1 est l'unité, donc deux nombres entiers qui se suivent sont séparés de 1. Pour passer d'un entier à l'entier suivant il faut donc lui ajouter 1. 2 est l'entier qui suit 1. C'est à dire qu'il vaut 1, ajouté de 1, soit 1+1=2.
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
c'est incroyable ce qu'on peut lire. pour ce qui est de 1+1=2, c'est quelque chose qu'on a montré en algèbre. De fait, on définit des règles simples, et à partir de là, on pourrait dire que 2 est le résultat de l'element neutre de la seconde loi du groupe, composé avec lui même par la première loi du groupe.
Re : 1+1=1? Ben mathématiquement ce n'est pas possible donc il n'y a rien à comprendre. Sinon, on aurait parfaitement pu dire que 1+1=1 mais çà n'aurait strictement servi à rien. A la base, on utilise quand même les maths pour compter et dire qu'une chêvre + une chêvre çà fait une chêvre, çà me semble un peu idiot.
Que signifie Clair comme deux et deux font quatre ? Clair comme deux et deux font quatre s'utilise lorsque l'on veut exprimer que quelque chose est évident, incontestable.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
En tant que nombre, zéro est un objet mathématique permettant d'exprimer une absence comme une quantité nulle : c'est le nombre d'éléments de l'ensemble vide. Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls.
Le chiffre zéro a été utilisé pour la première fois par les babyloniens au cours du deuxième millénaire avant J.C., avant d'être réinventé par les Mayas puis par les Hindous. Mais ce sont les arabes qui l'intégreront à leur système de numération, pour le diffuser dans toute l'Europe au cours du X° siècle.
Re : 1+1=3
voila la demonstration de 1+1=3 de bernard werber ! La fusion des talents est supérieure à leur simple addition.
Re : 1+1 = 3
Comme le dit Shiho, c'est une démonstration totalement fausse (et bien connue des gens qui veulent blaguer un peu).
Si le montant de l'achat est diminué par une offre promotionnelle, alors le solde se voit augmenter, ce qui traduit la logique élémentaire se cachant derrière la règle du « moins par moins donne plus ».
Un demi (souvent représenté par ½ ou 1/2) est la fraction irréductible résultant de la division de 1 par 2.
Chaque partie d'un tout divisé en trois parties égales.
Par exemple, un+1 est le terme de rang n + 1 (celui qui suit un) alors que un +1 est le terme de rang n augmenté de 1. 2) Attention ! (un ) désigne la suite alors que un est un nombre. 3) Une suite n'est pas forcément définie à partir de n = 0.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
Euclide est un grand mathématicien de l'Antiquité et il est souvent appelé le père de la Géométrie.
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
0! = 1. puisque par convention, le produit vide est égal à l'élément neutre de la multiplication. Cette convention est pratique ici car elle permet à des formules de dénombrement obtenues en analyse combinatoire d'être encore valides pour des tailles nulles.
Il pense également que la forme a été fixée par des vers mnémotechniques, attestés dans plusieurs manuscrits, qui font un lien avec des lettres de l'alphabet arabe. Au X e siècle, les chiffres arabes de l'époque gagnent la péninsule Ibérique, alors sous domination omeyyade.
Al Khwârizmî est né vers 780 et mort vers 850. Malgré son utilité dans le monde des mathématiques, le savant reste mal connu.
Les mathématiques sont apparues dans toutes les civilisations, probablement avant l'apparition de l'écriture. De la civilisation de Sumer par exemple, on conserve des écrits mathématiques datant de plus de 2000 ans avant Jésus-Christ. Les mathématiques sont utiles, elles servent à comprendre le monde.
Michael Atiya, 89 ans, n'est pourtant pas n'importe qui. Professeur émérite à l'Université d'Édimbourg, gagnant de la prestigieuse Médaille Fields pour son travail en géométrie et en physique théorique, il est considéré par plusieurs comme le plus grand mathématicien du moment.