Est-il probable que / il n'est pas probable que / il est peu probable que (+ subjonctif) : il est peu probable qu'il vienne. Le subjonctif souligne le doute ou la faible probabilité. Probable s'emploie pour qualifier un événement ou un fait.
Il est probable, fort probable que, suivi de l'indicatif ou du conditionnel. Il est fort probable qu'il renoncera à ce dessein. Si elle persévérait, il est probable qu'elle finirait par le convaincre. Il n'est pas probable, il est peu probable que, suivi du subjonctif.
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
- au subjonctif : après les verbes impersonnels (ou de forme impersonnelle) construits positivement exprimant le doute, la seule possibilité, l'obligation (Il est nécessaire que vous soyez... Il est possible que vous soyez... Il est urgent que vous soyez...
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
pour que sont suivies du subjonctif. Conjonctions de subordination qui marquent la concession, l'opposition: bien que, quoique, quelque que, si... que sont suivies du subjonctif.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent.
II/ Au subjonctif : le subjonctif est utilisé pour un fait envisagé mais non encore réel ni effectif. 1- Après les verbes de volonté : vouloir- exiger - désirer - souhaiter ... Elle veut qu'on lui rende sa nouvelle poupée. Sa mère espère qu'il dort profondément.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
"il se peut que la vérité soit triste" est correcte; c'est une phrase au présent. au passé, ce serait "il se peut que la vérité ait été triste".
a) À l'indicatif si le fait est situé sur le plan de la réalité ; au conditionnel s'il s'agit d'un fait hypothétique ou éventuel. b) Au subjonctif si le fait est simplement envisagé dans la pensée, ou s'il implique une appréciation, ou s'il est chargé d'affectivité. Personnes ayant répondu : joelle le 22 avril 2019.
Utilisation. Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes.
Le subjonctif présent est un temps qui permet de décrire une action comme incertaine pouvant ou non se réaliser alors que le présent de l'indicatif relate des faits réels. : Il a du retard : c'est une certitude. l'ordre : qu'il parte !
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Réponse : Après « il faut que », l'usage du mode subjonctif est obligatoire. On utilise donc le subjonctif présent.
Retenons d'abord que les deux sont corrects mais qu'ils ne signifient pas la même chose. Voyons la conjugaison complète : au futur simple : j'aurai, tu auras, il aura, nous aurons, vous aurez, ils auront. au conditionnel présent : j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
avant que conj. Indiquent une antériorité dans le temps.