Réponses. Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1.
La preuve de 1+1 = 2 de Alfred North Whitehead et Bertrand Russell apparait à la page 362 du livre Principia Mathematica. Ce livre fait 674 pages. Il faut donc construire des éléments mathématiques pendant 362 pages avant d'arriver à la preuve de ce résultat simple : 1 + 1 = 2.
Par définition : 1 est l'unité, donc deux nombres entiers qui se suivent sont séparés de 1. Pour passer d'un entier à l'entier suivant il faut donc lui ajouter 1. 2 est l'entier qui suit 1.
Elle fait partie de l'ensemble des nombres imaginaires. Ainsi le nombre i est défini comme suit : i est un nombre dont le carré est -1, algébriquement : i2 = -1.
Re : 1+1=1? Ben mathématiquement ce n'est pas possible donc il n'y a rien à comprendre. Sinon, on aurait parfaitement pu dire que 1+1=1 mais çà n'aurait strictement servi à rien. A la base, on utilise quand même les maths pour compter et dire qu'une chêvre + une chêvre çà fait une chêvre, çà me semble un peu idiot.
Réponses. Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre.
Re : 1+1 = 3
Comme le dit Shiho, c'est une démonstration totalement fausse (et bien connue des gens qui veulent blaguer un peu).
Bombelli (1526-1572) aurait alors remarquer que cette méthode était inapplicable sur certaines équations, et inventa "quelque chose" dont le carré serait négatif. C'est alors Euleur qui dans ces éléments d'algèbre posa i²=-1.
L'appellation d'« imaginaire » est due à René Descartes et celle d'« unité imaginaire » à Carl Friedrich Gauss. Sans avoir disparu, elle n'est pas d'un usage très généralisé chez les mathématiciens, qui se contentent souvent de parler du nombre i.
Cela étant fait on CONSTRUIT formellement C à partir des couples de R^2, en prenant les règles de calcul sur les coules déterminées ci-avant. On DEFINIT ensuite le complexe i comme étant le couple (0,1). Donc i^2 =-1 par CONSTRUCTION.
Par exemple, un+1 est le terme de rang n + 1 (celui qui suit un) alors que un +1 est le terme de rang n augmenté de 1. 2) Attention ! (un ) désigne la suite alors que un est un nombre. 3) Une suite n'est pas forcément définie à partir de n = 0.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.
Un demi (souvent représenté par ½ ou 1/2) est la fraction irréductible résultant de la division de 1 par 2.
Re : 1+1=3
voila la demonstration de 1+1=3 de bernard werber ! La fusion des talents est supérieure à leur simple addition.
Il est effectivement probable que 1+1 n'est pas égal à 2, comme il pourrait trés bien être égal. Nul ne sait, et c'est une question que beaucoup se sont déjà posé. Donc si 1+1=2, tout va bien pour tout ce que la physique, les mathématiques...
Que signifie Clair comme deux et deux font quatre ? Clair comme deux et deux font quatre s'utilise lorsque l'on veut exprimer que quelque chose est évident, incontestable.
Dans ce cas, i=(0;1), et on devrait avoir i²=(-1;0), mais pourquoi est-ce le cas ? La notation i² est un raccourci de i*i, avec * la multiplication. Suffit de trouver et définir une multiplication qui marche, c'est tout!
On peut remarquer que √0=0, √1=1, √4=2, √9=3, √16=4, …
L'utilisation des nombres complexes sera en fait très utile pour une multitude de problèmes bien réels. Il est donc rentable de les définir et de les étudier de façon plus précise.
Le premier à présenter un article sur l'interprétation géométrique des nombres complexes est Caspar Wessel (1745‑1818) en 1797. Quelques années plus tard, c'est Jean‑Robert Argand (1768‑1822) qui interprète l'ensemble des nombres complexes comme une extension à deux dimensions des nombres réels.
Il est suffisamment établi que la preuve par neuf nous vient des Arabes, et au moins très probable qu'elle a été empruntée par ceux-ci aux Hindous, comme le témoignent Avicenne et Maxime Planude.
La preuve par 9 fonctionne grâce à l'arithmétique modulaire et au fait que le modulo neuf est égal au reste de la somme des chiffres en base dix modulo neuf.
C'est une méthode qui propose de procéder rapidement à une première estimation de l'étendue de la brûlure en associant 9% (ou multiples de 9) de surface totale à chaque partie du corps, pour un total de 100, avec 1% pour la zone des parties génitales.