Une autre technique, bien plus répandue pour provoquer une pluie artificielle et appelée l'ensemencement des nuages, consiste à ajouter certaines substances ou produits chimiques, comme l'iodure d'argent, aux nuages pour provoquer de la pluie ou de la neige.
L'exemple le plus connu consiste en effet à expédier une roquette remplie d'iodure d'argent ou d'azote liquide directement dans les nuages afin de provoquer, en réaction, des changements de phase chez les gouttelettes d'eau qu'ils contiennent. On joue donc à condenser ou disperser les particules d'eau.
Les conditions météorologiques sont causées par les rapports entre la rotation de la terre et l'apport différentiel d'énergie provenant du Soleil, ce qui cause des variations de pression et d'humidité autour de la Terre.
La technique répandue de l'ensemencement
Comme le relève l'Organisation météorologique mondiale, la méthode la plus couramment utilisée est celle de l'ensemencement des nuages. "Elle vise à altérer la quantité ou le type de pluie produite par les nuages.
et aux températures sont aujourd'hui fiables jusqu'à 15 jours, contre 8 jours il y a une vingtaine d'années. La fiabilité de la météo dépend beaucoup du phénomène météorologique lui-même. Les grands phénomènes comme l'arrivée d'une perturbation sont prévus d'une manière sûre jusqu'à quelques jours d'échéance.
« 90 % des données d'observation utilisées par les modèles de prévision de Météo-France sont issues des satellites. Le reste vient des données aux sol, des radiosondages, des capteurs embarqués sur des avions de ligne et des navires de commerce ou installés sur des bouées ancrées et dérivantes », complète l'ingénieure.
"Les avions, quand ils volent, enregistrent des données météo importantes et en grand nombre. Elles sont ensuite reprises par des algorithmes météo. Donc avec la chute du trafic aérien, ces algorithmes sont moins enrichis et on perd forcément en fiabilité.
Une autre technique, bien plus répandue pour provoquer une pluie artificielle et appelée l'ensemencement des nuages, consiste à ajouter certaines substances ou produits chimiques, comme l'iodure d'argent, aux nuages pour provoquer de la pluie ou de la neige.
Dubaï travaille depuis plusieurs années sur ces projets, dépensant des millions de dollars. Pour créer cette pluie, un avion plane dans le ciel et lance des drones dans les nuages. Ces drones libèrent ensuite des décharges électriques, qui provoquent des précipitations.
A Brest (29), par exemple, la moyenne annuelle de température devrait augmenter de 1 °C, 1,1 °C ou 1,8 °C d'ici 2050, respectivement dans un scénario optimiste, intermédiaire ou pessimiste.
Langres, en Haute-Marne, détient la palme de la ville la plus froide de France.
Pour y parvenir, il faudrait, d'ici à 2030, baisser nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % pour limiter la hausse à 2 °C et de 55 % pour le contenir à 1,5 °C. Or ces engagements prévoient seulement une réduction de 7,5 %.
Il existe deux façons de créer ces précipitations. La première consiste à utiliser d'énormes canons qui vaporisent les particules vers les nuages ; la seconde repose dans l'usage d'avions qui déversent les particules d'iodure d'argent en passant au-dessus des nuages.
Dans le cas de la pluie, l'idée consiste à injecter des particules cristallines (généralement des cristaux d'iodure d'argent) à l'intérieur des nuages. Les gouttelettes d'eau des nuages se regroupent autour des cristaux qui finissent par tomber, ce qui provoque cette fameuse pluie artificielle.
En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil.
La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…).
Le mode de vie traditionnel était basé sur l'élevage du bétail, la récolte de dattes, la pêche et la pêche aux perles. L'économie de Dubaï a commencé à décoller en 1894 lorsque Sheikh Saeed Al Maktoum a stimulé le commerce extérieur grâce à l'exonération fiscale.
Selon des universitaires, les autorités chinoises auraient réussi à modifier la météo lors de l'anniversaire du centenaire du Parti communiste chinois, organisées en juillet 2021. En 2020 déjà, le pays avait annoncé son intention d'étendre son programme expérimental de modification météorologique d'ici 2025.
La géoingénierie ou géo-ingénierie est l'ensemble des techniques qui visent à manipuler et modifier le climat et l'environnement de la Terre et par extension d'une planète en première intention et à grande échelle.
Le site web-agri de préciser : « À noter un risque non négligeable de tempêtes au cours de ce premier mois de l'année 2023. » On le comprend, si en janvier il devrait faire plus doux mais voir plus de pluie, neige, l'ensoleillement risque d'en prendre un petit coup.
En ce début d'automne, les projections du modèle européen pour l'hiver 2022-2023 n'envisagent aucun signal particulier concernant les températures en Europe de l'Ouest. En d'autres termes, le modèle envisage des températures proches des normales en France en faisant la moyenne du trio décembre, janvier et février.
Janvier prévoit une température douce (pour un mois de janvier !) et pas mal de pluie, février restant lui aussi doux avec des précipitations de saison, ce qui fait dire que l'hiver 2023 serait plus froid et plus humide que celui de l'an dernier, donc nettement plus neigeux, tendance qui se poursuivrait en mars, même ...