Certes, tout homme est philosophe, mais il n'est pas interdit de dire que certains ne pratiquent pas la philosophie. Mais tout homme ne pratique pas la philosophie Tout homme n'est pas philosophe. En premier lieu, toute pensée ou vision du monde n'est pas nécessairement une philosophie.
Tout homme en société doit penser sa vie dans cette société, tout homme doit penser sa société. L'homme est un être philosophique parce qu'il n'est pas automatique, L'homme est philosophique parce qu'il est organisé autour d'une béance, béance qu'il doit combler par sa réflexion.
Il faut appeler philosophes ceux qui s'attachent en tout à l'essence, et non amis de l'opinion. Platon (Athènes vers 427-Athènes vers 348 ou 347 avant J. -C.)
Personne qui étudie rationnellement la nature; personne qui cherche la vérité et cultive la sagesse. Synon. sage, savant.
Au sens antique, le philosophe est la personne qui « cherche la vérité et cultive la sagesse », comme Socrate et Platon, Épicure, Lucrèce ou encore Épictète et Sénèque.
Mais tout homme ne pratique pas la philosophie Tout homme n'est pas philosophe. En premier lieu, toute pensée ou vision du monde n'est pas nécessairement une philosophie. La philosophie est au sens strict une pensée critique, conceptuelle, personnelle. C'est pourquoi elle n'est pas à la portée de tout le monde.
Un philosophe, c'est quelqu'un qui se questionne beaucoup. Ainsi, reconnaître un philosophe revient peut-être à voir les personnes (comme toi ^^) qui se posent plusieurs questions sur n'importe quoi ou qui cherchent à démêler le vrai du faux, des personnes justes et curieuses.
Dans le langage courant, on qualifie de philosophe la personne qui, de manière habituelle, se montre capable de prendre du recul envers les faits et les événements, de garder son calme et son sang-froid en toute circonstance.
Est ce que philosopher c'est penser ? - Quora. Oui, mais toute pensée n'est pas nécessairement philosophique. "Une pensée n'est philosophique qu'à la condition de savoir revenir à sa source et d'envisager sa responsabilité.
Le philosophe, pour tous ceux-là, ce n'est pas quelqu'un de plus savant ou de plus érudit que les autres, ni forcément l'auteur d'un système ; c'est quelqu'un qui vit mieux parce qu'il pense mieux, en tout cas qui essaye (« Bien juger pour bien faire », disait Descartes : c'est la philosophie même), et c'est en quoi le ...
L'étymologie du terme « philosophie » indique bien que le philosophe est celui qui tend vers la sagesse, qui cherche à vivre comme il le faut et plus particulièrement qui recherche le bonheur.
1. Ensemble de conceptions portant sur les principes des êtres et des choses, sur le rôle de l'homme dans l'univers, sur Dieu, sur l'histoire et, de façon générale, sur tous les grands problèmes de la métaphysique.
Non, le philosophe n'a pas à réfléchir sur le jour J d'une révolution ou sur une idée ou une théorie réalisable, la philosophie étant par définition inapplicable, inutile; elle ne fait qu'apprendre à penser.
L'homme est appréhendé comme subjectivité pensante, il a la capacité de se saisir réflexivement, de s'écarter de lui-même pour s'appréhender comme un de ses objets, introduisant ainsi en philosophie, le thème de la conscience.
Elle est inutile en tant qu'elle ne propose aucun choix pratique, aucune option particulière en dehors d'elle-même. Elle ne donne pas un sens particulier, elle est une certaine orientation de la pensée. Par conséquent, la philosophie n'est pas tout. Elle ne permet pas de vivre, encore moins de survivre.
Êtres omniscients, ils ne peuvent donc désirer la connaissance qu'ils ont déjà. Ils ne philosophent donc pas. Les ignorants, qui n'ont pas conscience de leur ignorance. Quand on croit connaître les choses ou quand on croit que cela suffit, on ne peut pas désirer chercher à savoir plus, on ne peut donc pas philosopher.
L'homme ne peut donc se contenter d'exister sans réfléchir, comme peuvent le faire les autres êtres vivants, sans quoi il ne serait pas pleinement humain. La pensée ne se réduit pas, toutefois, à la conscience, comme le montrera Freud en établissant une théorie de l'inconscient.
« Philosopher, selon Montaigne, n'est-ce pas apprendre à mourir ? » – et donc apprendre à vivre. Car « la préméditation de la mort est préméditation de la liberté… Le savoir mourir nous affranchit de toute subjection et contrainte ».
Philosopher vous apprendra à être plus rigoureux et à ne pas prendre pour acquis ce que vous pensiez savoir et ça, c'est essentiel dans l'argumentation. Vous ne pouvez pas être crédible quand vous avancez une idée préconçue sans pouvoir la justifier et sans en comprendre les fondements.
Le philosophe doit se faire tour à tour biologiste, psychologue, sociologue, historien, etc. Mais tout le monde sait qu'il est impossible aujourd'hui de couvrir tous les savoirs. Le philosophe doit-il se muer en une sorte de généraliste qui survole un peu tout, mais ne possède aucune connaissance qui lui soit propre ?
Aristote est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d'où le surnom de « Stagirite »), en -384, et décédé à Chalcis, en Eubée, en -322.
Le philosophe réfléchit toujours avant de se prononcer : "il sait demeurer indéterminé". Le croyant par contre ne réfléchit pas, il admet sans preuve. Le philosophe est donc un homme qui est capable de prendre du recul, d'avoir un esprit critique, alors que le croyant semble borné.
Le mot « philosophie » désigne littéralement l'amour de la sagesse. L'amour dont il est question ici est à comprendre au sens de l'amitié. Le grec ancien distingue en effet le désir amoureux, éros, et l'amitié, philia. Le philosophe est donc un ami de la sagesse.
Socrate est considéré par beaucoup comme le père fondateur de la philosophie occidentale et comme l'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire ancienne.
Faut-il craindre la mort (Non : Épicure) ? Est-elle libératrice du corps (Socrate) ? La croyance est-elle force (Pascal, Kierkegaard), ou faiblesse de l'esprit (Freud, Nietzsche, Marx) ? La raison fait-elle disparaître la croyance (rationalisme matérialiste), ou la fonde-t-elle (Descartes, Kant) ?