Quand les substances sont inhalées par le nez comme la cocaïne ou l'héroïne inhalée, le passage au sang artériel est encore plus rapide car il passe directement par les vaisseaux du nez pour aller dans les grosses artères centrales.
Il n'y a que 2 narines pour sniffer, c'est comme si les injecteurs n'avaient que 2 points d'injection. Il faut donc en prendre soin : Alterner les narines, soit une trace une narine, soit prendre la moitié de la trace dans une narine et l'autre moitié dans l'autre. Une partie de la poudre atterrie dans les poumons.
Les usagers de cocaïne sont à la recherche du rush (sensation intense) qu'elle procure : euphorie, sentiment de toute puissance intellectuelle et physique, stimulation de la libido, indifférence à la fatigue et à la douleur et aisance relationnelle.
La muqueuse nasale, richement vascularisée, est un site privilégié de pénétration de médicaments mais aussi de diverses substances psycho-actives (cocaïne, héroïne, solvants). Le “sniff” est préféré à l'injec- tion intraveineuse pour tenter de réduire, entre autres, les risques infectieux.
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs, tels que la dopamine, sérotonine et noradrénaline (neurotransmetteurs liés au bien-être). Pourtant, c'est cette recapture qui permet de mettre fin au sentiment (excitation, joie, stress...) provoqué par un neurotransmetteur.
Effets de la cocaïne
Les effets recherchés par une personne qui consomme de la cocaïne peuvent être les suivants : euphorie; impression de puissance; absence de fatigue, d'appétit et de douleur.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Dans la liste des drogues qui font maigrir, on retrouve : le cannabis, le CBD, la cocaïne, l'ecstasy ou encore la cigarette...
Pour sniffer, inhale haut dans la cavité nasale (enfonce bien ta paille) en te bouchant l'autre narine.
Le "sniff" : La drogue sous forme de poudre est aspirée par le nez à l'aide d'une paille. Ce mode de consommation entraîne fréquemment des irritations des muqueuses nasales, parfois des nécroses des paroies nasales ainsi que des problèmes pulmonaires.
L'inhalation de solvants est liée à la pauvreté, aux difficultés scolaires, au manque de perspectives, aux difficultés familiales et à une importante consommation de drogues dans le milieu familial.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
L'alcool se range dans la catégorie des drogues les plus dangereuses, avec l'héroïne et la cocaïne. Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
En revanche, des drogues psychostimulantes, comme la cocaïne ou les amphétamines, ont certainement aidé à écrire. Ces substances démultiplient l'éveil, la vigilance et la productivité, comme le café le faisait pour Balzac.
Ritalin, Concerta, Biphentin (méthylphénidate à courte ou à longue durée d'action) Adderall XR, Dexedrine, Vyvanse (à base d'amphétamines)
On assiste depuis quelques années à un nouveau phénomène : prendre des médicaments — Ritalin, Adderall, Alertec — pour augmenter ses capacités cognitives. Appelés « smart drugs », ces médicaments ont été conçus à l'origine pour soigner des troubles tels que l'hyperactivité ou la narcolepsie.
Les personnes sous amphétamines présenteront des pupilles dilatées et une bouche sèche, auront parfois des tremblements et leur respiration pourra être plus rapide.
Il est recommandé de ne pas partager une paille avec quelqu'un d'autre lors d'un "sniff". Il peut y avoir un risque de transmission des hépatites et, éventuellement, du VIH en cas de saignement. L'intérieur du nez est tapissé d'un tissu fragile.
Pour ce faire, trempe tes doigts dans de l'eau stérile et renifle l'eau jusqu'à ce que tu la sentes couler dans ta gorge. Cela réduira aussi la sensation d'irritation de ton nez et aidera à écouler toutes drogues restantes. Donne une pause à tes narines en alternant entre elles à chaque consommation.