empêchant de devenir trop collantes.
Le sel dans l'eau de cuisson empêche également les pâtes de devenir trop collantes, en limitant le gonflement de l'amidon. Ainsi, si votre bon «spagatte» est aussi bon, c'est un peu grâce au sel dans l'eau de cuisson. Mais c'est surtout grâce à la bonne recette de sauce spaghetti de votre maman, évidemment!
Salez après… pour préserver vos fonds de casserole
Le moment où l'on sale n'a donc pas d'impact sur le temps de cuisson des pâtes. En revanche, nous vous conseillons tout de même de saler l'eau des pâtes après ébullition.
C'est bien connu, l'huile et l'eau ne se mélangent pas. On dit que l'huile est hydrophobe. Résultat, lorsqu'on verse de l'huile dans une casserole d'eau, celle-ci va rester à la surface de l'eau et ne viendra pas faire barrière entre les pâtes.
Saler l'eau accélère-t-il son ébullition ? Non. Le sel augmente au contraire le point d'ébullition. L'eau salée mettra plus de temps à bouillir.
D'après le Handbook of Chemistry, on peut dissoudre un maximum de 360 g de sel dans un litre d'eau.
750 gr. indique qu'il est préférable de mettre le sel une fois l'eau bouillante, car les bulles brassent les grains et les maintiennent en apesanteur. Si le sel est ajouté à l'eau froide, il se déposera au fond de la casserole et pourrait être corrosif.
La première chose à faire est de les faire cuire dans de l'eau vraiment bouillante afin que l'amidon se fixe sur les pâtes et se relâche moins dans l'eau. La seconde chose à faire est d'égoutter immédiatement les pâtes une fois cuites, dans une large passoire, pour empêcher l'amidon de les faire coller.
Le sel agit là comme un exhausteur de goût. Cette méthode est particulièrement utilisée dans l'agro-alimentaire, où le sel sert à réhausser la saveur de certains plats cuisinés.
Rajouter du sel dans l'eau des pâtes dès le début de la cuisson de celle-ci permettra à l'ensemble de vos pâtes d'être salée de la même façon (ce qui ne sera pas le cas si vous salez vos pâtes une fois déposées dans votre assiette).
Faux. Le sel n'a aucune valeur calorique et ne fait donc pas prendre un gramme. En revanche, il a tendance à faire gonfler les personnes sujettes à la rétention d'eau. Pour rappel, la quantité journalière de sel recommandée par l'OMS est de 5 à 6 g par personne.
Saler en début de cuisson, c'est la règle pour les légumes, riz, pâtes, etc. qui cuisent à l'eau bouillante : on ajoute du gros sel une fois l'ébullition obtenue (ça va plus vite), pour qu'il ait le temps de se diffuser uniformément au cœur des aliments.
Doses létales de quelques produits
Doses létales de produits pouvant entrainer la mort d'un homme de 70 kg : alcool à 90° : 500 g ; sel de table : 225 g ; ibuprofène : 30 g.
1 cuillère à café pour 10 g.
3. Calcul de la quantité de sel pour un volume d'eau donné Prenons un exemple : une piscine d'un volume de 50 m3 et un électrolyseur fonctionnant à 4 g/L soit à 4 kg/m3. Le calcul est le suivant : 50 x 4 = 200 Kg de sel nécessaire.
Le taux de salinité de la mer Morte est de 34,2% (contre 3,5% pour la mer Méditerranée). Il s'agit du quatrième plan d'eau le plus salé au monde, derrière l'étang Don Juan en Antarctique et les lacs Vanda et Assal à Djibouti.
« Mieux vaut utiliser l'eau froide pour faire la cuisine », dit la toxicologue Tamaro Diallo, qui explique que l'eau chaude du robinet est plus susceptible de contenir des contaminants et des métaux toxiques, notamment parce que la chaleur de l'eau facilite la dissolution des métaux toxiques comme le plomb.
Oui, cela permet de le débarrasser de l'amidon que contient naturellement le riz et qui donne un aspect collant.
En cuisant, les pâtes rejettent de l'amidon dans l'eau de cuisson. C'est cela qui les fait coller les unes aux autres. Le vinaigre blanc, lui, neutralise l'effet de l'amidon. Résultat, les pâtes ne collent pas.
La plupart du temps, sur les paquets, il est préconisé de cuire 100 g de pâtes par personne. Cela peut ne pas sembler beaucoup, mais il faut bien comprendre qu'une pâte crue et une pâte cuite n'ont pas le même poids. Ainsi, 100 g de pâtes crues représentent environ 250 à 300 g de pâtes cuites.
Les parfaits exhausteurs de goût
Avec des pâtes au poulet, l'origan (la plus italienne des épices), le curcuma ou le paprika sont d'excellents choix. Le safran quant à lui offre une touche de raffinement. Pour des pâtes à la crème, la noix de muscade est incontournable.
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Risque de dénutrition: si on a eu l'habitude de manger salé et si l'on est mince, l'absence de sel expose à une perte d'appétit, puisque les plats n'ont plus de goût. Résultat: perte pondérale et forcément perte de masse musculaire… et à terme d'autonomie. Risque de déshydratation: le sel retient l'eau.
Le sel extrait de l'eau de mer est le plus intéressant pour notre organisme, car le mieux équilibré en sels minéraux. Le sel de mer est plus riche en magnésium (sous forme de chlorure de magnésium), potassium et calcium ainsi qu'en oligo-éléments.