L'artère sylvienne est issue de la terminaison de la
L'artère cérébrale moyenne alimente de grandes portions des surfaces latérales des lobes frontaux, pariétaux et temporaux. Des branches des artères cérébrales antérieure et moyenne (artères lenticulostriées) vascularisent les noyaux gris centraux et le bras antérieur de la capsule interne.
Elle passe dans le sillon latéral (anciennement scissure de Sylvius, d'où son nom) et irrigue la portion adjacente des ganglions de la base et des lobes de l'insula, temporal, du frontal et du pariétal.
Un AVC, ou «attaque cérébrale», survient lors de l'interruption de la circulation sanguine dans un territoire cérébral. L'absence de sang oxygéné dans cette partie du cerveau mène à la destruction du tissu cérébral affecté dans les minutes qui suivent l'interruption de la circulation.
Ce type d'AVC survient souvent lorsque des artères alimentant le cerveau sont rétrécies, mais que cela n'avait jamais causé de symptômes et n'avait jamais été détecté. Parfois, un AVC ischémique apparaît avec une circulation sanguine vers le cerveau normale, mais pauvre en oxygène.
Les différents types d'AVC
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Un mini-AVC est une forme moins grave d'AVC. Il se produit lorsque la circulation sanguine vers une partie du cerveau est interrompue. Il est généralement causé par un caillot sanguin qui bloque une artère qui alimente le cerveau en sang.
Ainsi, la létalité augmente après l'hospitalisation initiale : elle s'élève à 16 % un mois après le début de l'hospitalisation et à 28 % un an après. Entre 18 et 64 ans, le taux de mortalité à un an est plus bas, soit 13 %.
Dans le cas de l'AVC, une ischémie dans l'hémisphère droit du cerveau entraine une paralysie du côté gauche du corps (Hémiplégie gauche), des troubles visuels et une difficulté à se situer dans l'espace. Les patients présentent un trouble appelé « hémi-négligence ».
Le cerveau est alimenté en sang par deux paires d'artères (gauche et droite): l'artère carotide interne pour l'alimentation de la partie antérieure du cerveau et l'artère vertébrale (artère vertébrale) pour l'alimentation postérieure.
L'artère principale est l'aorte ; gros vaisseau, naissant du cœur, en continuité avec le ventricule gauche, qui commence par monter en haut et à droite, tourne vers la droite, pour se diriger du côté de l'hémithorax gauche (crosse de l'aorte), puis redescend vers l'ombilic, où elle se divise en deux artères iliaques ...
L'activité physique alimente le cerveau en stimulant la circulation du sang. L'exercice active aussi la sécrétion de substances qui atténuent les symptômes de la dépression et de l'anxiété et améliorent la mémoire.
Il est souvent provoqué par une faiblesse du tissu vasculaire, mais il peut aussi survenir plus tard dans la vie en raison d'une maladie, d'un traumatisme crânien, de la prise de contraceptifs oraux ou de certaines habitudes de vie (tabagisme, consommation excessive d'alcool).
L'anévrisme est une dilatation anormale localisée de la paroi de l'artère.
Un mal de tête intense, différent des maux de tête ressentis habituellement, peut être un symptôme annonciateur d'un AVC. Il peut s'accompagner de nausées et de vomissements. Il faut donc être vigilant. C'est peut-être le début d'un AVC.
Des symptômes différents des hommes
Chez l'homme, une douleur dans le thorax, qui irradie dans le bras gauche et jusqu'à la mâchoire fait penser à un infarctus. Chez la femme, il existe parfois d'autres symptômes plus subtils.
Un AVC silencieux est un type d'accident vasculaire cérébral qui, contrairement à un AVC classique, ne présente pas de symptômes marqués ou immédiats. Ce type d'AVC se caractérise par des lésions cérébrales qui passent souvent inaperçues, mais qui peuvent néanmoins entraîner des séquelles à long terme.
Selon les cas, il peut y avoir une récupération totale, un handicap modéré ou une perte d'autonomie parfois importante.
Le risque de récidive après un AVC reste élevé, près de 13% à 5 ans. Après un infarctus cérébral ou un accident ischémique transitoire d'origine athéroscléreuse, il est recommandé de prescrire un traitement par statine à forte dose pour diminuer le taux de LDL cholestérol dans le sang (mauvais cholestérol).
Pour les AVC ischémiques comme hémorragiques, il est plus important entre 45 et 64 ans puis décroît avec l'âge, pour être proche de 1 chez les 85 ans ou plus (graphique 1).
Des études ont montré que le risque d'AVC ischémique était augmenté par la prise d'antipsychotiques, médicaments aux propriétés antidopaminergiques[2] communément prescrits en psychiatrie.
fatigue et fatigabilité troubles de l'attention et de la concentration. réduction/perte de motivation, initiative. labilité émotionnelle, hyperémotivité
L'AVC chez la femme peut être lié au manque d'oxygène d'une région du cerveau qui n'est plus irrigué par son artère. On parle alors d'accident vasculaire cérébral ischémique. Dans ce cas, les médecins peuvent pratiquer ce que l'on appelle une thrombolyse dans les premières heures qui suivent l'apparition des symptômes.