Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.
Sur votre abdomen, choisissez une zone au moins à 5 centimètres de votre nombril et vers les côtés. Alternez la zone d'injection entre le côté droit et le côté gauche de votre abdomen. 3. Nettoyez (sans frotter) la zone avec un désinfectant vendu en pharmacie.
Injectez le médicament dans le milieu de la cuisse où la couche de graisse est plus épaisse. C'est ce qu'on appelle le muscle antérolatéral de la cuisse. Utilisez la face externe du haut de la cuisse. Évitez la face interne ou l'arrière de la cuisse.
Fesses (absorption lente de l'insuline)
Le tissu sous-cutané est présent en grandes quantités au niveau des fesses, même chez les enfants et les patients plus maigres. L'injection peut donc être pratiquée en toute sécurité dans la partie supérieure des fesses.
Le traitement par insuline est associé à deux effets secondaires importants et fréquents : l'hypoglycémie et la prise de poids. La prise de poids est en contradiction avec l'effet central de l'insuline qui résulte en une diminution de la prise alimentaire, comme la leptine.
Une injection intramusculaire, utilisée notamment dans les cas d'administration de produits comme les solutions huileuses (relativement douloureuses), permet une action plus rapide et plus précise du médicament que l'administration par voie orale, mais moins rapide et moins précise que par voie veineuse.
VOIE LOCALE
Elle concerne les médicaments topiques, c'est-à-dire ceux dont l'action est strictement limitée à l'endroit où ils sont appliqués.
La voie intraveineuse est la meilleure façon d'administrer une dose précise, de façon rapide et contrôlée, dans tout l'organisme. Elle est également utilisée pour les solutions irritantes qui, si elles étaient administrées par voie sous-cutanée ou intramusculaire, seraient douloureuses et endommageraient les tissus.
Dans le diabète de type 1, on retrouve notamment le problème des insomnies (difficultés d'endormissement et de maintien de sommeil, réveil précoce) : celles-ci sont généralement liées à des hypoglycémies nocturnes lorsque la dose d'insuline administrée au patient est trop élevée.
Un des effets de la prise d'insuline est le risque accru de prendre du poids. Le sucre présent dans le sang qui n'est pas utilisé lorsque l'insuline le transporte vers les cellules est stocké sous forme de graisses.
L'insuline est une hormone qui intervient dans l'absorption du glucose, principale source d'énergie pour les cellules. Les cellules sont privées de leur énergie et cela explique l'un des symptômes principal du diabète : la fatigue.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
L'insuline lente du soir agit pendant la soirée et surtout la nuit jusqu'au réveil. Pour trouver la dose d'insuline lente du soir, regardez la glycémie du réveil. Si elle est trop élevée plusieurs jours de suite, c'est que vous n'avez pas assez d'insuline lente le soir.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
19 mai 2005 – La consommation de caféine - à une dose équivalant à deux ou trois tasses de café par jour – augmenterait de 33 % à 37 % la résistance à l'insuline, un facteur de risque pouvant mener au diabète de type II.
Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Lorsque le chiffre de glycémie à jeun est supérieur à 1,26 g/L à deux examens sanguins, un diagnostic de diabète est posé. Le dosage de la glycémie après le repas n'est pas nécessaire pour affirmer le diagnostic de diabète.
Les carottes sont donc loin d'être interdites dans un régime de diabète de type 2. De fait, elles ne contiennent que 5% de glucides et ont leur place dans l'alimentation adaptée au diabète de type 2.
Selon la liste des termes normalisés de la Direction Européenne de la Qualité du Médicament, la voie cutanée est une voie d'administration de médicaments au niveau de la peau, en vue d'une action locale. La voie permettant une action générale s'appelle voie transdermique ou percutanée.
En médecine vétérinaire, le bolus ou bol est une grosse pilule que l'on administre à un animal par voie orale à l'aide d'un pistolet. Il sert à faire ingérer des substances amères, astringentes, insolubles ou de saveur désagréable, et est généralement utilisé pour les animaux de grande taille.