Le lobe frontal est celui qui contrôle l'ensemble du cerveau. Le lobe temporal : Il sert à entreposer l'information qui est conservée en mémoire à long terme. Contrairement au lobe frontal qui joue le rôle de moteur de recherche, le lobe temporal est comparable à une banque de données.
Le chef d'orchestre de cette communication est l'hippocampe. Il participe à la mémorisation durable des faits et des événements depuis la mémoire à court terme vers la mémoire à long terme2-3.
Les recherches sur les primates ont montré que la mémoire est stockée en grande partie dans le néocortex, c'est-à-dire dans la région du cortex cérébral la plus récente dans l'histoire de l'évolution, et que les divers types de mémoire sont formés de réseaux de neurones du néocortex : la région postérieure du cortex ...
L'hippocampe : un carrefour obligé
Mais plusieurs de ses composantes participent aussi à la mise en mémoire de certains souvenirs. C'est en particulier le cas de deux structures : l'hippocampe, et l'amygdale. L'hippocampe est formé par plusieurs couches de neurones.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Autre point : on sait que le cerveau retient mieux lorsqu'il est bien reposé, mais aussi qu'il “révise” ses informations pendant la nuit. Une bonne façon de mémoriser une leçon consiste donc à la lire le soir avant de se coucher.
La perte de mémoire, ou amnésie, peut se situer à différents niveaux : l'amnésie rétrograde caractérisée par l'oubli des souvenirs antérieurs au début de la maladie, c'est-à-dire des faits anciens ; l'amnésie antérograde se traduisant par l'oubli des événements au fur et à mesure qu'ils se présentent.
L'hémisphère gauche, lui, serait le siège de la logique et de la rigueur. Il serait plutôt monotâche, ne traitant qu'une seule information à la fois, et nous permettrait de planifier des taches et de se fixer des objectifs.
Le cœur est notre premier cerveau, le siège de notre intelligence intuitive. Quand on évoque l'intelligence, l'association avec le cerveau est immédiate. Notre cerveau est en effet intrinsèquement lié à notre capacité à raisonner ainsi qu'à nos émotions.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.
L'hypermnésie est un syndrome caractérisé par une mémoire exceptionnelle. L'hypermnésie autobiographique ou hyperthymésie, rare, engendre la capacité de se souvenir très précisément et sans effort de chaque jour de sa vie à partir d'un moment spécifique de son enfance.
La mémoire est une fonction cognitive qui nous permet de saisir, stocker, puis rappeler des informations perçues. C'est facile à comprendre. Même si le mécanisme de la trace mnésique et de sa consolidation reste du domaine de la recherche.
Les malades d'Alzheimer conservent la mémoire implicite, mais leur mémoire explicite est touchée. La mémoire explicite est directement impliquée dans la mise en place d'associations et de souvenirs lointains (c'est celle qui nous permet de conserver nos souvenirs).
Voici 4 plantes qui pourront booster vos fonctions cognitives : le ginkgo biloba, la myrtille, le bacopa et la sauge.
Le test de l'horloge est un test simple et rapide à utiliser pour dépister des troubles des fonctions cognitives tels que la praxie, l'attention, le langage, l'orientation dans le temps et l'espace, et les fonctions exécutives.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Comment “sauver” notre propre cerveau ? : en le reprogrammant de manière durable pour orienter nos pensées vers du positif. Pour en finir avec ses propres émotions erronées, la solution consiste à adopter un système de pensées, d'émotions et d'expressions “positives”.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.