Blessures à la tête et au cou
L'âge moyen des blessés était de 47 ans, avec des proportions presque égales chez les hommes et les femmes. "Le risque d'hospitalisation pour blessures équestres est plus élevé que le football, les courses de véhicules à moteur et le ski", résument les auteurs.
Lorsqu'on pratique l'équitation, deux types de blessures sont possibles : les blessures « traumatiques » et les blessures « de surutilisation ». Les blessures traumatiques sont les plus fréquentes. Elles sont causées par les chutes, mais également par les réactions de l'animal lorsque vous êtes à son contact.
En résumé, de nombreux chevaux souffrent de maux de dos et même si l'équitation n'en est pas seule responsable, elle y contribue souvent. De plus, les bouches des chevaux n'ont pas été conçues pour accepter des mors, ni leurs têtes des filets ou brides, même avec ennasures.
Alors l'équitation un sport de riche ? Oui et non. Il est toujours possible de trouver le matériel et l'encadrement qui correspondent à son budget, sans payer des sommes astronomiques. Toutefois, l'équitation reste tout de même un sport qui demande plus de frais par rapport à d'autres.
L'équitation provoque plus de 6000 accidents par an
que vous avez le plus de chances de vous retrouver à l'hôpital. En effet, monter à cheval serait plus risqué que skier ou pratiquer la course automobile, selon une étude menée par des chercheurs américains (source : Trauma Surgery & Acute Care Open).
Pressions de jambes, mouvements de bassin, maîtrise de l'équilibre, concentration et vigilance face aux obstacles, sont tant d'épreuves qui nécessitent une énergie constante. En effet, l'équitation génère une dépense calorique de 150 et 600 calories pour une heure de pratique.
Connaissance de son corps : Monter à cheval fait réellement travailler les muscles du tronc qui stabilisent votre corps : les abdominaux, les muscles du dos, et les muscles pelviens. Toutefois, l'important n'est pas juste d'avoir un tronc musclé, il faut aussi avoir une certaine coordination et stabilité.
Introduction. Pour l'opinion générale, l'équitation est responsable du "mal au dos". Alors que bien au contraire, la pratique de l'équitation renforce la ceinture abdominale et dorsale, et réduit ainsi les contraintes du rachis lombaire.
Monter à cru est un incontournable pour tout cavalier à la recherche de sensation ! Cette pratique a l'avantage de développer l'équilibre du cavalier et son assiette, décupler les sensations et axer sur le ressenti ! Attention ! La monte à cru peut engendrer des douleurs chez le cheval.
Tout comme l'aérobic, le cyclisme ou les machines d'exercice, l'équitation permet de muscler et de définir les muscles de vos cuisses. Si vos cuisses étaient sous-développées lorsque vous avez commencé à monter à cheval, vous pourriez constater une augmentation plus sensible de la musculature de vos cuisses.
Des muscles toniques et galbés grâce à l'équitation
Les muscles du dos et du bassin sont particulièrement sollicités, puisqu'ils communiquent directement avec votre monture et ses allures. Les jambes ne sont pas en reste, notamment les mollets et les adducteurs, qui travaillent continuellement à vous garder en selle.
Certains chevaux aiment être montés et d'autres moins. Cela dépend beaucoup du cavalier, de la selle, du terrain et de la forme physique du cheval. Mais plus important encore, les chevaux sont des individus, et ils ont différentes activités qu'ils aiment et n'aiment pas.
La natation. Selon le kinésithérapeute, les sports aquatiques "permettent de faire travailler tout le corps en utilisant les bénéfices de la poussée d'Archimède". Sans impact, on peut donc faire évoluer son cardio, sa respiration mais aussi de se muscler le dos, les bras et les jambes.
La Boxe sport le plus difficile du monde, le foot (très) loin derrière. ESPN s'est appuyé sur plusieurs critères pour établir son classement, au nombre de dix très exactement.
avant de le monter. Cependant, il est également possible qu'il agisse ainsi, lorsque vous lui demandez le galop, pour manifester son refus d'obéissance. Dans cette hypothèse, il y a un manque d'impulsion caractérisé, c'est-à-dire un refus de se mettre à la disposition du cavalier.
Une selle peut provoquer des points de pression ou des frottements. Cela explique souvent les contractures musculaires sans lésion associée, mais peut aussi provoquer des lésions osseuses. En effet, un cheval en souffrance se crispe et creuse son dos, aggravant les pathologies sous jacentes.
Votre cheval peut ne pas présenter de douleurs lorsque vous lui touché le dos mais présentera une baisse de performance, de la raideur dans le travail ou même des comportements défensifs lors de certains exercices : raideur dans les courbes, refus à l'obstacle, ruade, saut de mouton.
Un équidé de moins de 6 ans aura encore besoin d'être éduqué. Son propriétaire doit donc en avoir la capacité et les compétences. Entre 7 et 10 ans, le cheval s'assagit mais nécessite tout de même un bon niveau. Pour les débutants, il est préférable d'acheter un cheval de plus de 10 ans.
Si rien n'empêche un néophyte de se lancer dans l'achat d'un cheval, un certain niveau équestre (galop 5 minimum) et plusieurs années d'équitation derrière soi sont néanmoins fortement conseillés.
Ils disposent des équipements nécessaires tels qu'une selle adaptée permettant de maintenir le dos droit ou même un siège automatique pour aider la personne à mobilité réduite de s'assoir sur sa monture. Ainsi, le cheval agit comme un médiateur et permet aux personnes de prendre conscience de leur corps.
Autant dire que vous sollicitez essentiellement vos muscles profonds : principalement ceux des abdos, des dorsaux et des adducteurs. Par ailleurs, pour contribuer à asseoir votre "assiette", ce mouvement de fesses épousant le mouvement du cheval, vous allez miser sur vos muscles fessiers et vos adducteurs.
Pour cela, pratiquez une activité sportive complémentaire comme le fitness, la musculation, la course à pied, ou encore le yoga. Idéalement, essayez de trouver une activité qui fasse travailler votre cardio, votre musculature ainsi que votre souplesse.
Alors qu'un poney pèse entre 200 et 300Kg, le poids idéal du cavalier serait entre 20 à 45kg selon la morphologie de l'équidé. Pour un cheval de selle d'environ 500 kg, le cavalier devrait peser entre 50 et 75kg. Pour calculer le poids de son cheval, zoom sur notre précédent article en cliquant ici.