Le cercueil est obligatoire et ne peut contenir qu'un seul corps, excepté, depuis longtemps, les dispositions de l'art. R. 2213-16 du Code Général des Collectivités Territoriales selon lesquelles : "Il n'est admis qu'un seul corps dans chaque cercueil.
Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps. Beaucoup de pompes funèbres se voient donc dans l'obligation de refuser certaines demandes des familles.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
Ce 26 avril 2022, une femme déclarée morte s'est réveillée durant son propre enterrement, dans la province de Ferreñafe, au Nord du pays, explique le quotidien britannique Daily Mail. Rosa Isabel Cespede Callaca, 36 ans, avait succombé à ses blessures à la suite d'un dramatique accident de la route.
Dans un cercueil : plus de dix ans
Sauf si le cercueil est en bois et a été inhumé en pleine terre, les insectes ne peuvent y entrer. Dans un caveau bétonné, les seules larves qui se développent sur la dépouille sont celles des rares mouches qui ont pu être en contact avec le corps avant sa mise en bière.
La durée de vie d'un cercueil dans un caveau permet de garder ce dernier intact durant plusieurs décennies, contrairement à l'inhumation en pleine terre où l'humidité et le poids du sol font qu'il faudra changer de cercueil 30 à 40 ans après les funérailles.
La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures. Les sécrétions pharyngées ou le relâchement des muscles de la gorge entraînent parfois une respiration bruyante, parfois qualifiée de râle.
La conservation de la dépouille y est généralement gratuite pendant un délai de 3 jours. Elle peut être payante au-delà, auquel cas ce coût apparaît sur la facture d'obsèques. Province : en cas de décès en hôpital, le corps est généralement transféré en chambre funéraire.
Lorsqu'un cœur cesse de battre, la circulation s'arrête et le sang oxygéné cesse d'être acheminé au cerveau. Quelques secondes après cette coupure d'oxygène, c'est l'évanouissement; et après quelques minutes, c'est l'extinction du cerveau, due à la mort des cellules nerveuses qui le constituent.
Cette pratique permet de freiner le processus de décomposition et contribuer à un certain assèchement de la dépouille des fluides porteurs de bactéries. Ainsi, les proches peuvent toucher le corps ou l'embrasser sans risque de contamination bactérienne.
Un cadavre a très souvent la bouche ouverte. La mâchoire inférieure, du fait de son poids, entraîne l'ouverture de la bouche.
Les corps, qu'ils soient exposés aux veillées funéraires, ou pris en photo, sont plus présentables. Ainsi, cette pratique combinée à une soigneuse mise en scène d'une personne décédée, permet de rendre la mort plus tolérable pour les proches de la victime.
Dès qu'il voit les veines légèrement gonfler au niveau de la main ou de la tête, c'est qu'il y a suffisamment de pression. Il reprend son trocart et vient le piquer dans le cœur côté gauche. Il vide ainsi tout le sang du corps du défunt et lui injecte à la place du formol.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
Il n'existe pas de norme précise. Si le corps de la personne n'est pas accidenté, et que l'enfant le souhaite, quel que soit son âge, il peut voir le corps de la personne décédée. Voir le corps d'une personne morte n'est pas traumatisant du moment que c'est fait dans la logique d'un rituel post-décès.
En effet, les cendres d'un défunt sont assimilées à un corps dans son ensemble et ne peuvent donc pas être séparées. Comme indiqué plus haut et pour des raisons sanitaires, entre autres, les cendres d'un défunt ne peuvent pas être dispersées dans un lieu ou sur une voie publique : stade, parc, place...
C'est vraiment une stratégie banale et profondément humaine pour garder le lien que la mort a rompu. Il ne faut pas s'imaginer qu'on est des malades mentaux. Mais ce n'est pas non plus mon kit de survie. C'est juste une des voies du deuil.»
Mais depuis 2008, la loi façonnée par le sénateur Jean-Pierre Sueur interdit la conservation des cendres d'un défunt à la maison. Cette loi a été instaurée afin de permettre le traitement des restes d'un défunt avec respect et dignité.
Cette interdiction commune à tous les crématoires commence à apparaître dans la réglementation de certains cimetières, afin d'endiguer l'éventuelle pollution des sols par le lithium des batteries (du coup il est délicat de se faire placer en terre avec son smartphone par exemple).
Un certain nombre d'évènements surviennent après la mort dont les étapes les plus importantes sont : la vie dans le barzakh : Le barzakh est le lieu où les âmes, « arwah » en arabe (pluriel de « rouh »), seront regroupées.
La « réduction » d'un corps nécessite de procéder à l'exhumation (qui peut se faire au cours des cinq années qui suivent le décès) mais la réglementation interdit l'ouverture du cercueil s'il ne s'est pas écoulé au moins cinq ans à compter du décès. (Article R2213-42 du CGCT). La réponse est donc négative.
Peut-on faire un enterrement le week-end ou les jours fériés ? Comme dit précédemment, les enterrements ont lieu la semaine (du lundi au vendredi) ou le samedi matin. Ces dates correspondent aux heures d'ouvertures des cimetières. Elles découlent aussi de traditions religieuses précises.