Au nombre de deux, les ovaires sont situés dans la cavité pelvienne, de chaque côté de l'utérus, auquel ils sont reliés par les trompes de Fallope. De forme ovoïde, ils mesurent 4 cm sur 2 cm.
Une douleur aux ovaires est une douleur pelvienne. Autrement dit, elle se situe au niveau du petit bassin, à l'arrière de l'utérus. Typiquement, elle se manifeste par une sensation de brûlure ou de pincement au niveau du bas-ventre.
La douleur aux ovaires causée par les règles
Une douleur à l'ovaire, parfois plus diffuse dans le bas ventre et/ou dans le bas du dos, peut aussi survenir la veille des règles, et pendant le premier jour qui annonce celles-ci. Cette douleur peut même s'avérer plus intense chez les femmes sujettes à l'endométriose.
Les douleurs aux ovaires sont en fait des douleurs pelviennes, c'est-à-dire qu'elles se situent dans le petit bassin. Mais une douleur en bas des intestins peut être interprétée comme une douleur ovarienne.
On peut faire une échographie pelvienne ou transvaginale pour vérifier s'il y a présence d'un cancer de l'ovaire. Lors d'une échographie transvaginale, on place la sonde dans le vagin et on dirige les ondes vers les ovaires au lieu de la placer sur la surface de l'abdomen.
Les signes et symptômes du cancer de l'ovaire comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux (par exemple, saignements abondants, irréguliers ou survenant entre les menstruations), en particulier après la ménopause. pertes vaginales fréquentes et claires, blanches ou teintées de sang.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
L'endométriose : c'est une maladie qui provoque des douleurs dans le bas-ventre et parfois dans le bas du dos. Ces maux sont peu soulagés par la prise d'antalgiques. Le kyste ovarien : on utilise ce terme quand une grosseur inhabituelle se développe sur un ovaire.
Infection urinaire, digestive, génitale, endométriose, kyste ovarien, grossesse extra-utérine… Une douleur localisée dans le bas du ventre peut avoir de nombreuses causes. Tour d'horizon des pathologies qui peuvent provoquer ce genre de douleurs avec le Dr Odile Bagot, gynécologue.
Symptômes et douleurs
Des douleurs dans le bas du ventre, notamment une pesanteur ressentie d'un seul côté, peuvent également apparaître. Des douleurs qui peuvent devenir beaucoup plus intenses et brutales si le kyste provoque une torsion de l'ovaire ou s'il se rompt.
Quand s'inquiéter en cas de maux de ventre ? Si vous avez des douleurs intenses que ce soit dans le haut ou le bas du ventre, de la fièvre, des vomissements ou des nausées, vous devez consulter un médecin.
Une douleur abdominale à droite est le signe d'un problème au foie ou à la vésicule biliaire. L'appendicite se traduit par une douleur abdominale au niveau de la partie inférieure droite de l'abdomen (la fosse iliaque droite).
Comment diagnostiquer un kyste ovarien ? Puisque les kystes sont généralement non douloureux, le diagnostic de kyste se fait souvent au cours d'un examen gynécologique classique. Certains kystes peuvent être perçus à la palpation lors d'un toucher vaginal lorsqu'ils sont suffisamment gros.
La vessie, l'appendice et une partie importante du gros intestin et du côlon sont situés entre le nombril et le pubis (hypogastre). Chez la femme s'y trouvent également l'utérus et les ovaires ; chez l'homme, la prostate.
Pourquoi a-t-on mal au ventre pendant les règles ? Le mal de ventre que vous pouvez ressentir lors de règles douloureuses s'explique par des contractions un peu fortes de l'utérus, provoquées par un excès de prostaglandine. C'est un phénomène très courant et bien connu : les médecins parlent de dysménorrhée.
En bas à gauche, au contact du bassin, c'est la « fosse iliaque gauche » : on y trouve le sigmoïde, mais aussi le rein gauche, la trompe de Fallope et l'ovaire gauches.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Des douleurs épigastriques (dans la région de l'estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu'elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d'autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie …
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Comme pour la plupart des cancers, l'âge est un facteur de risque important de cancer ovarien : plus une femme vieillit, plus son risque augmente. Le risque est maximal autour de 75-79 ans et l'âge médian au diagnostic est de 68 ans ( INCa , 2019).
Les principaux symptômes du cancer de l'ovaire
Gonflement abdominal. Douleurs abdominales ou pelviennes. Difficulté à manger ou se sentir rassasié rapidement en mangeant. Sentiment constant de besoin d'uriner.
Le cancer de l'ovaire est d'origine génétique dans environ 1 cas sur 10. La présence d'antécédents familiaux de cancer de l'ovaire, du sein ou du côlon, peut témoigner d'une prédisposition génétique. Dans ce cas on recherchera une mutation au niveau des gènes.
Elles peuvent signer la présence d'une endométriose, c'est-à-dire une migration de cellules utérines vers les trompes, les ovaires ou la cavité abdominale. Une infection sexuellement transmissible (IST) est aussi susceptible d'induire une douleur aigüe inaccoutumée. Mieux vaut donc ne pas laisser traîner.