On écrit tout autre(s) quand tout est adverbe dans le sens de « tout à fait ». Le mot autres prend un s s'il réfère à un nom pluriel : C'est tout autre chose que cette invention.
Il faut écrire : Toute autre utilisation du DVD peut faire l'objet de poursuites. On pourrait dire « n'importe quelle autre utilisation du DVD ». « Tout » s'accorde donc, et on écrit « toute autre utilisation ».
Pour tout autre information ou pour tous autres informations
Étant invariable, comme tout adverbe, il ne prend pas de « e », C'est une tout autre histoire. (= C'est une autre histoire.) Si, en revanche, « tout » ne peut être ôté de la phrase, il s'accorde. C'est un adjectif indéfini.
Les deux sont corrects :
Au pluriel, c'est correct aussi, il prend le sens de : pour toutes les questions que vous souhaitez poser….
Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Au pluriel dans "entre autres" ou "entre autres choses". Tout autre Avec le sens de "n'importe quel autre" est variable : "toute autre perspective serait illusoire". Avec le sens de "totalement différent" invariable : "cette perspective, tout autre, est illusoire".
"Et/ou autres" peut facultativement s'employer au singulier quand il est suivi d'un terme générique lui-même au singulier (genre, espèce, forme… mais aussi animal, individu, représentant…). En règle générale, les termes précédents sont aussi au singulier.
Quand il est employé avec les pronoms personnels nous et vous, autre s'accorde avec ce pronom. Il se met donc au pluriel. Partez les premiers, nous autres vous rattraperons en chemin.
1/ tout, tous, toute, toutes : déterminants
Comme les autres déterminants, ils s'accordent en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le nom qu'ils accompagnent.
Pour bien faire la différence entre tout et tous, que l'on parle d'un adverbe, d'un adjectif ou d'un nom, une règle simple permet de ne jamais se tromper. Il faut identifier dans quel cas suivant on se trouve : Tout : masculin singulier. - Tout le vin a été bu.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel.
On écrit « d'autre » lorsque cette locution qualifie un nom ou un pronom masculin ou féminin singulier. Exemples : Qui d'autre voudrais-tu inviter ? Ma voiture est irréparable, je n'ai pas d'autre choix que de la remplacer.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
quels que soient/quelles que soient. Suivie d'un groupe nominal, cette locution signifie "peu importe". Pour utiliser "quel que soit", la phrase doit être constituée de deux parties, l'une contenant l'expression et l'autre y répondant. Exemple : Quel que soit son choix, il doit l'assumer.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
On écrit « ou » lorsqu'il est possible de remplacer la conjonction de coordination par « ou bien ». Si le remplacement par « ou bien » ne fonctionne pas, alors on écrit « où ». « Ou » sans accent et « Où » avec accent grave sont des homophones grammaticaux.
Tout peut avoir 5 natures différentes : il peut être déterminant, adjectif qualificatif, adverbe, pronom et nom.
La conjonction ou
On écrit ou, sans accent, la conjonction qui relie deux mots ou deux groupes de mots pour indiquer un choix. Venez lundi ou mardi. On peut s'assurer que l'on a affaire à la conjonction ou quand on peut la remplacer par et : le sens sera différent, mais la phrase restera grammaticalement correcte.
Tout est invariable lorsqu'il est adverbe, sauf devant un adjectif féminin qui commence par une consonne ou par un h aspiré. Il a généralement le sens de « tout à fait, complètement ».
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant. Vous qui êtes si intelligents, connaissez-vous la réponse ? C'est ce à quoi je pensais.
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
On écrit tout autre(s) quand tout est adverbe dans le sens de « tout à fait ». Le mot autres prend un s s'il réfère à un nom pluriel : C'est tout autre chose que cette invention.
Autre s'accorde en nombre avec le nom qu'il détermine, mais il a la même forme au masculin et au féminin : Je voudrais un autre soda et une autre glace.