En effet, si de la neige tombe sur le dessus de l'aile, elle peut peser plusieurs tonnes, ce qui réduit mathématiquement les performances de l'avion. De même, si de la glace s'accumule elle peut modifier la forme de l'aile, ce qui altère l'écoulement de l'air et peut réduire la portance de l'avion.
Une fois dégivré, l'avion peut voler en toute sécurité. La neige a habituellement mauvaise réputation et a des conséquences sur le transport aérien. Même si les avions peuvent décoller et atterrir en cas de neige, le déneigement des pistes d'aéroport peut entrainer des retards, voire des annulations.
Selon les chiffres de l'Aviation Safety Network, l'atterrissage est la phase la plus périlleuse pour un avion. Entre 1999 et 2008, 36% des crashs se sont produits à l'atterrissage. Le décollage arrive deuxième avec 20% des incidents.
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
Le 9 janvier , le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java peu après son décollage de Jakarta (Indonésie) entraînant la mort des 62 personnes à bord.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Lundi 29 octobre, un Boeing 737 MAX 8 de la compagnie low cost indonésienne (vol JT-610) s'est écrasé en mer seulement 13 minutes après son décollage de l'aéroport de Djakarta. Le vol devait se rendre dans l'île de Pangkal Pinang située au nord de Djakarta.
L'ouverture d'une porte de soute entraîne une décompression explosive. La différence de pression entre la cabine et la soute provoque la rupture du plancher, ce qui endommage les câbles des commandes de vol, rendant l'appareil incontrôlable. L'accident fait 346 victimes, passagers et membres d'équipage.
L'erreur de pilotage est la cause principale de 57% des accidents mortels. Il peut s'agir par exemple d'un manque de carburant, d'une erreur de piste d'atterrissage, d'une descente prématurée.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Mais le DC-9 est toujours connu comme l'un des modes d'avion les plus dangereux jamais construits. Le DC-9 a eu un problème d'atterrissage difficile causé par une pléthore d'erreurs de pilote et de fabrication. Cela a causé 276 accidents aériens et 3 697 morts.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.
Dans notre parc aérien, la température en soute varie. Dans un Boeing 767, il fait toujours plus de 7 °C dans la soute à bagages, mais la soute à vrac (où sont logés les animaux) peut être chauffée à plus de 18 °C. Des casiers à température contrôlée sont aussi prévus pour l'envoi de marchandises thermosensibles.
Les cumulonimbus génèrent des turbulences fortes, des pluies intenses, de la grêle, de la foudre, des phénomènes givrants… autant d'éléments que l'on souhaite éviter à l'avion et à ses passagers (même si l'appareil est conçu pour résister à ces éléments), et on n'entre donc pas dans le nuage : on le contourne.
Pour la sécurité, choisissez un siège dans le couloir à l'arrière de l'avion, derrière les ailes. Une longue étude publiée par le site Popular Mechanics a démontré que les passagers assis proches de la queue de l'avion avaient environ 40 % plus de chance de survivre à un accident que ceux assis aux premières places.
Alors, que se passe-t-il pendant cette phase ? Anthony Brickhouse : Généralement au décollage et à l'atterrissage, l'avion vole bas, et lentement. Et quand des problèmes surviennent, les pilotes ont peu de temps pour réagir.
Plus spécifiquement, la scélérophobie désigne une crainte excessive d'être attaqué ou violenté par des personnes mal intentionnées, ou également la crainte de ces cambrioleurs ou personnes violentes.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).