Un jogging plus long occasionnera une certaine fatigue musculaire, car porter la gourde à bout de bras peut se révéler désagréable. Dans ce cas, et pour des sorties pas trop longues, vous choisirez un autre système tel que le porte-bidon qui s'attache autour de la main.
Les gilets porte-flasque permettent de transporter jusqu'à 800 ml d'eau, une quantité qui vous donnera la possibilité de tenir 1 h 30 sans ravitaillement. Bien souvent équipé d'une poche extensible sur le dos, le gilet porte-flasque vous permet ainsi d'emporter avec vous vos effets personnels.
Serrez la ceinture afin qu'elle vous entoure la taille de manière assez ajustée. Pas question de courir équipé d'une ceinture d'hydratation rebondissant contre vos jambes. Finalement, il ne vous reste plus qu'à remplir vos bouteilles d'eau fraîche et à vous élancer au pas de course!
Courir dans l'eau peut s'effectuer de deux manières : soit en ayant des appuis au fond (petit bain) soit en sustentation totale (grande bain avec ceinture). La première option est de courir en faible profondeur, avec un niveau d'immersion aux hanches voire à la ceinture.
Pour s'assurer une bonne hydratation lors de vos sorties running, il faut boire toutes les 10 à 15 minutes environ 100 à 150ml (1 à 2 gorgées). Ne buvez pas trop froid, au risque de vous créer des problèmes gastriques, la boisson doit être fraîche mais pas glacée. La température doit se situer aux alentours de 15°C.
Le gant porte-bidon, c'est une petite gourde que l'on vient glisser dans une sorte de gant. Ça a l'avantage de se porter dans la main mais sans devoir se crisper dessus et sans risque de la laisser tomber en cours de route ! C'est simple, mais c'est tout de même bien efficace pour courir léger !
Comment boire de l'eau à l'effort ? Le sportif a besoin, selon l'intensité de l'effort et le climat de un à trois litres d'eau par heure. Il est donc conseillé de boire pendant l'effort, toutes les 20 minutes, un à deux verres d'eau, soit 200 ml, ce qui correspondra dans la plupart des cas à un bon équilibre hydrique.
Vous avez la possibilité de faire votre boisson énergétique vous-même : utilisez 2/3 d'une eau faiblement minéralisée, 1/3 d'un jus de fruit (Pomme, raisin, grenade) et ajouter un peu de sel (de table) à raison de 1 à 1,5g/L.
Un seul gel suffit sur semi-marathon, à prendre entre 20 et 30 minutes avant l'arrivée. Surtout, pense à te ravitailler en eau. Quelque gorgées d'eau au kilomètre 10 et kilomètre 15 permettent de garder la gorge humide et avoir un petit apport hydrique, surtout s'il fait plus de 20 degrés.
Les avantages de la ceinture
Certains préféreront ce choix qui permet de répartir le poids de la ou des bouteilles sur les hanches et éviter ainsi d'encombrer les mains. Vous serez donc moins gêné par les secousses de vos foulées.
L'augmentation du débit respiratoire lié à l'exercice stimule la muqueuse qui tapisse les bronches et lui fait produire plus de mucus bronchique, mécanisme de défense naturel contre les bactéries, les poussières et les autres éléments présents dans l'air.
Ainsi, il s'avère primordial de boire lors d'une épreuve d'endurance, afin de remplacer une partie des fluides perdus par la transpiration et la respiration dans le but de maintenir un volume sanguin stable.
De l'eau dès le réveil
Ne jamais attendre d'avoir soif pour boire et s'hydrater régulièrement tout au long de la journée : c'est la règle d'or à respecter quelque soit son niveau et l'intensité de l'effort à venir. Idéalement, on démarrera l'hydratation par ½ litre d'eau, 1 à 2 heures avant la séance.
Un gilet de 2 à 5 litres sera largement suffisant pour assurer votre hydratation.
Les flasques souples
Pas besoin de les sortir pour boire en courant. Il suffit de pincer la tétine qui sert de valve et d'aspirer. Il est aussi facile de vérifier le niveau de votre réserve d'eau. Enfin, au ravitaillement, il est aisé de les remplir grâce à une large ouverture.
Les emplacements avec bidons (de 500 à 750 ml) doivent être inclinés pour répartir le poids. Sinon, avec deux bidons de chaque côté (pour porter jusqu'à 1L), l'idéal et de piocher progressivement d'un côté et de l'autre pour bien équilibrer.
Il est conseillé de privilégier, en période de fatigue, les eaux calciques (Contrexéville®, Hépart®…), ou riches en magnésium (Hépart®, Arvie®, Badoit®…), qui permettent de satisfaire les besoins spécifiques des sportifs, en complément des apports alimentaires.
Il est conseillé de boire environ entre 500 et 300 ml d'eau dans les trois heures qui précèdent l'effort. Encore une fois, espacez les moments d'hydratation et buvez avec parcimonie. A chaque fois, quelques gorgées suffisent.
Les boissons prises pendant l'effort doivent être rapidement absorbées par le corps. Dans ce but, elles doivent être hypotoniques ou isotoniques. Si l'épreuve dure moins d'une heure, boire de l'eau de source, de l'eau du robinet ou une eau minérale suffit.
La résistance de l'eau étant 12 fois supérieure à celle de l'air, on brûle plus de calories, même si on a l'impression de bouger moins vite. Une séance intense de 30 minutes peut faire dépenser jusqu'à 600 calories, ce qui équivaut à 1h de jogging hors de l'eau.
L'aquajogging consiste à courir dans l'eau, le corps immergé jusqu'au cou. L'aquarunning, en revanche, consiste à utiliser un tapis de course légèrement incliné et sans moteur. Quelque soit la pratique sportive, il s'agit d'une alternative douce à la course à pied, tout en conservant tous les bienfaits.
- elle est de 80km/h sur les chaussées à double sens hors agglomération (y compris si la chaussée comporte plusieurs voies réservées à un même sens de circulation).