Utilisez des appâts vivants.
Pour attraper le bar, on utilise généralement des vers, du fretin et des écrevisses. Les vers sont faciles à conserver et à transporter et vous pouvez les garder dans le réfrigérateur dans un bocal de terre si vous n'utilisez pas tous les vers que vous avez pris.
Si elle se trouve à proximité d'un frigo, il y a fort à parier que vous y trouviez des bars… Ainsi, les limites de courant/contre-courant, les lisières sable/roche ou sable/algue ou les ruptures de fond comme les tombants sont des zones logiquement prometteuses.
Montage et eschage du Lançon :
Pour attraper de gros bars, le meilleur appât est le lançon vivant. Ce petit poisson anguilliforme fait partie des mets favoris des gros bars. On le capture sur les plages, enfoui sous le sable lors des grandes marée à l'aide d'un râteau, d'une pelle retournée ou autre.
La période estivale (de juin à octobre) est propice à la pêche du bord. En effet, le bar se trouve près des côtes. Le printemps et l'automne, il en sera plus éloigné. La pêche en bateau est alors idéale.
La pêche du bar sur les zones comprises entre 10 et 20 mètres de profondeur. La zone comprise entre 10 et 20 mètres est l'une des plus intéressante pour traquer le bar.
Le bar vit dans les eaux agitées et au-dessus des fonds sableux. Il est curieux et peut s'approcher des plongeurs. Aussi appelé loup, le bar peut vivre en banc ou en solitaire. Il vit principalement au-dessus des fonds sableux ou rocheux de la frange littorale entre la surface et 30 mètres de profondeur environ.
Le crabe vert ou crabe dur
Les trois sont des appâts de choix pour le bar, mais le crabe mou a sa préférence, pour la raison ci-dessus citée : la facilité à engamer un met de choix non protégé par une dure carapace.
L'hameçon de type Aberdeen offre une excellente présentation de l'appât. Des ardillons inversés situés sur la hampe permettront un meilleur maintien de l'esche, aussi bien lors du lancer qu'en action de pêche.
Le bar sauvage est présent toute l'année sur les étals des poissonniers. Pour vous assurer de sa fraîcheur, vérifiez que ses écailles sont bien brillantes et adhérentes. L'odeur dégagée par le poisson est également révélatrice de sa fraîcheur : elle doit rappeler celle de la marée et surtout pas celle de l'ammoniac.
L'endroit idéal sera les baïnes. Ce sont des courants d'eaux créés par les marées et qui se forment dans des cuvettes. Il faudra donc repérer les zones où le courant s'arrête, les zones où le courant est différent de la marée. Bien souvent, le bar aime y rester pour s'y nourrir.
Après la période de frais en décembre et janvier, durant laquelle les loups et les bars sont plus occupés à se reproduire qu'à se nourrir, les poissons regagnent peu à peu les côtes en quête de nourriture. Février et mars se révèlent ainsi d'excellentes périodes pour aller les pêcher au lancer de leurre.
Vent du nord, rien ne mord…
Au delà de la provenance du vent ce qui est fondamental c'est l'orientation de celui ci par rapport à votre zone de pêche. Cependant, les vents de nord et d'est sont froids et auront tendance à refroidir l'eau s'ils durent plusieurs jours et sont donc en ce sens défavorables.
L'appât le plus efficace est la crevette grise ou crevette de sable vivante. Sa blancheur lui permet d'être bien visible dans l'eau et ses mouvements ne pourront qu'attirer les poissons. C'est cependant un appât difficile à trouver puisqu'il s'agit de les pêcher et de les garder vivantes jusqu'au moment de la pêche.
La référence en la matière se nomme le Black Minnow. Ce leurre souple de type shad a véritablement révolutionné la pêche du bar ces dernières années. L'efficacité et la facilité d'utilisation de ce leurre lui ont permis de réconcilier de nombreux pêcheurs amateurs à cette espèce.
Le lançon se retrouve généralement dans les eaux de l'Atlantique du Nord et du Pacifique du nord. Dans l'Atlantique du Nord, son habitat s'étend du cap d'Hatteras au Labrador, jusqu'à la baie d'Hudson et au Groenland.
Le bar raffole des vers, qu'ils soient démesurément allongés comme les arénicoles ou minuscules comme certains vers de plage. Tous les vers marins sont connus et apprécié des bars et des loups, que ce soient des vers de vase, de roche ou de plage.
Du bar en eau douce
C'est le cas par exemple du mulet ou de l'athérine. Les loups (nom donné au bar en Méditerranée) suivent aussi ces proies qui abondent.
Le bar commun (Dicentrarchus labrax) appartient à la famille des moronidés. Ce poisson se reconnaît à sa dorsale principale ciselée et piquante et son opercule armé de deux épines.
Le bar, appelé aussi loup en Méditerranée et loubine dans le sud-ouest, est le carnassier marin le plus convoité par les pêcheurs en mer. Son corps est allongé. Sa robe argentée, sa grande nageoire dorsale épineuse et sa large gueule le caractérisent. Il est caractériel, combatif et sa chair est des plus estimées.
Bien évidemment, la communication et la fidélisation joueront une place importante sur la rentabilité, mais comme dans tout commerce, le nerf de la guerre se trouve dans l'implantation du local. La réponse est oui, un bar peut-être particulièrement rentable, à condition de bien choisir son local.
La maîtrise des achats : un bon point de départ pour optimiser la rentabilité d'un bar. C'est une évidence, mais il n'est pas inutile de rappeler que pour accroître la rentabilité d'un bar il est essentiel d'optimiser la marge entre le prix d'achat des boissons et leur prix de vente.
1,38 million d'euros. Ce prix d'achat record équivaut à environ 6 000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros.