A l'origine de ce choix, il y a la possibilité de compter jusqu'à 12 avec son pouce les 12 phalanges des 4 autres doigts de la main, et ce, en manipulant des objets de l'autre main. De plus, 12 est divisible par 6, 4, 3 et 2, ce qui facilite les calculs.
« C'est une tradition, depuis le Moyen Âge, qui viendrait du fait que les marchands comptaient avec leurs mains. Plus précisément, sur une main, ils utilisaient le pouce et comptaient les phalanges des quatre autres doigts, soit douze phalanges. À partir de là, la douzaine est devenue une unité de mesure.
Il s'agit d'une habitude de consommation qui remonte au Moyen Age. A cette époque, les commerçants utilisaient en effet les douzaines comme base pour compter, plutôt que les dizaines. Un choix qui fait référence au nombre de phalanges que l'on peut compter avec le pouce sur les quatre autres doigts de la même main.
La n°3 est un peu plus grosse et se trouve être parfaite pour les repas (entrées et plateaux de fruits de mer). La n°2, quant à elle, est bien plus grosse, et si elle est mangée crue, vous devez aimer les huîtres charnues et plus grandes.
Les huîtres sont numérotées en fonction de leur calibre. Plus celui-ci est petit, plus l'huître sera grosse et charnue. Les huîtres creuses ont des calibres allant de 0 à 5 : Calibre 0 : poids supérieur à 150 grammes.
Il est possible de les conserver 4 à 5 jours sous réserve qu'elles soient posées bien à plat. Il est préconisé de les ouvrir juste avant leur dégustation. À l'ouverture, l'huître doit contenir de l'eau de mer, désignée comme étant la première eau, qu'il est conseillé de jeter.
De la plus grosse à la plus petite : N°2 : huître de 86 à 110 g - 4 années de pousse. N°3 : huître de 66 à 85 g - 3, 4 années de pousse.
C'est un nouveau record qui vient d'être établi par l'entreprise ostréicole Berder, à Carantec. Une huître géante, découverte mi-décembre, aux dimensions gargantuesques : 26,5 cm de long, 13 cm de large, et 10 cm d'épaisseur pour un poids total de 2,22 kg.
Les experts définissent l'huître d'Irlande comme étant l'une des meilleures d'Europe et du monde entier en général. Il faut en manger pour confirmer cette affirmation ! Le pays organise souvent chaque année, durant tout le mois de septembre, une fête pour honorer le savoir-faire des ostréiculteurs irlandais.
L'Huître dite “spéciale” est définie par son indice de chair. Sur 100 % de l'animal (coquille comprise) on compte plus de 10.5% de chair. Ce sont les plus charnues.
A l'origine de ce choix, il y a la possibilité de compter jusqu'à 12 avec son pouce les 12 phalanges des 4 autres doigts de la main, et ce, en manipulant des objets de l'autre main. De plus, 12 est divisible par 6, 4, 3 et 2, ce qui facilite les calculs.
Pourquoi dit-on par exemple une demi-douzaine et pas une sizaine ? Parce que la base 12 est une base de calcul historique qui date de plusieurs milliers d'années avant l'an 1 qui permettait de compter sur les doigts d'une seule main, le pouce pointant sur chacune des phalanges des autres doigts.
Une habitude dont l'origine remonte au Moyen Age, pour une raison pratique. A cette époque, les commerçants utilisaient fréquemment le chiffre 12 comme base de calcul. Il s'agit en effet du nombre de phalanges que l'on peut compter avec le pouce sur les quatre autres doigts de la main.
Il faut plutôt les croquer pour mieux les savourer et les tuer, estime M. Gonthier. Sinon, l'huître reste vivante deux heures et demie dans l'estomac."
Le chiffre douze a été choisi pour une raison simple mais maligne. Il correspond en effet au nombre de phalanges que l'on peut compter avec le pouce sur une seule main : et oui, les quatre autres doigts de la main possèdent trois phalanges chacun !
Le système duodécimal, dozénal ou base douze est un système de numération qui utilise douze comme base. Autrement dit, dans ce système, on compte en douzaines.
Quel est l'huître la plus chère ? L'huître Gillardeau : La Rolls de l'huître est optimisée, bonifiée et même gravée. Plus de 60 manipulations sont effectuées pour un goût, au final, moelleux et sucré. Un tarif qui peut aller jusqu'à 36, voire 40 euros la douzaine.
Ces huîtres exceptionnelles doivent leur qualité et leur finesse aux techniques employées lors de leur production, transmises depuis déjà 4 générations de la famille Gillardeau.
La température correcte pour une huître oscille entre 5 et 15 °C maximum. L'idéal est de conserver ses huîtres en bourriche dans le frigo, dans le bac à légumes par exemple, qui est le moins froid. Il faut faire attention à garder la bourriche bien droite pour que les huîtres ne perdent pas leur eau.
Les Romains les consomment nature ou avec une sauce de poisson. Puis, quand les Romains envahissent la Gaule, ils en importent depuis les côtes bretonnes, normandes et du bassin de Marennes.
En ostréiculture, les huitres géantes sont appelées les « Pied de Cheval ».
L'ostréiculture française est basée sur l'élevage de deux espèces d'huîtres : La « plate » nommée Ostrea edulis, plutôt ronde, qui représente environ 10 % de la production française. La « creuse » nommée Crassostrea gigas, plutôt allongée qui représente le reste de la production française.
virage des poches : les poches sont retournées régulièrement pour favoriser la croissance des huîtres et limiter le développement des algues ; changement des poches : les huîtres sont ramenées à l'établissement, transférées à une densité plus faible dans des poches de plus grandes tailles puis remises sur les parcs.
N°1 : 121 - 150g. N°2 : 86-120g. N°3 : 66-85g. N°4 : 46-65g.
Quelles sont les meilleures huîtres ? Selon les grands amateurs et amatrices, les meilleures huîtres sont la Gravette à la fois sucrée et lactée, l'Isigny pulpeuse, douce et croquante, et la Plate sauvage Rade de Brest, en provenance d'un gisement naturel qui est charnue, colorée et goûteuse.