La pêche à la Coquille Saint Jacques sur le gisement « Baie de Seine » est autorisée depuis le lundi 15 novembre 2021 et jusqu'au jeudi 17 mars 2022 inclus. La pêche à la Coquille Saint Jacques sur le gisement « Bande côtière secteur Seine-Maritime » est ouverte depuis le dimanche 14 novembre 2021.
La coquille St Jacques est présente sur les fonds sablo-vaseux en atlantique nord est. Elle est particulièrement abondante sur des gisements identifiés (ex Baie de St Brieuc, les glénans, Belle Ile, plateau du four…).
La baie de Saint-Brieuc possède le plus grand gisement naturel de coquilles Saint-Jacques de France avec 150 000 hectares. la pêche à la Coquille Saint-Jacques est très réglementée (2 jours de pêche par semaine à raison de 45 minutes par jour) de façon à gérer la ressource afin de permettre son renouvellement.
La coquille Saint-Jacques est un mollusque bivalve de la famille des pectinidés. Elle vit dans les fonds sablo-vaseux de la Manche, de la mer du Nord et de l'Atlantique est, de la Norvège au nord de l'Espagne.
En France, le 1er octobre marque l'ouverture de la pêche de coquilles Saint-Jacques.
Le prix des coquilles Saint-Jacques
Les coquilles sont à 4,80 euros entières (avec les coquilles) le kilo.
Comment pêcher la coquille Saint-Jacques ? La coquille Saint-Jacques se pêche uniquement pendant les grandes marées d'équinoxe (à moins d'aller la taquiner à la pêche sous-marine). Chercher dans les substrats de sable et de graviers recouverts d'herbiers, sous les algues et dans les flaques au plus bas de l'estran.
En France, la pêche des coquilles Saint-Jacques est très réglementée : elle est autorisée exclusivement d'octobre à mai, période pendant laquelle ces coquillages ne se reproduisent pas.
Avec près de 3 000 tonnes de coquilles pêchées en 2020, Saint-Quay-Portrieux mérite bien son titre de Capitale de la Coquille Saint-Jacques. La Saint-Jacques est un produit raffiné sur lequel les pêcheurs veillent jalousement : afin de préserver la ressource, elle se pêche de novembre à avril et de façon très encadrée.
La coquille saint-jacques (Pecten maximus) est la favorite des gourmets. Elle se reconnaît à sa grande taille et à sa forme particulière : la coquille doit mesurer au moins 11 cm de large et sa valve supérieure est plate, contrairement aux pétoncles dont les deux valves sont bombées.
La partie orange correspond à la partie femelle de la Saint-Jacques tandis que le blanc correspond à la partie mâle : le mollusque est hermaphrodite. Dans nos assiettes, le corail est un élément qui divise. Possédant un fort goût iodé, il ne plaît pas à tous les palais. Mais il est parfaitement comestible.
Il est donc également conseillé d'en consommer régulièrement, en profitant de leur variété saisonnière. Une portion d'adulte correspond à environ 100 g. Les enfants peuvent consommer des portions allant de 10 à 70 g selon leur âge.
Pour les noix de Saint-Jacques, les calmars et les filets de poisson blancs (bar, daurade, colin, cabillaud, lotte…), chefs et fabricants conseillent la décongélation dans du lait pour « resserrer les chairs » : Verser du lait dans un plat. Y plonger les produits de la mer.
On les trouvera chez son poissonnier, sous la forme de coquilles entières et vivantes ou de noix fraîches décortiquées. Elles peuvent être issues de la pêche française ou être importées depuis l'Ecosse ou l'Irlande.
A Trouville-sur-mer, plusieurs poissonniers ouverts tous les jours de l'année font face à des dizaines de mange-debout et de petits tables pour déguster les produits accompagnés d'un vin blanc ! directement du bateau à l'assiette !
Cela dit, pour une bonne qualité, il faut assurément choisir la Pectens Maximus (noix de Saint Jacques pêchée en atlantique) ou la Pectens Jacobeus (pêchée en méditerranée). Entière, vous la reconnaitrez, la coquille de la Saint Jacques est caractéristique : elle présente un côté plat et un côté bombé.
La barde, c'est un ruban de gras pour entourer le rôti. Peut-être les barbes, une fois extraites de la coquille, évoquent-elle l'aspect de bardes…
A l'origine la coquille Saint-Jacques était l'emblème des pèlerins d'Europe du Moyen Âge. La légende la plus répandue affirme que ce sont les pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle qui avaient pour coutume d'orner leurs chapeaux et manteaux d'une coquille.
Mieux vaut les choisir encore fermées, sans autre odeur que l'iode de la mer. Si les coquilles sont ouvertes, vérifiez bien qu'elles se referment immédiatement à votre approche, cela vous garantira qu'elles sont bien vivantes.
La plupart du temps, on consomme sa partie blanche, qui s'avère être le muscle, communément appelé noix. A côté de celle-ci se trouve une partie rouge-orangée : c'est le corail. Celui-ci est la glande génitale de la Saint-Jacques, qui apparaît plusieurs mois avant sa période de reproduction.
Facile à reconnaitre, la coque est un grand classique parmi les prises du pêcheur à pied. Vous la trouvez en abondance enfouie dans le sable en baie de somme, en baie de Seine et sur tout le littoral bretons. Ce coquillage est présent partout, dans la Manche , en mer du Nord, sur la côte atlantique et en méditerranée.
Sur la côte ouest, les gisements de moules concernés : Pirou, Donville-les-Bains et Champeaux. Sur la côte ouest, les gisements de palourdes concernés : Gouville, Blainville, Agon-Coutainville et Bréhal. Sur la côte ouest, le gisement de coques concerné : Saint-Pair-sur-Mer.
en permanence sur le gisement de la baie d'Yffiniac Sud (tous coquillages fouisseurs) ; du 1er novembre au 31 mars sur le gisement de Goas Treiz et de l'Île-Grande (coques et palourdes uniquement) ; du 1er mars au 31 août sur le gisement du banc du Guer (coques et palourdes uniquement).