Le grand roman de Joyce Maynard : l'histoire bouleversante d'une famille sur cinq décenniesLorsque Eleanor, jeune artiste à succès, achète une maison dans la campagne du New Hampshire, elle cherche à oublier un passé difficile.
Dans son dernier opus, finaliste du prix du roman FNAC 2021, Joyce Maynard explore ses thèmes de prédilection, la famille et l'Amérique, à travers l'histoire d'un foyer du New Hampshire sapé par les aléas de l'existence, des années 1970 à nos jours.
Récompensé par le Grand prix de la littérature américaine 2021, un livre magnifique de justesse, attachant et émouvant au point qu'on le ferme à regrets, en ayant l'impression que cette famille imaginaire est un peu la nôtre.
Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est d'abord la relation à autrui, c'est valoriser et être valorisé, écouter et être écouté, bref, aimer et être aimé. Et surtout ne pas nous comparer aux autres.
« Où vivaient les gens heureux », titre de l'un des nombreux chapitres de ce roman dense et foisonnant, nous fait vivre, sur presque quatre décennies, l'histoire d'Eleonor et de sa petite famille. de la mort accidentelle de ses parents alors qu'elle n'avait que 16 ans au mariage de son enfant en passant par le succès ...
Ils accordent de l'importance à leurs amis et passent du temps à entretenir leurs relations sociales. Ils sont généreux mais sont aussi égoïstes: ils savent qu'il faut être bien pour rendre les autres heureux. Ils aident les autres, sont de nature solidaire, disent du bien d'autrui. Ils ne se comparent pas aux autres.
Les jeunes de moins de 35 ans sont les plus heureux avec 24%, les 35-49 ans sont 18% contre seulement 16% des personnes âgées de 50 à 64 ans. Les études supérieures semblent également jouer un rôle sur le bonheur puisque 24% des diplômés s'estiment « très heureux ».
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Les gens heureux savent donner sans forcément attendre en retour, car l'acte même de donner est gratifiant pour eux et leur apporte beaucoup de joie. Ils ont le sentiment en donnant (de leur temps, de leur personne, de leur argent, etc.) d'être utiles et ressentent donc une profonde satisfaction.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Nous éprouvons de la tristesse quand nous sommes privés de quelque chose ou quelqu'un qui a de l'importance à nos yeux. Quelle qu'en soit l'origine, perte, séparation, non obtention, changement difficile, l'ampleur de la tristesse dépend directement de la valeur que nous accordons à son objet.
Un an après avoir détrôné Annecy, la ville d'Angers a une nouvelle fois été placée en tête du classement par l'association des "Villes et Villages où il fait bon vivre". Peuplée de 155.000 habitants, la préfecture du Maine-et-Loire devance un trio basque, composé de Bayonne (2e), Biarritz (3e) et Anglet (4e).
Pour la sixième année consécutive, la Finlande a été élue pays "le plus heureux du monde", selon le World Happiness Report. La France se classe 21e.
Selon le Baromètre des Territoires, près de huit Français sur dix se disent heureux. Si l'on regarde dans le détail, ce sont les habitants du Grand Est et des Pays de la Loire qui seraient les plus heureux, avec 42% de la population de ces deux régions qui se déclarent "très heureux".
La jouissance du corps : notre corps nous procure une joie par l'harmonie, l'équilibre, la puissance, la souplesse, la dextérité qui émane de lui et lorsqu'il est en symbiose avec notre cœur et notre esprit, sans oublier l'importance de la perception sensorielle comme porte d'accès à la joie.
La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste. L'absence de ma joie est toute au fond de moi. Tu es ma mère, mon frère, mon coeur, Même si ton absence me fait peur, Pour toi, je meurs, je souffre, je prie, Liberté vient, je t'en supplie.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Ce déséquilibre hormonal peut provoquer un « coup de cafard », sans vraiment avoir de raison particulière.