La cuisine du Moyen-âge était principalement composée de viandes, de pain et de pâtisseries. Elle était faite de plats en sauces, de ragoûts et de pâtés. Il y avait peu de gras et pas de sucre. d'hypocras (vin dans lequel on a fait macérer des plantes et des épices).
L'alimentation des paysans est surtout constituée de céréales (seigle et avoine) sous forme de pain, de bouillie ou de pâtes, de soupe de légumes, de féculents, de fromage et de vin. Les élites mangent du pain blanc, de nombreuses viandes issues de la chasse ou d'animaux domestiqués, du poisson, des fruits, du fromage.
Les fruits courants au sud étaient les citrons, les cédrats, les oranges amères (la variété douce ne fut introduite que plusieurs siècles après), les grenades, les coings et, bien sûr, le raisin. Plus au nord, on trouvait facilement des pommes, des poires, des prunes et des fraises.
Les légumes cultivés et mangés au Moyen-âge peuvent être classés en trois catégories : les racines (carottes, navet, panais,...) les légumineuses (pois, pois chiche, fèves, lentilles,...) les légumes verts (poireaux, cardons, bettes, épinards,...)
BOIRE Au Moyen Âge, on consomme différentes boissons de l'eau à la bière en passant par le vin, la cervoise, le cidre, l'hydromel et tant d'autres. Les boissons diffèrent selon les régions du monde, les revenus et la disponibilité des ingrédients.
Il faut noter qu'au Moyen Âge, la variété de légumes n'était pas très grande en Europe. Ceux-ci n'incluaient pas les plantes natives d'Amérique du Nord et du Sud, ce qui signifie qu'il n'y avait ni pommes de terre, ni maïs, ni tomates, ni avocats, ni poivrons, ni pois (à l'exception des fèves).
Ecuelles, assiettes, bols et petits plats constituent les éléments de vaisselle les plus communs au Moyen-âge. Bien que peu retrouvée car mal conservée, la vaisselle est souvent en bois, mais aussi en terre ou faïence, parfois en étain ou en verre.
Les édulcorants étaient importants dans la gastronomie médiévale. Le miel et le sucre s'employaient aussi bien dans les pâtisseries – confectionnées à partir de farine, d'œufs, de graisses, de fromages et de fruits secs, et parfois condimentées avec des épices – que dans des recettes de viande.
Caroube, cerise, châtaigne, coing, corme (ou sorbe, fruit du sorbier), cornouille, mûre, nèfle, noisette, noix, pêche.
Ils sont à l'origine de nombreux fromages dont les appellations nous sont encore familières : le Pont-l'Evêque, le Maroilles, le Munster, La Tête de Moine, le Citeaux, le Herve ou encore le Limbourg.
Louis Biscaichipy décrit trois de ses repas journaliers : soupe à l'ail, lait et pain de maïs le matin ; plat de viande en sauce le midi, surtout du porc et parfois de la brebis de réforme ; pain, fromage et un peu de chocolat au goûter. 5 litres de vin par semaine accompagnaient ses repas.
La cuisine ordinaire est essentiellement composée de céréales et de légumes : blé, orge, fève, chou, cardon qui était l'ancêtre de l'artichaut, panais (une sorte de carotte blanche cultivée à l'époque en Germanie...) Le pain est l'élément principal de l'alimentation des Romains.
Ils vivaient dans des maisons construites en pierre ou en torchis, et recouvertes d'un toit de chaume. Celles-ci étaient situées dans des villages à proximité du château de leur seigneur. Leurs habitations avaient une pièce unique, avec un sol en terre battue. Sans confort, elles étaient mal éclairées et mal isolées.
Mouton, agneau, boeuf, porc, volaille… Les Vikings mangeaient, plusieurs fois par semaine, de la viande de bêtes nourries à l'herbe et non pas au tourteau de soja transgénique. Pour s'en rapprocher, on achète de préférence de la viande bio et on mange régulièrement du gibier. Des produits laitiers.
Histoire. Arte dresse le portrait d'Auguste Escoffier, qui a inventé la cuisine moderne.
Au Moyen Âge, l'Occident découvre le sucre de canne lors des croisades face aux califats fatimides et almoravides : la canne arrive en Italie, dans les îles de la Méditerranée (Crète, Chypre) et dans le Sud de la France.
Le sucre en Europe : secrets et conquêtes
Heureusement pour nous, Darius Ier, grand roi de l'Empire Perse, a envahi l'Inde et a “découvert” le sucre vers 510 avant JC ; c'était un secret très bien gardé. C'est en 642 après JC, lorsque les Arabes ont envahi la Perse, que ce secret a été dévoilé.
Le sucre issu de la betterave sucrière (à chair blanche) est naturellement blanc. Cela représente la grande majorité du sucre blanc commercialisé en France. Le sucre de canne, aussi appelé cassonade, est lui naturellement roux, en raison des pigments colorés contenus dans la canne à sucre.
Le déroulement du banquet: Les convives se lavent les mains avant de s'installer à une table toujours garnie d'une nappe blanche. La table est dressée pour le repas avec une planche et des tréteaux, cet usage est adapté à la vie itinérante des cours et à l'indifférenciation des pièces dans la demeure.
Tout d'abord, ces traces blanches sont en réalité un dépôt de calcaire lié à la dureté de l'eau. Elles peuvent venir d'un mauvais réglage de votre machine ou encore d'un mauvais dosage de vos produits de lavage. Sel ou liquide de rinçage, voire, un cumul de ces trois raisons.
Un troubadour (de l'occitan trobador : « trouveur », « trouveuse » au féminin) est un compositeur, poète, et musicien médiéval de langue d'oc qui interprétait ou faisait interpréter ses œuvres poétiques par des jongleurs ou des ménestrels.
« Non, les Gaulois ne mangeaient pas de sanglier, explique ainsi Stéphane Frère qui dresse la liste de leurs plats préférés. Ils consommaient beaucoup de cochons, qu'ils élevaient, des grands corbeaux faciles à chasser et… du chien. Ils mangeaient Idefix et faisaient des élevages de races de type épagneul.
C'est le cas de la mâche ou du poireau des vignes. D'autres sont récoltées dans toute la France comme le pissenlit, ou l'asperge sauvage dans le Midi . On assiste aussi à une “mode” des salades sauvages, dont la chicorée, le pourpier ou encore l'ail des ours.
Les fritures sont peu pratiquées à cette époque car la graisse coûte cher et on craint l'embrasement des bassines à frire. A noter qu'en 1925 le français consomme 178 kg/an/habitant de pommes de terre contre 64kg en 1996. Les fruits restent rares à l'exception des pommes et des poires du verger.