À en croire ces œuvres de fiction, cela semble évident, nous n'utilisons qu'une fraction de notre potentiel cérébral, environ 10 % de notre cerveau selon la croyance populaire. Mais en réalité, nous exploitons bien notre cerveau à 100 % de ses capacités !
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le matin ne serait pas le moment où l'on est plus efficace. C'est en effet en début d'après-midi, à 13 h 30, que les étudiants suivis ont obtenu les meilleures notes.
Les scientifiques sont pour une fois d'accord sur quelque chose : l'homme est l'espèce la plus intelligente sur terre.
Non, il s'agit bel et bien d'une légende. Une idée reçue qui repose sur une trop grande simplification du fonctionnement du cerveau. Tout le monde utilise bien la totalité de son cerveau pour marcher, parler, penser… Le cerveau consomme même 20% de l'énergie produite par le corps d'un adulte.
L'orque a un CE de 2,57, le dauphin de la Plata de 1,67, le dauphin du Gange de 1,55, le grand dauphin de 4,14, et le sotalia de 4,56. C'est moins que l'être humain (cE de 7,44), mais plus que celui des chimpanzés à 2,49, des chiens à 1,17, des chats à 1,00 et de la souris à 0,50.
Scarlett Johansson y incarne une étudiante qui atteint progressivement 100% de ses capacités cérébrales, après la prise d'une drogue expérimentale. Elle devient alors capable de manipuler les hommes et les machines par télékinésie ou encore de calculer aussi vite qu'un ordinateur.
Pour devenir intelligent, il faut aussi se dépenser ! Enfin, comme le reste du corps, le cerveau a besoin d'être hydraté : il est composé d'eau à 80 %. Non seulement la soif le mobilise au lieu de lui permettre de travailler sur d'autres choses, mais elle peut engendrer du stress et des troubles de la mémoire.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Or, chez les poulpes, un tiers des neurones forme un cerveau central et les deux tiers restant des cerveaux périphériques, situés notamment dans ses huit bras. Ces bras sont des curiosités de la nature.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
Durant notre sommeil, notre cerveau est actif.
Il travaille à son bon fonctionnement et à celui de l'ensemble de notre organisme.
Une activité cérébrale trop élevée aurait un effet négatif sur l'espérance de vie. C'est la surprenante conclusion d'une étude menée par des chercheurs de la Harvard Medical School, publiée dans la revue Nature mercredi 16 octobre et relayée relayée sur le site de Sciences et Avenir.
Un cerveau qui ne se met jamais en pause
Si vous pensiez être fou/folle de ne pas pouvoir arrêter ce phénomène, sachez qu'il s'agit en fait de connexions neuronales qui se font par milliers indépendamment de votre volonté.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
La cause, ce sont les polluants, toutes ces substances présentes autour de nous, chez nous, ou dans notre assiette. On savait qu'elles altéraient notre foie ou nos poumons, elles endommagent aussi notre cerveau.
Les personnes très intelligentes trouvent beaucoup de choses faciles. Elles ont l'impression qu'on leur en demande trop peu et elles s'ennuient. Par conséquent, elles changent d'emploi plus fréquemment et plus rapidement afin de relever de nouveaux défis.
À en croire ces œuvres de fiction, cela semble évident, nous n'utilisons qu'une fraction de notre potentiel cérébral, environ 10 % de notre cerveau selon la croyance populaire. Mais en réalité, nous exploitons bien notre cerveau à 100 % de ses capacités !
Dans le même temps, Santiago Ramon y Cajal étudie la structure cellulaire du cerveau. Il découvre ainsi que les cellules nerveuses, baptisées « neurones » par Waldeyer, constituent les unités fonctionnelles de base du système nerveux et transmettent l'influx nerveux sans jamais se toucher.