L'arsenic est un composant naturel de la croûte terrestre et est largement présent dans l'environnement, que ce soit dans l'air, dans l'eau ou dans la terre. Il est très toxique sous forme inorganique.
Selon le groupe scientifique, les aliments qui contribuent le plus à l' exposition alimentaire globale à l'arsenic inorganique sont les grains de céréale et les produits à base de céréales, les aliments à usage diététique spécifique (comme les algues), l'eau en bouteille, le café et la bière, le riz et les produits à ...
Sources d'exposition environnementale
L'arsenic peut donc se retrouver dans l'eau de puits artésiens et dans plusieurs aliments cultivés sur des terres contaminées (viandes, volailles, produits laitiers, céréales).
Les pommes peuvent aussi contenir un taux élevé d'arsenic, car un pesticide qui en contenait a été utilisé dans les vergers jusqu'à plus récemment. Les résidus sont absorbés par les racines des pommiers et transférés aux fruits.
On peut aussi réduire le « risque arsenic » à l'aide de quelques gestes appropriés comme faire tremper le riz quelques heures ; cuire le riz dans un volume d'eau très important (cinq à six fois le volume) ; ou encore cuire le riz en deux temps en jetant l'eau d'une première cuisson de cinq minutes.
La façon la plus simple et la plus efficace d'éliminer l'arsenic est d'ajouter du chlorure de fer (FeCl3) dans l'eau. Le fer (III) précipite avec l'arséniate sous la forme du complexe FeAsO4. Ce composé forme des particules de diamètre d'environ 50 à 60 µm, qui peuvent facilement être filtrées.
L'arsenic est un élément chimique sans goût et sans odeur, naturellement présent dans les sols.
L'arsenic possède des effets thérapeutiques connus depuis longtemps. Hippocrate le préconisait déjà dans la lutte contre la malaria et la syphilis. La médecine chinoise le conseillait contre l'asthme et certaines maladies de peau. Il était aussi utilisé pour soigner l'anémie et la tuberculose.
La toxine botulique, un poison redoutable
C'est un million de fois mieux que la strychnine ou l'arsenic et quelque 500 g de ce redoutable poison suffirait à anéantir l'humanité toute entière ! Du moins, selon le consensus établi.
Le riz fait partie des aliments les plus consommés au monde. S'il possède de multiples bienfaits, on y trouve malheureusement souvent de l'arsenic en haute quantité.
Le riz est presque toujours contaminé par le Bacillus cereus, une bactérie naturellement présente dans le sol et donc dans certains végétaux. Cela ne pose pas de problème si vous mangez du riz après sa première cuisson car cette bactérie n'est pas pathogène, c'est-à-dire qu'elle ne va pas vous rendre malade.
La meilleure façon de se protéger consiste à varier son alimentation. Rincer les aliments à l'eau chaude aide également à éliminer une partie des produits chimiques qui s'y sont déposés.
L'exposition à l'arsenic par le contact avec la peau est très faible. Le fait d'être exposé à l'arsenic inorganique pendant sa vie peut accroître le risque de certains cancers, notamment de la vessie, du foie, des reins, des poumons et de la peau.
Le riz basmati, une valeur sûre pour éviter l'arsenic
Par conséquent, le riz blanc basmati semble l'un des plus sûrs à la consommation.
Au niveau international, les métaux les plus toxiques sont réglementés : mercure (Hg), plomb (Pb) et cadmium (Cd).
Aujourd'hui, on a beaucoup recours à la chlorelle pour détoxifier le corps des métaux lourds. C'est une algue verte, similaire à la spiruline, mais qui contient plus de chlorophylle. Ceci lui confère une efficacité plus prononcée contre les métaux lourds.
Un prélèvement capillaire apparaît ainsi comme le meilleur moyen non invasif et fiable pour connaître la quantité de métaux lourds présents dans votre organisme. C'est un test de qualité, qui permet d'identifier la présence de ces derniers dans votre corps.
1 - Le riz
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Cambridge montre que dans le riz réchauffé au micro-ondes puis laissé dans une pièce à température ambiante, ces spores se multiplient. Elles peuvent entraîner une intoxication, qui se traduit notamment par des diarrhées et des vomissements.
Ne pas rincer le riz
Cela permet d'effacer toute trace possible de poussière et autre impureté due à l'emballage. Mais ce n'est pas l'unique raison. Passer l'ingrédient plusieurs fois sous l'eau avant de le cuisiner permet d'éliminer l'excès d'amidon et ainsi de limiter les risques d'obtenir une texture collante.
Rincer le riz permet notamment d'éliminer la poussière qui peut être présente. D'autre part, cette étape permet d'enlever la fine couche d'amidon responsable de la texture collante. Ainsi, si vous désirez des grains de riz qui se séparent à la cuisson, il est préférable de les rincer.
Pourquoi la conservation du riz peut-il le rendre toxique ? Lorsque le riz est cuit puis laissé trop longtemps à température ambiante, les Bacillus cereus peuvent se multiplier rapidement et, après à peine deux petites heures, des toxines sont produites. Or, elles ne seront plus détruite par la cuisson.
Le riz basmati de la marque Taureau Ailé a été rappelé à la consommation ce lundi 23 janvier en raison de la présence d'un pesticide interdit dans le produit. Il est recommandé aux personnes en possession de ce riz de ne pas le consommer.
Rinçage et trempage :
Comme quasiment tous les riz asiatiques, le riz basmati doit être rincé avant cuisson pour retirer l'excès d'amidon (même si l'emballage ne le précise pas). Il est aussi meilleur si on prend le temps de le faire tremper, surtout pour une cuisson au cuiseur de riz.
Le riz agirait ainsi comme meilleure source de glucides pour les sportifs. Les pâtes, quant à elles, sont absorbées plus lentement par l'organisme et, conséquemment, permettent un entreposage plus graduel du glucose dans les muscles, garantissant également un apport en énergie plus constant.