Le cortex cérébral permet de parler, imaginer, planifier, créer. C'est la partie qui a le plus évoluée depuis son apparition. Enfin le cerveau limbique est aussi appelé le cerveau émotionnel. Il nous permet de mémoriser les ressentis, d'éprouver les émotions, il englobe l'hypothalamus, l'amygdale et l'hippocampe.
Le cerveau est constitué de trois grandes parties : le néocortex, le système limbique, et le système reptilien. Ce dernier représente le cerveau primaire, responsable des instincts (survie, fuite…). Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire.
Le ventre est le siège des émotions
Notre ventre digère les aliments mais aussi nos émotions.
Cette émotion peut être déclenchée par un événement « extérieur » (rencontre, dispute, bonne ou mauvaise nouvelle…) ou par une pensée, une image, un souvenir… La nature ne laissant rien au hasard, si les émotions existent, c'est qu'elles ont une utilité !
Elle est provoquée par la confrontation à une situation et à l'interprétation de la réalité. En cela, une émotion est différente d'une sensation, laquelle est la conséquence physique directe (relation à la température, à la texture...). La sensation est directement associée à la perception sensorielle.
L'influence de l'émotion sur le cœur et sur les vaisseaux est essentiellement due à une hyperactivité de l'axe reliant le système nerveux autonome et la glande surrénale (axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien), dont l'aboutissement est la fabrication de deux hormones : le cortisol et l'adrénaline.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Aujourd'hui, on est un peu revenu sur ce « matérialisme » biologique, et les connaissances les plus récentes montrent que le sentiment amoureux résulte d'une interaction complexe entre les cerveaux (le cerveau des instincts, celui des émotions et le cerveau logique) et le coeur.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Accroissant notamment la vigilance, l'excitation et favorisant l'apprentissage, elle est responsable de certains symptômes du coup de foudre : le cœur qui bat la chamade, les pupilles qui se dilatent… La noradrénaline nous empêche aussi de dormir et diminue notre appétit.
Le cœur, organe de l'amour.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas. La peur (Kong) est associée aux Reins.
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
En réalité, pas du tout. Tomber amoureux relève plutôt de la subconscience, c'est-à-dire de la faculté cérébrale qui nous permet d'agir, de penser et de ressentir des émotions de façon non consciente, donc automatique. On a déjà tous observé des pigeons amoureux qui se bécotent.
Importance de la recherche sur le cerveau et le cœur
Par le passé, on considérait que le cœur réagissait constamment aux « ordres » envoyés par le cerveau sous forme de signaux neuronaux, mais de récentes recherches suggèrent que le cœur envoie en fait plus de signaux au cerveau que l'inverse.
Difficultés pour communiquer ses sentiments
La première caractéristique de l'alexithymie réside dans la difficulté à pouvoir communiquer ses sentiments aux autres. L'alexithymique est incapable d'exprimer ses émotions verbalement.
Des effets néfastes sur la santé
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
En général, s'énerver fait partie de la nature humaine. Mais, dans certains cas, une colère permanente peut être le signe d'un problème plus profond: la dépression. Une étude de 2014 montre que la colère – aussi bien manifeste que réprimée – est un indice de trouble de la santé mentale.
L'amour au sens moderne est né en Aquitaine à la fin du XIe siècle. Il est l'invention de Guillaume IX, comte de Poitiers, duc d'Aquitaine et grand-père d'Aliénor, aventurier et rimailleur.