La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée.
Les couples musulmans doivent se marier civilement pour que leur union soit reconnue par la loi française.
Pour que le mariage religieux musulman soit valide, il faut suivre 4 règles : consentement, présence du tuteur, présence de témoins, et présence de la dot de mariage.
Les malékites estiment un tel mariage invalide et soit est annulé automatiquement ou il faut procéder à sa dissolution, qu'il y ait eu consommation ou pas. On tient compte non pas de l'intention de la femme, mais de celle du mari.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
R : Oui, même si on n'est pas marié civilement. On est marié devant Dieu.
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
En bref, on peut tolérer comme clause au contrat de mariage toutes choses rendues licites (halal). En revanche, il est bien entendu exclu d'y inscrire des revendications basées sur des actes interdits (haram).
Le "hlel" est un terme familier désignant le mariage religieux ("Nikah") dans l'islam. Il se déroule généralement à la maison ou dans une mosquée, avec la récitation de versets du Coran, l'expression du consentement des deux parties, la présence de témoins et la fixation du "mahr".
Selon la tradition islamique, les familles des deux parties peuvent contribuer à la dot et aux frais du mariage. Cependant, le marié est le principal responsable des dépenses et il est donc généralement celui qui paie toutes les dépenses liées au mariage.
La dot est obligatoire pour que le mariage soit valable. C'est l'une des conditions de validité du zawaj et un droit pour les croyantes. “Et donnez aux épouses leur dot, de bonne grâce.” Sourate An-Nissa, verset 4.
1200€ en moyenne pour l'alliance de la mariée. Sinon entre 100 à 600€ pour la moyenne basse. Quant au traiteur hallal, comptez entre 25€ (moy. pour 500 invités), 30€ (pour 200 à 300 invités) et 45€ (100 invités) Au mieux, 20 à 100€ par personne ou le restaurant de 40 à 150€ par personne.
Le mariage dans l'islam
Procéder à un mariage uniquement avec une procédure religieuse, par «la fatiha», sans acte légal écrit devant un maire ou un juge, peut facilement se retourner contre les épouses et les enfants issus de ces unions non-officielles d'un point de vue légal.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux. Le mariage religieux n'est pas officiel, il faudra donc un mariage civil pour officialiser l'union. Pour faire un mariage religieux, il faut avoir le consentement des deux futurs mariés.
Sourate Ar-Rum (Les Romains), Verset 21 :
"Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent."
Dans l'islam, pas d'âge limite, mais les choses évoluent
Mais il rappelle que l'islam ne fixe pas d'âge légal du mariage. C'est la raison pour laquelle on parle « d'âge autorisé », « cela veut dire que celui qui peut se marier est autorisé à le faire », explique-t-il.
Pourquoi dit-on qu'il ne faut pas se marier au mois de mai ? Le 11 mai 1625, Henriette-Marie de France, se marie par procuration à Charles Ier d'Angleterre. Elle aura une vie «malheureuse» et s'éteindra sans son mari, décapité vingt ans avant sa mort. Le 16 mai 1770, Marie-Antoinette épouse le futur roi Louis XVI.
D'autre part, il est d'usage d'éviter de se marier le vendredi, en raison du dicton : « Le vendredi ne te marie pas et ne t'engage pas ».
Après les fatwas sur l'onanisme féminin, celui-ci déclare, cette fois-ci, que « les préliminaires ne sont pas interdits en Islam ».
Si une femme se lave après que son mari a fait l'amour avec elle, si ensuite le sperme de son mari s'écoule de son vagin, elle doit procéder aux ablutions mineures non aux majeures.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Mahr, qui signifie « récompense » (ajr) ou « offrande nuptiale » et a pour synonymes les termes sadaqa et faridah, est le mot utilisé par le droit islamique de la famille pour désigner le « paiement que l'épouse a le droit de recevoir du mari en vue du mariage » (Esposito et DeLong-Bas, 2001, p.
433-21 du code pénal interdit à « tout ministre du culte » de procéder à une cérémonie religieuse de mariage avant que le mariage civil ait été préalablement entériné.