Depuis des décennies, des membres de la communauté juive orthodoxe passent leurs vacances d'été dans les Alpes françaises. Cette saison, ils seront environ trois mille à se ressourcer dans des établissements qui ont été privatisés.
Depuis la première moitié du XXe siècle, les Alpes françaises sont un lieu de villégiature prisé de la communauté juive, été comme hiver. A l'origine de cet engouement, Noémie de Rothschild, qui souhaitait se tenir à distance des montagnes suisses et de leurs touristes allemands durant la Première Guerre mondiale.
La pittoresque localité de Basse-Normandie a émergé il y a des décennies comme une destination de vacances préférée parmi les Juifs riches de Paris pour la beauté de son littoral, son infrastructure et la proximité de la capitale.
Les synagogues possèdent habituellement un sanctuaire, c'est-à-dire un grand hall de prière, où les fidèles se rassemblent. Dans la religion juive, les hommes et les femmes sont généralement séparés dans la synagogue.
Selon Haïm Korsia, c'est un signe de « soumission à Dieu », et non de « reconnaissance ». Plus généralement, la kippa permet au Juif d'afficher son humilité et son respect à travers sa croyance pour sanctifier le Nom de Dieu (voir yarmulke défini supra).
Le shabbat (ou chabbat) tient une importance centrale dans la vie des juifs religieux. Mais que signifie ce terme ? Il s'agit du jour de repos hebdomadaire des personnes de confession juive. Il se déroule du vendredi soir au coucher du soleil au samedi soir à la tombée de la nuit.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
L'interdit du mélange lacté/carné
Cet interdit se rapproche également de celui d'abattre le même jour une mère et son petit, rejoignant ainsi l'interdiction de cruauté envers les animaux. Enfin, une interprétation plus récente est d'ordre symbolique : le refus de mélanger la vie (le lait) et la mort (la viande).
La lecture se fait en présence d'un minyan, un quorum de dix personnes. Chez les Juifs orthodoxes, il s'agit de dix hommes ; dans le Judaïsme réformé, il n'y a pas cette même notion de minyan qui de plus peut être de composition mixte.
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Elle était située juste à l'ouest de l'île de la Cité, sur la partie méridionale de l'actuel square du Vert-Galant, près du palais de la Cité, et faisant face sur l'autre rive à la tour de Nesle et au clos de Laas, terres de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, à laquelle l'île appartenait aussi.
Station balnéaire normande, elle est considérée, avec son casino, ses palaces, ses villas classées, ses champs de courses, ses ports de plaisance, son palais des congrès, son Festival du cinéma américain, ses golfs et ses discothèques, comme l'une des villes les plus prestigieuses en France.
L'usage distingue le talit gadol (grand talit), châle généralement fait de laine dont les juifs adultes s'enveloppent pour la prière, et le talit katan (petit talit), pièce textile le plus souvent portée au-dessous des vêtements dès le plus jeune âge.
Pour le judaïsme, le mariage est un acte religieux de sanctification et d'élévation. Devant l'Éternel et la communauté d'Israël, un homme et une femme acceptent de vivre ensemble dans l'amour et le respect mutuel, et de transmettre à leur descendance les valeurs traditionnelles.
Le Rabbi est un Loubavitch et le septième héritier de la dynastie du Hassidisme HaBaD fondée en 1797 par Rabbi Schnéour Zalman de Lyadi. Il fut un des leaders spirituels du judaïsme mondial et notamment de la mouvance loubavitch depuis 1950 à la suite du décès de son beau-père Joseph Isaac Schneersohn.
La loi juive (halakha) interdit en effet de consommer du porc (parce qu'il a le sabot fendu sans être un ruminant) mais aussi les insectes et toute une liste de volailles (autruche, mouette, cigogne…) ainsi que l'ensemble des coquillages et crustacés (parce qu'ils n'ont pas d'écailles ou de nageoires).
Ce jour est sanctifié par Yahvé. Ce jour est le jour du repos, il ne faut donc pas, en théorie, pratiquer certaines activités, comme travailler. Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
En théorie, aucun aliment n'est interdit dans l'absolu au fidèle : les tabous concernant le porc ou d'autres espèces animales que définissait l'Ancien Testament ont été abolis depuis longtemps et la papauté a fini par abandonner aussi la prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté.
Une légère différence dans les méthodes d'abattage
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Manger du porc étant interdit dans la religion juive, il est toutefois impossible pour cette viande d'obtenir la certification casher.
Shabbat shalom (שַׁבָּת שָׁלוֹם) est un salut commun utilisé à Shabbat, ou pour souhaiter « un bon shabbat » par anticipation -- cf. « bon week-end », du moins dans les régions sous influence sépharade, mizrahite ou israélienne.
Dans la tradition juive, depuis le Moyen-Âge, ce sont surtout les hommes qui la portent, soit en toute circonstance, soit uniquement pour les moments plus rituels de leur vie, quand ils prient ou étudient les textes.