En effet, les Moules sont riches en protéines (20 g pour 100 g) et contiennent peu de lipides et de glucides (environ 3 g). Ce sont des trésors de bienfaits : elles figurent parmi les aliments les plus riches en calcium, magnésium, fer, zinc et sélénium.
Selon la tradition, effective aussi pour les autres coquillages comme les huîtres, on ne devrait manger des moules que pendant les mois en -r : janvier, février, mars, avril, septembre, octobre, novembre, et décembre.
De bonnes teneurs en vitamine du groupe B (B1, B2, B3, B9 et B12) La moule est une excellente source de vitamine B1. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 participe à la production d'énergie à partir des glucides que nous consommons. De plus, elle contribue à la transmission de l'influx nerveux.
Cesoméga 3 seraient aussi dotés d'effets anti-inflammatoires, utiles dans le traitement de pathologies comme l'asthme, l'arthrite rhumatoïde, le psoriasis[2] et les maladies inflammatoires de l'intestin. Ils contribueraient aussi à la prévention des troubles de l'humeur comme la dépression[3].
Les moule sont très riches en fer, une portion de 100 grammes couvre d'ailleurs 80 % de l'apport recommandé journalier. Indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire, le fer favorise l'oxygénation du sang des cellules et des muscles.
Les personnes atteintes de cancer, de maladies du foie, de diabète, de troubles du système immunitaire ou de troubles digestifs ne devraient manger des moules que lorsqu'elles ont été bien cuites.
Une neurotoxine présente dans les fruits de mer est dommageable pour les reins, même à petites doses.
Quelle quantité de moule par personne
Comptez 400 g (1/2 litre) par personne s'il s'agit d'une entrée mais en plat unique, comptez 1 litre de moule par personne. Cela vous semble peut être beaucoup mais sachez qu'une moule se compose de : sa coquille : 40% de son poids.
Les moules sont pauvres en lipides (moins de 2 g de lipides pour 100 g de moules) lorsqu'elles sont cuisinées « à la marinière », c'est-à-dire sans matières grasses. Des minéraux en abondance.
Calories moules
100 grammes de cet aliment représentent une valeur énergétique de 114 calories ou kilocalories (ou 483 kilojoules). En moyenne, les produits de la catégorie crustacés et fruits de mer apportent une valeur énergétique équivalente à 93 kilocalories.
Elles fournissent un cocktail de vitamines, en particulier, E, B9 et B12 : 100 g représentent 7 fois l'apport conseillé en vitamine B12. À savoir : les moules sont relativement riches en sodium, leur consommation ne doit pas être excessive en cas d'hypertension artérielle ou de régime contrôlé en sel.
La moule de corde est de taille légèrement supérieure avec une couleur de chair plus soutenue que la Bouchot, mais est un peu plus fragile. La chair de cette moule à un goût iodé très prononcé du fait de sa culture en pleine mer.
Prenez une coquille vide et utilisez-la comme une pince. Tenez la moule que vous souhaitez manger dans le creux de la main, puis, dans l'autre main, la pince naturelle retire la chair délicatement. Cette technique traditionnelle reste raffinée et évite de manger les moules avec les doigts.
Pour autant, il faut laver les moules. Ainsi, elles seront débarrassées des impuretés, des grains de sable, des éclats de coquille… Pour autant, ne vous découragez pas : il n'est pas vraiment nécessaire, comme on l'entend parfois, de gratter les moules une à une. Un brassage énergique de l'ensemble sera suffisant.
La moule de bouchot : probablement celle qui a le plus de succès. Originaire de France, elle se déguste de juillet à novembre. Elle est petite et de couleur crème et orangée. La moule de Bouzigues : venue de Méditerranée, elle est plus charnue et plus grosse.
Il ne faut pas manger les moules fermées après cuisson
Cela est en effet lié au fait que certaines moules possèdent un muscle puissant qui empêche l'ouverture. Pour y remédier, il suffit de l'ouvrir avec précaution à l'aide d'un petit couteau.
Plat dépaysant et réconfortant, les moules marinières peuvent être consommées sans problème par les personnes diabétiques.
Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions. Il est donc très peu probable que ces coquillages ressentent de la douleur ou du moins, une douleur comparable à la nôtre ou à celle des vertébrés.
La saison pour déguster les moules s'échelonne de juillet à janvier. L'élevage des moules, aussi appelée mytiliculture, fait de la Bretagne la deuxième région productrice derrière la Normandie.
on compte en moyenne 2 litres pour équivalent 1 kg quand on mesure des moules en coquilles.!
Les moules marinières peuvent très bien s'équilibrer avec les vins blancs secs dotés d'une bouche nerveuse. C'est le cas par exemple des gros plants pays nantais, le Muscadet. Les vins effervescents secs comme le crémant d'Alsace ou le Vouvray peuvent très bien se servir sur des moules marinières.
La pastèque
Elle contient plus de 90 % d'eau ce qui en fait un fruit très peu calorique. Riche en vitamines et en sels minéraux, la pastèque permet de prévenir certaines maladies touchant les voies urinaires comme la cystite. Elle aide aussi à renforcer les reins.
Les causes majeures sont le diabète et l'hypertension artérielle. Le sang s'acidifie, une anémie se développe, les nerfs sont endommagés, les tissus osseux se détériorent et le risque d'athérosclérose augmente.