Les seuls endroits préservés où l'on pourrait envisager de vivre en cas d'asthme sévère serait à la montagne en altitude, où il y a moins d'acariens et souvent moins de circulation, ou encore au bord de la mer en prenant soin de rester loin des régions vinicoles.
Alors que les anciens convecteurs chauffaient à 120 °C, les nouveaux radiateurs chaleur douce chauffent entre 65 et 80 °C. Ainsi, au contact de l'air ambiant, le mélange air chaud air froid se réalise parfaitement. Et la chaleur se diffuse de façon homogène dans la pièce sans former de strates.
"Le bouleau s'imposera tout au long de la semaine et provoquera un risque allergique maximal de Strasbourg à Rouen en descendant jusqu'en Auvergne et Rhône-Alpes. Autour de cette zone, le risque allergique atteindra un niveau élevé", selon le RNSA.
Évitez les efforts en extérieur lorsque la pollution de l'air est importante, par temps très froid ou lorsqu'il y a du brouillard. Interrompez le sport quelques jours en cas d'aggravation de l'asthme (en raison d'une infection respiratoire, par exemple).
L'asthme est une maladie chronique. Son évolution se fait sur plusieurs années et souvent sur toute la vie. Les crises alternent avec des périodes de calme plus ou moins longues, pendant lesquelles la maladie ne se manifeste pas et peut parfois paraître guérie.
Les conséquences de l'asthme sur la vie quotidienne
Les personnes chez qui l'asthme n'est pas correctement traité peuvent souffrir de troubles du sommeil, de fatigue pendant la journée et de problèmes de concentration.
La plus classique: les acariens.
Mais on les trouve aussi dans tous les tissus non lavables, moquettes, canapés et literie. «Au fur et à mesure qu'ils grandissent, ils arrivent à la surface du matelas. Rapidement, ils chatouillent les voies respiratoires», souligne Madeleine Epstein, allergologue à Paris.
C'est pourquoi les médecins préconisent d'ordinaire la montagne comme lieu de villégiature idéal pour les allergiques, été comme hiver. L'air pur contient moins de polluants irritants et, surtout, il devient de plus en plus sec et frais au fur et à mesure que l'on monte en altitude.
L'asthme ne se guérit pas : il persiste toute la vie même si des phases de rémission peuvent durer plusieurs années, faisant parfois oublier la maladie. Le contrôle de la maladie repose sur un traitement de fond quotidien et un traitement de crise, uniquement en cas de symptômes.
Consommer du jambon, du saucisson ou de la viande fumée au moins quatre fois par semaine pourrait aggraver les symptômes de l'asthme au cours du temps, a conclu une étude menée par des chercheurs de l'Inserm, l'Institut français de la santé et de la recherche médicale publiée en janvier dans la revue médicale Thorax.
L'asthme est une pathologie bénigne
Au niveau mondial, les chiffres sont encore plus impressionnants : l'Organisation mondiale de la Santé évalue à 383 000 le nombre de décès dus à la pathologie, en 2015. Il est donc important de se faire dépister en cas de signes de la maladie.
Le chauffage solaire figure toujours au palmarès des chauffages les plus écologiques. Le chauffage au bois et les pompes à chaleur offrent également bien des atouts. La plupart des systèmes récents assurent aussi la production d'eau chaude sanitaire.
Asthme et chaleurs estivales
Comme pour le rhume des foins, la chaleur aggrave les symptômes de l'asthme. Cela s'explique notamment par une augmentation du taux d'humidité de l'air et une absence de vent plus fréquente, deux conditions qui font grimper le taux de pollen et favorisent l'apparition du smog d'été.
Le chauffage qui souffle le froid
Ils ne fonctionnent pas à l'électricité mais par un système eau chaude/eau froide, ou autre. Ils délivrent du frais appréciable en été. Et c'est aussi excellent pour une meilleure santé des jambes ! », précise le Dr Gobin.
Augmentation de la bronchoconstriction
La mélatonine est une hormone qui sert à faire naturellement venir le sommeil. Les chercheurs ont également découvert qu'elle favorise le rétrécissement transitoire des voies respiratoires inférieures (ou bronchoconstriction), et donc les crises d'asthme.
L'asthme, une maladie multifactorielle
les allergènes extérieurs (pollens et moisissures) les infections respiratoires. les irritants respiratoires (fumée de tabac, pollution de l'air, irritants présents dans le lieu de travail) l'air froid.
La fatigue est l'un des symptômes les plus fréquents en cas d'allergie, et notamment en cas d'allergie aux pollens. Souvent, les personnes allergiques sont épuisées, elles éprouvent des difficultés à dormir et n'ont donc pas un sommeil réparateur.
Cependant, ces symptômes peuvent être plus intenses lorsqu'il fait froid et que l'on passe plus de temps à l'intérieur au chaud. Les symptômes les plus fréquents de l'allergie aux acariens de la poussière de maison sont les suivants : Éternuements. Nez bouché et/ou nez qui coule.
L'une des raisons pour lesquelles vous pourriez constater que vos allergies sont pires, particulièrement la nuit, est que certaines hormones régulatrices d'allergies apparaissent lorsque votre cycle sommeil-éveil se dirige vers le sommeil.
L'humidité dans une maison fait donc partie des facteurs pouvant causer une bronchite. Le taux d'humidité idéal à avoir dans sa maison se situe entre 40 et 60 %, maximum 55 % pour les personnes de santé fragile. Pour relever ce taux on peut utiliser un hygromètre ou un capteur d'humidité.
Les allergènes respiratoires (ou pneumallergènes) sont des particules microscopiques présentes dans l'air ambiant et qui, même inhalées en quantité minime, peuvent déclencher des symptômes d'asthme en arrivant au niveau des bronches.
prévenir un médecin sans attendre.
En l'absence d'amélioration, ou en cas de véritable sensation d'étouffement d'emblée, il faut considérer qu'il s'agit d'un asthme aigu grave, et appeler une équipe médicale d'intervention au domicile : SAMU (15) ou pompiers (18 ou 112).
Normalement, la radiographie pulmonaire ne montre pas d'anomalies au cours de l'asthme. Elle doit tout de même être réalisée systématiquement afin d'exclure une maladie autre que l'asthme.