5 coups de 3s modulé pour l'alerte, 1 coup de 30s pour la fin d'alerte.
Le Signal National d'Alerte est la diffusion d'un signal sonore par une sirène pour avertir la population d'un danger imminent. Un essai des sirènes est effectué tous les 1er mercredis du mois à 12h00.
Chaque mois, pendant les exercices qui servent à s'assurer du bon fonctionnement des appareils, cette sirène retentit pendant une minute et 41 secondes. En cas de vraie menace, ce signal est répété trois fois.
En laissant la possibilité à un déclenchement local, cela permet « aux maires et aux préfets d'assurer la protection de leur population ». Lorsque ce signal est activé, il enchaîne 3 cycles d'une sonnerie modulée durant 1 minute et 41 secondes, chaque cycle étant séparé d'une intervalle de 5 secondes.
Elles retentissent chaque premier mercredi du mois dans les grandes villes françaises. Les sirènes d'alertes vont se déclencher ce mercredi, entre 11 h 45 et midi.
Le signal d'alerte est émis par les sirènes. C'est un son montant et descendant, composé de trois cycles successifs d'1 minute et 41 secondes, séparés par un silence de 5 secondes (dans le cas spécifique d'une rupture de barrage, le signal peut aussi être une corne de brume).
À l'origine, ce signal sonore était “tout d'abord conçu comme un outil de réponse à la menace aérienne”, comme l'explique le ministère de l'Intérieur. Aujourd'hui, “il est également utilisé pour prévenir la population d'un sinistre de sécurité civile, d'origine naturelle ou technologique”.
Le signal national d'alerte se compose d'un son modulé, montant et descendant, de trois séquences d'une minute et quarante et une secondes, séparées par un intervalle de cinq secondes. La fin de l'alerte est annoncée par un signal continu de 30 secondes.
C'est pour cette raison que pour s'informer de l'évolution de la situation, la radio reste le moyen de communication le plus fiable, celui qui restera en principe disponible même dans les cas les plus graves. Des bulletins réguliers seront diffusés sur France Info, France Inter et France Bleu.
Que faire si la sirène sonne deux fois ? Il existe une alarme spécifique pour les zones avoisinant les barrages en cas de rupture de l'édifice : une sonnerie deux minutes minimum, de sons de 2 secondes entrecoupés de 3 secondes de silence. Cette alarme est appelée « corne de brume ».
Comment reconnaître le signal national d'alerte ? Le signal national d'alerte se compose d'un son modulé, montant et descendant, de trois séquences d'une minute et quarante et une secondes, séparées par un intervalle de cinq secondes. La fin de l'alerte est annoncée par un signal continu de 30 secondes.
En cas de menace sur la population, elle se déclenche sur trois cycles de 1 minutes et 41 secondes, avant d'émettre un signal continu de 30 secondes. Pour assurer leur bon fonctionnement, elles se mettent aussi en marche le temps d'un seul cycle seulement à midi, chaque premier mercredi du moi, le temps d'un exercice.
Comme chaque premier mercredi du mois, les sirènes disposées dans les casernes de pompiers et sur d'autres lieux publics vont résonner dans tous les départements de France entre 11h45 et midi, cela fait partie du système d'alerte et d'information des populations (SAIP), rappellent les pompiers sur Twitter.
Le décret du 12 octobre 2005 relatif au code d'alerte national stipule que le signal national d'alerte est « déclenché sur décision du Premier ministre, des préfets de département et à Paris du préfet de police ou des maires qui informent sans délai le préfet du département. » D'un point de vue technique, le ...
Fonctionnement. Une sirène aspire l'air à débit plus ou moins élevé, et module les vibrations pour donner la hauteur du son de l'instrument. Un son étant un déplacement de vibration d'air, une sirène perfectionnée permet de créer toutes les notes de musiques en faisant varier les gammes, les tons.
Ce système est opérationnel depuis la Seconde Guerre mondiale et était utilisé pour prévenir des raids aériens et des bombardements. Aujourd'hui, elle est toujours réservée aux graves dangers, et peut être, par exemple, déclenchée en cas de catastrophe naturelle ou d'accident industriel important.
Dans le cas où le signal national d'alerte sonne, il est nécessaire de se confiner dans un lieu sans fenêtre de préférence. Il faudra calfeutrer soigneusement chacune des ouvertures, arrêter tout système de ventilation. Selon l'alerte il est préférable de se confiner dans un sous-sol ou au centre du bâtiment.
Le signal d'alerte peut être déclenché en raison d'une pollution de l'air (nuage toxique, etc.) potentiellement de nature inflammable. Il convient donc de ne pas prendre le risque de déclencher une explosion tant que la nature du danger n'est pas parfaitement identifiée. quitter l'abri sans consigne des autorités.
Elles sont généralement placées sur le toit de la Mairie ou sur des plus hauts édifices. Un essai est effectué tous les premiers mercredi de chaque mois.
Afin de gérer correctement la diffusion des alertes, l'idéal est de multiplier les canaux de communication : flash radio, panneaux lumineux, site internet, SMS, emails,...
L'émission du signal national d'essai comporte un cycle unique identique à celui décrit à l'article 1er. Le signal d'essai des dispositifs d'alerte des aménagements hydrauliques comporte un cycle d'une durée de 12 secondes composé de trois émissions sonores de 2 secondes séparées par un intervalle de 3 secondes.
Elles permettent « d'avertir la population d'une zone donnée d'un danger imminent et de l'informer sur la nature du risque et le comportement à tenir », selon le site du SAID. Elles peuvent donc retentir en cas de risque naturel ou technologique, ou encore d'attentat.
En effet, à chaque fois qu'une sirène est reliée au Système d'alerte et d'information des populations (SAIP), des essais sonores sont effectués. C'est le cas des dispositifs de Revel et Beauchalot, qui font partie des 120 sirènes s'apprêtant à être raccordées au SAIP.
A l'origine, le signal était d'une minute. Le Ministère de l'Intérieur explique : « Cette minute correspondait à la limite technique des sirènes électromagnétiques qui risquaient de disjoncter si elles tournaient trop longtemps. Les 41 secondes correspondent au délai technique de montée et descente de la sirène. »
La distinction est fondée sur le point de vue : l'alarme est donnée par le témoin de l'incendie et l'alerte est déclenchée par l'avertisseur d'incendie au poste de pompiers. On dira fausse alerte lorsqu'on considérera le point de vue des pompiers et fausse alarme dans le cas du témoin.