Alors, où vivaient les hommes préhistoriques ? Dans des campements de plein air, et parfois sous des abris rocheux naturels quand il y en avait. Dans les nombreuses régions du monde où il n'y a ni cavernes ni abris, du fait de la géologie de ces zones, l'homme a donc le plus souvent vécu…
Le plus ancien représentant ayant livré des ossements est l'Homo habilis dont les plus anciennes traces remontent à environ 2,8 millions d'années, mais des outils vieux de 3.3 millions d'années ont été découverts au Kenya dont on ne connait pas l'auteur…
Abri-sous-roche[modifier | modifier le wikicode] Les traces d'habitats et les restes d'activité quotidienne des hommes du Paléolithique ont été retrouvées le plus souvent dans le sol d'abris-sous-roche, c'est-à-dire des grottes ouvertes ou peu profondes. Les groupes s'y installaient et y habitaient.
Découvert en 1969 près du lac Turkana, au Kenya, un bivouac dont ne subsistent que des débris de taille de galets et des os d'animaux demeure aujourd'hui le plus ancien site connu d'habitat structuré : il date de 2,5 millions d'années !
Très ancien Paléolithique : – 1.800 000 – 500 000 ans.
Il s'appelle Toumaï ! Du haut de ses 7 millions d'années, c'est lui qui détient aujourd'hui le titre de doyen de l'humanité. Son crâne a été mis au jour lors de fouilles, en 2001, au Tchad, un pays situé au centre de l'Afrique.
Au début de la préhistoire, les hommes étaient nomades et se déplaçaient où ils pouvaient trouver de la nourriture. Ils vivaient donc dans des grottes ou des structures rapidement construites, faites de branchages et d'ossements.
Vers 5000 av. J. -C. , des populations originaires d'Anatolie, arrivées par la Méditerranée ou par la vallée du Danube, s'installent sur le territoire actuel de la France, en y apportant l'agriculture : c'est le début du Néolithique. Elles supplantent en grande partie les populations mésolithiques.
Dans les plaines, où il n'existait pas d'abris de ce type, les hommes préhistoriques vivaient dans des cabanes ou des huttes, construites sur une armature en bois recouverte de branchages, de peaux d'animaux ou de défenses de mammouth.
La première trace d'occupation humaine en France est datée de plus de 1,1 million d'années. Le premier homme fossile connu est l'Homme de Tautavel, à partir de 570 000 ans.
Cro-Magnon s'établissait aussi dans des vallées au climat favorable, à proximité d'un point d'eau, de gisements de silex, ou sur les promontoires épargnés par les crues, comme celui qui surplombe le Rhin d'une quarantaine de mètres, à Gönnersdorf, en Rhénanie.
Le régime alimentaire des homininés entre 7 à 2,8 millions d'années était principalement basé sur des aliments crus : feuilles, fruits, racines, peu nourrissants et exigeants une quantité importante pour assurer une énergie suffisante.
Les Homo sont nomades. Ils se déplacent pour suivre les troupeaux qu'ils chassent et trouver, grâce à la cueillette et la pêche, de quoi se nourrir. Ils s'abritent dans des abris naturels comme des grottes et commencent même à construire des habitations un peu plus élaborées comme des tentes ou des huttes.
Leurs conclusions indiquent que la plus ancienne lignée remonterait à 200.000 ans et que le berceau de l'homme anatomiquement moderne se trouverait donc au sud du bassin du Zambèze, au Botswana, dans la région appelée Makgadikgadi.
Conservation. Le fossile original de Lucy est conservé au musée national d'Éthiopie à Addis-Abeba, où on peut en voir une réplique.
Ils ont évolué, et sont devenus les dinosaures, il y a 200 millions d'années. Les dinosaures et les hommes n'ont jamais vécu ensemble puisque les premiers hominidés sont apparus bien plus tard (le plus vieux crâne d'hominidé découvert par l'archéologie et nommé Toumai est âgé de 7 millions d'années).
Tous les humains du Paléolithique étaient en effet des nomades. Ils vivaient le plus souvent en plein air et parcouraient l'espace au rythme des saisons. Même si leurs modes de déplacement et leur culture matérielle différaient, tous avaient en commun le souci de se mettre à l'abri et se protéger.
Apparition de l'homme sur Terre : retour sur l'histoire de nos origines. Tous les hommes et les singes descendent de primates qui vivaient il y a plus de 50 millions d'années. D'un côté, certains singes sont restés petits, comme ceux qu'on trouve en Amérique ; de l'autre les singes d'Asie et d'Afrique sont plus variés.
Par des gestes, par des sons et par la parole. Les scientifiques pensent que certaines humaines parlaient il y a deux millions d'années. Homo erectus communiquait sans doute avec quelques dizaines de mots, mais sans faire de phrases. Homo neandertalis et Homo sapiens savaient parler.
Le Français n'a pourtant aucun Gaulois pour ancêtre. Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans.
Avant de s'appeler « France », ce territoire était la majeure partie de la « Gaule » (en latin Gallia). Ce nom a d'ailleurs continué d'être employé après l'avènement des Francs et était encore utilisé pendant les règnes de Clovis, de Charles Martel, de Pépin le Bref et de Charlemagne.
Pendant toute l'Antiquité, on parle donc de la Gaule, ou plutôt des Gaules, vu l'étendue du territoire. Ce n'est qu'avec l'arrivée de Clovis - et son célèbre baptême le 25 décembre 498 - que la transition se fait.
Une maison traditionnelle est construite à base de matériaux de construction courants ou classiques (parpaings, briques, ossature bois, etc.) et à l'aide de techniques courantes. Aujourd'hui, cette appellation est utilisée pour désigner des maisons à l'architecture banale classique.
Le logis seigneurial, aussi appelé plus communément logis, est, au Moyen Âge de la fin du XI e siècle au milieu du XV e siècle, un vaste bâtiment situé la plupart du temps dans le donjon et réservé à l'usage du seigneur et de sa famille.
ARCHITECTURE
En architecture, on distingue deux types de bâtiments destinés au logement d'un ou de plusieurs individus : l'habitat individuel et l'habitat collectif.