Un nombre premier est un entier naturel qui admet exactement deux diviseurs distincts entiers et positifs. Ces deux diviseurs sont 1 et le nombre considéré, puisque tout nombre a pour diviseurs 1 et lui-même (comme le montre l'égalité n = 1 × n), les nombres premiers étant ceux qui ne possèdent pas d'autre diviseur.
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
Alors, pourquoi 1+1=2 ? Démonstration: On utilise la définition de l'addition donnée précédemment. Rappelons simplement que le successeur de 0 est 1, que le successeur de 1 est 2, que le successeur de 2 est 3 et que le successeur de 3 est 4.
Le 1 ici 1=1 n'est pas un chiffre c'est un nombre et pour le nombre 1 1=1 est faux. Car on n'arrive pas à faire une quantité identique d'un seule 1 pour deux 1 identique.
La preuve de 1+1 = 2 de Alfred North Whitehead et Bertrand Russell apparait à la page 362 du livre Principia Mathematica.
Re : 1+1 = 3
Comme le dit Shiho, c'est une démonstration totalement fausse (et bien connue des gens qui veulent blaguer un peu).
0! = 1. puisque par convention, le produit vide est égal à l'élément neutre de la multiplication. Cette convention est pratique ici car elle permet à des formules de dénombrement obtenues en analyse combinatoire d'être encore valides pour des tailles nulles.
Selon cette définition, 0 et 1 ne sont pas des nombres premiers puisque 0 est divisible par tous les entiers positifs et 1 n'est divisible que par un seul entier positif. Certains mathématiciens admettaient 1 comme un nombre premier mais cette théorie a été abandonnée au début du XXème siècle.
Si 2 nombres réels sont différents, alors il en existe au moins un 3ème entre les deux, différent des deux autres. Ce troisième nombre peut être la moyenne entre les deux. Or, on ne peut pas intercaler de nombre entre 0,99999... et 1 ; ils sont donc égaux.
Alors pourquoi ont-ils inventé les fractions, si elles font tant de mal ? C'est qu'elles sont une clé des partages de grandeurs, des rapports et donc des mesures, des proportions, des figures semblables, des probabilités, du calcul des exposants, des notations algébriques…
Simplement, pour bien différencier le sens du 6 par rapport au 9, on garde un tracé anguleux pour le 6, et rond pour le 9. Ce sont donc les imprimeurs, entre la fin du XIVe et le XVIe siècle qui figent progressivement la forme des chiffres, en utilisant peu à peu des casses typographiques.
La zone 1 couvre les États-Unis et leurs territoires du Pacifique, le Canada, ainsi que certaines parties des Caraïbes et les Bermudes. Toute la zone est gérée par la North American Numbering Plan Administration (NANPA, Administration du plan de numérotation nord-américaine) et possède un unique indicatif : +1.
L'expression 2 + 2 = 5 (« deux plus deux égale cinq ») est parfois utilisée comme une représentation d'un sophisme destiné à perpétuer une idéologie politique. Elle illustre également le caractère formel de la logique, qui étudie les mécanismes du raisonnement indépendamment du sens des énoncés qu'elle utilise.
Parce que le calcul est très utile !
Par exemple, nous pourrions dire que 2 garçonnets + 2 fillettes = 4 enfants.
Un demi (souvent représenté par ½ ou 1/2) est la fraction irréductible résultant de la division de 1 par 2.
Pour n'importe quel nombre x, son inverse est donc x' tel que x x x' = 1. Or, zéro n'a pas d'inverse puisque n'importe quel chiffre multiplié par zéro donne toujours zéro. Par conséquent, la division par zéro est impossible et aboutirait à des contresens mathématiques.
Le zéro est alors appelé sunya ce qui signifie le vide. Au XIIe siècle, le mathématicien indien Bhaskara parvient à établir que 1/0 = l'infini. Il démontre ainsi, la relation qui existe entre le vide et l'infini. Au IXe siècle, les Arabes emprunteront aux Indiens le zéro, le mot sunya devenant sifr.
– Familier : abyssal. – Littéraire : éternel, inexhaustible. Contraire : borné, limité, mesuré.
Les nombres parfaits sont des entiers égaux à la somme de leurs diviseurs. Ainsi, 6 se divise par 2, 3 et 1. En additionnant 2, 3 et 1, on arrive à 6 ! Même chose pour 28, somme de 1 + 2 + 4 + 7 + 14.
Concernant 69, la réponse est : Non, 69 n'est pas un nombre premier. La liste de ses diviseurs entiers (c'est-à-dire la liste des nombres entiers qui divisent 69) est la suivante : 1, 3, 23, 69. Pour que 69 soit un nombre premier, il aurait fallu que 69 ne soit divisible que par lui-même et par 1.
Selon du Sautoy, l'astronome et mathématicien de l'Antiquité Brahmagupta est le premier à avoir employé le zéro. « Le texte de Brahmagupta intitulé Brahmasphutasiddhanta et écrit en 628 après J. -C.
Elle recommande un certain nombre d'opérations pour calculer une puissance : pow définit 00 comme étant égal à 1. Si la puissance est un entier, le résultat est le même que pour la fonction pown, sinon le résultat est le même que pour powr (sauf certains cas exceptionnels). pown définit 00 comme étant égal à 1.
= 1 et que 0 n'est pas le seul nombre dont la factorielle est égale à 1. En particulier, la factorielle de 1 est aussi égale à 1 : 1 !